• Chapitre 5

     

    Il était 17heures, et Yasmine se sentait frustrée et épuisée. Elle avait qu’une envie dormir et dormir pendant des heures et des heures. Mais Fatnat avait d’autres idées. Il dit de se pencher sur la table, les fesses en l’air. Elle crut qu’il allait lui remettