• Chapitre 6

    Le lendemain, elle réveilla Fatnat avec une fellation, il jouit rapidement dans sa bouche. Et la félicita pour ce doux réveil. La jeune femme se leva du lit, et prépara le petit déjeuner, dans son simple appareil, sans même y faire attention. Elle revint avec le plateau dans le lit, et ils mangèrent tous les deux, où il lui expliqua la journée. Aujourd’hui, ils vont aller se promener, et elle devra porter la tenue, la plus sexy qu’elle est, avec son œuf dans le vagin, son plug dans le cul, sa culotte de chasteté, une mini-jupe, des bas, et des talons.

    • Dans cette tenue, tu devras réaliser deux choses, la première me faire jouir quelque part dehors. La seconde, tu dois chauffer un inconnu, je te dirais qui et quand. Mais tient toi-prêtre, ça peut être n’importe quand.
    • D’accord, professeur.

    Yasmine s’habilla exactement comme Fatnat lui avait dit, puis ils se mirent en route. Ils se promenaient, la jeune femme essaya de rester le plus droite possible. Mais en chemin, ils croisèrent l’homme et son chien. Yasmine lui sourit en le croisant, et sachant qu’il allait se retourner, elle se pencha en avant, pour lui montrer le bas de ses fesses. Fatnat lui donna une fessée et elle se releva.

    • Bien, très bien petite salope. Excite-le le petit vieux.
    • Et si je le recroise la semaine prochaine ?
    • A toi de voir. Tu peux lui faire une fellation dans un coin, coucher avec lui, ou bien l’ignorer.
    • D’accord, professeur.

    Ils continuèrent leur balade dans le parc, l’endroit était frais et agréable, soudain l’œuf se mit à vibrer, elle avait presque oublié celui-là. Elle marcha en se trémoussant, pour essayer de jouir, mais l’œuf agissait de tel sorte qu’on est excitée, on mouille abondamment, mais aucune jouissance à l’horizon. Ils marchèrent un moment, et s’arrêtèrent dans un petit restaurant. Fatnat amena la jeune femme aux toilettes, et lui enleva son plug anal, qu’il rinça avec de l’eau et du savon avant de l’essuyer de le glisser dans sa poche. Ils s’installèrent à table, et passèrent un agréable moment. Elle avait parfois du mal à voir que c’était le même homme qui lui avait uriner dessus, il y a un peu plus de vingt-quatre heures.

               

    Le repas termina, sa montre se mit à sonner, elle ne pouvait quand même pas le branler au milieu du restaurant. Fatnat libéra son sexe, et lui ordonna de monter ses jambes. Il enleva ses talons, chaussure très pratique, pas comme des baskets avec mille et un lancés. Puis il coinça son pénis entre les pieds de la jeune femme.

    • Vas-y, tout à ton aise.

    C’était la première fois qu’elle pratiquait un branlage avec ses pieds, et en plus dans un lieu public. Heureusement la nappe était assez longue. Elle promena son pied sur la longueur du pénis, et joua avec le haut et son orteil. Puis coincé entre les deux pieds, elle fit des mouvements de haut en bas pour lui donner du plaisir. Comment arrivait-il à parler de tout et de rien, alors qu’elle le caressait sous la table. Si c’était le contraire, elle serait bien incapable de rester aussi stoïque que lui. Elle perçut toutefois des mimiques sur son visage. Il prit son téléphone, et lança la vibration de l’œuf, de plus en plus fort au fur et à mesure qu’il … montait de plaisir.

     

    Il éjacula sur ses pieds. Il les poussa pour les faire retomber, et réajusta son pantalon. Il paya l’addition du serveur. La jeune femme remit ses chaussures, sans même avoir enlevé le sperme sur ses bas.

    • Excellent, salope, excellent ! dit-il au creux de son oreille, en lui touchant le creux des reins.

    Ils marchèrent un moment, quand il remarqua que Yasmine devenait de plus en plus rouge, il pouffa légèrement, et sortit son portable pour arrêter les vibrations, dans son euphorie, il avait laissé l’œuf en fonctionnement. La jeune femme soupira et montèrent dans le métro de la ville. Ils s’assirent, Fatnat remarqua vite le bonhomme qui les regardait en face. Il avait les yeux rivés sur les jambes de la jeune femme.

    • Tu vois l’homme debout, là-bas. C’est lui ! Tu as quatre stations, fit-il en levant sa tête vers le plan du métro.

    Yasmine se leva, et s’avança vers lui, elle se mit dos à lui, et profita d’une secousse du métro pour venir se coller à lui, puis elle frotta ses fesses contre son sexe. Le bougre était déjà en train de bander.

    • C’est moi, qui vous fait cet effet ?
    • Tu ne peux pas savoir ma belle. Tu es vraiment magnifique.

    Il posa ses mains sur ses hanches pour la serrer plus contre lui, et c’est lui qui frotta son sexe entre ses fesses. Le métro s’arrêta à son premier arrêt. S’il n’y avait pas eu tout ce monde, nul doute qu’il l’aurait prit directement. Il aurait enfoncé son sexe dans le vagin de cette femme. En plus, ça se voyait que c’était une petite salope, qui ne demandait que ça, une bite dans le cul.

     

    Il encercla sa poitrine, et en profitant pour écraser ses seins. Une secousse les poussant en avant, le métro s’arrêta au deuxième arrêt. Elle continua de se frotter contre lui, Il la retourna contre le fond de la rame, pour éviter qu’on la voie, et chercha à glisser sa main sous sa jupe, il rencontra une culotte de chasteté, oh … la petite coquine, puis en fouillant un peu son antre, il sentit un œuf vibrant dans son vagin. Une secousse annonça le troisième arrêt.

    • Tu es vraiment une belle salope d’allumeuse. On ne peut même pas profiter de tes trous. Et l’autre le petit, il est bouché aussi ?
    • La plupart du temps.
    • Tu es vraiment … une belle salope.
    • Là je suis bien d’accord avec vous, fit un homme à côté d’eux, qui avait carrément sa bite en main, et se masturber contre le fond de la rame.
    • Excusez-moi ! fit Fatnat d’une voix dure, en prenant le bras de Yasmine, nous descendons ici.

    Yasmine et Fatnat descendirent sur le quai, et le métro repartit avec les deux hommes à bord. La jeune femme trouvait que c’était dommage pour eux. Elle savait ce qu’était la frustration. Quand est-ce qu’elle allait pouvoir jouir ?

     

    • Professeur ?
    • Mmh !
    • J’aimerais bien aller aux toilettes, s’il te plait.
    • Ah oui.

    Fatnat la conduisit derrière plusieurs conteneurs de poubelle, il souleva sa jupe au-dessus de ses hanches, se servit de sa clé pour déverrouiller la culotte, puis enleva l’œuf, et s’éloigna. La jeune femme comprit qu’elle allait devoir uriner au milieu de ce tas d’immondices, chouette.

    Elle s’accroupit, et se mit à uriner, il la regarda pisser avec le sourire. Elle utilisa un mouchoir dans son sac pour s’essuyer, puis le mit dans la poubelle.

    • Merci, ça va mieux.
    • On y va ! fit-il sans lui remettre ni sa culotte, ni son œuf.

    La jeune femme se sentit toute nue, elle était toute nue sous sa jupe, elle le tira le plus qu’elle pouvait. Yasmine se sentait en sécurité avec sa culotte de chasteté. Ils marchèrent quelques mètres avant d’arriver au « donjon », là où il avait parlé le premier soir, cet étrange club où des gens se baladaient en laisse et en collier.

    • Salut Tamia ! Je vais … partager, si tu vois ce que je veux dire.
    • Elle est consentante ?
    • Oui, elle a signé le contrat.
    • Explique-lui bien les règles, et qu’elle peut dire stop à tout moment, et parle lui aussi du bouton rouge. Les débutants ne savent jamais s’arrêter. Je veille au grain.

    Yasmine observa Tamia, et Fatnat, elle pourrait lui expliquer directement, elle pouvait comprendre, elle n’était pas bête. Fatnat et elle montèrent à l’étage dans une des chambres. Elle avait des rideaux rouges, et une lumière tamisée.

    • Bon, voilà nous en sommes aux dernières leçons. La première que nous allons faire maintenant. Je vais te sodomiser ma salope. Ensuite ce soir, tu seras pratiquement nue, avec écrit sur le ventre, prenez-moi… Enfin avec mon autorisation. Pendant une heure, tu te promèneras dans la salle, ensuite tu viendras dans cette chambre, et des hommes viendront faire l’amour avec toi.
    • Hein ?
    • Je serais là, tu n’as pas de souci à te faire. Et si tu ne veux pas d’une pratique, tu me dis rouge… Et tout s’arrête.

    La jeune femme se souvint alors de ce mot, elle n’avait pas pensé à l’utiliser, cela ne lui avait même pas effleurer l’esprit. Elle faisait confiance à son professeur pour être à ses côtés, et la guider.

    • Donc cette leçon est la générosité. Mais commença par ton petit cul.

    Fatnat ouvrit son pantalon, et sortit son sexe, la jeune femme posa sa main sur son pénis, et lui fit des va-et-vient pour le faire durcir, une fois bien dur, il retourna la miss, qui posa ses mains sur les bords du lit. Il souleva sa jupe, et caressa les fesses de la jeune femme. Il récolta un peu de cyprine pour humidifier son vagin. Il ajouta de la salive sur le préservatif qu’il venait d’enfiler, puis commença à pousser. Il entra une petite partie, et la jeune femme était déjà en train de crier. Il aimait ça les entendre crier. Il poussa d’avantage, elle continua de couiner comme une petite cochonne.

    • Vas-y couine ma cochonne.

    Yasmine s’en donna à cœur joie avec les cris, un sourd l’aurait entendu crier. Et lui faisait des va-et-vient de plus en plus profonds dans le cul de la jeune femme. Enfin il entra son pénis tout entier.

    • Parfait, ma salope ! Maintenant, je commence.
    • Hein ?

    La jeune femme croyait que c’était enfin fini, mais non, c’était que le début. Il fit des va-et-vient dans le cul de Yasmine. Elle se remit à crier avec … force. Puis peu à peu, son étroit tunnel s’élargit, et elle se laissa faire, en éprouvant une douleur moins vive, mais toujours présente. Elle avait entendu dire qu’on pouvait jouir avec les parois du colon, mais elle était tellement peu réceptive à la jouissance ces derniers temps, que même celle-ci lui fut refuser, il éjacula dans le préservatif. Il se retira de la jeune femme, qui s’effondra au sol, aux pieds du lit.

    • Tu veux que je te dise quelque chose.
    • Oui, professeur.
    • Tu as un cul divin. C’était très bon. Maintenant, tu vas te préparer pour la soirée.

    Il lui redonna sa culotte, et lui donna un soutien-gorge, enfin deux petits cache-cœurs à poser sur ses tétons. Elle le regarda, il lui indiqua la salle de bain dans la chambre. Et quitta la pièce, pour aller prendre une douche dans la chambre à côté. Il était tôt, il n’y avait encore personne.

     

    Vers 21 heures, la jeune femme était prête, elle était à moitié nue, ce qui la rassurer c’est que personne ne pourrait la pénétrer avec sa culotte, seulement si Fatnat était d’accord, et elle lui faisait confiance, c’était son professeur après tout. Elle avait coiffé ses cheveux en arrière, dans un chignon pour dégager son visage. De toute façon, ils n’étaient plus assez longs pour cacher sa poitrine. Ensuite elle portait une ficelle qui faisait le tour de sa poitrine et les deux caches posés sur ses seins, bien ajustés pour qu’ils ne tombent pas. Et enfin sa culotte. Sur son ventre, il avait écrit au marqueur : « Servez-vous, demandez à Fatnat ».

     

    Il était un peu plus de 23 heures, après un repas copieux, que les premiers clients du club arrivèrent, la jeune femme se promena donc dans la salle avec le sourire, certains la regardèrent avec le sourire, d’autres avaient les yeux baissés. Bref, Fatnat n’était jamais loin d’elle, puis à minuit, il lui dit de monter dans la chambre. La jeune femme ne savait pas même si quelqu’un allait monter. Elle était là assise sur le lit, en se demandant si elle voulait, ou si elle ne voulait pas. Fatnat entra dans la pièce, il lui fit un sourire, et s’avança vers elle. Il entoura son visage d’un bandeau pour cacher son regard.

    • Je ne quitte pas la chambre. S’il y a le moindre souci, le moindre problème. Tu cries rouge. Bien maintenant pour réussir cette épreuve, tu vas devoir faire jouir chacun des hommes qui va entrer.
    • D’accord, professeur.

    Elle entendit la porte s’ouvrir, un premier homme entra, il passa sa main sur le visage de la jeune femme, et la tira vers lui. Elle se cogna contre le sexe en érection de cet homme, elle se guida avec sa main, et mit le sexe de cet inconnu dans sa bouche. Elle lui prodigua une fellation.

    • Putain, elle est douée la salope, fit la voix de cet homme.
    • Profites-en…
    • Oh oui, vas-y continue ma belle salope.

    Au bout de cinq minutes, il poussa un râle en lâchant son sperme dans la bouche de la jeune femme qui avala sans rien dire.

    • En plus, elle avale. Une belle salope que tu as éduquée.
    • Merci, répondit Fatnat.

    L’homme poussa Yasmine sur le lit, elle vit l’homme en ombre toucher son sexe, il enfilait un préservatif. Il s’allongea sur elle, il souleva ses jambes et planta son dard dans le vagin de la jeune femme. Elle gémit, et il démarra son coït avec entrain et vigueur.

    • Mmmh, elle est vraiment bonne, cette petite salope.

    Après dix minutes de va-et-vient plus ou moins profonds, il éjacula à nouveau dans le sexe de Yasmine. Il se retira, et recula. Il se rendit dans la salle de bain. La jeune femme entendit l’eau couler, puis une porte, et se fut à nouveau le silence.

    • Tout va bien ? demanda Fatnat.
    • Oui, professeur.
    • Bien, au suivant.

    La porte s’ouvrit à nouveau, la jeune femme se redressa, l’homme s’avança vers elle, lui murmura de se mettre à quatre pattes. Yasmine avait déjà expérimenté la levrette, même si elle n’avait pas trop apprécié. L’homme se positionna derrière elle, et la pénétra, il reste sans bouger quelques instants.

    • Elle est bien chaude, fit cet homme avec une voix plus rauque que le précédent.

    Il posa ses mains sur ses hanches et partit dans un va-et-vient vigoureux, la jeune femme faillit partir en avant à plusieurs reprises.

    • Où vas-tu ma belle ? fit-il en passant un bras sur sa poitrine pour la ramener dans la bonne position.

    Il se mit à jouir dans le préservatif, enfoncé dans son vagin. Il se recula à son tour, et la jeune femme s’effondra sur le lit les fesses en l’air. Les deux hommes pouffèrent, et l’eau se mit à couler, puis la porte claqua, et se fut à nouveau le silence.

    • C’était très bien, ma belle.
    • C’est tout ?
    • Oui, pourquoi tu en veux plus.
    • C’est que je n’ai toujours pas jouit.
    • Parfait, ce sera pour demain. Habille-toi ! ordonna-t-il.

     

    L’étrange duo retourna dans l’appartement de la jeune femme, et elle s’avança vers la salle de bain, elle prit une rapide douche, avant d’aller s’effondrer comme une crêpe sur le lit.

    • C’est une semaine intensive, hein ma petite salope. Bon je vais m’en aller.
    • Hein ? Tu ne restes pas, fit la jeune femme en se redressant.
    • Ne t’inquiète pas je reviens demain soir ! Demain matin, mon frère va arriver à 8heures. Je veux que tu lui montres tout ton talent de femme parfaite. C’est lui qui jugera ton talent.
    • D’accord, professeur.
    • Dors bien, salope, et à demain.

    Fatnat quitta la maison de Yasmine. Cette dernière tendit la main vers son portable, il était déjà trois heures du matin, elle allait fraiche pour satisfaire Alex, demain. Elle mit son réveil à sonner, passa sous les couvertures, et s’endormit comme une masse.





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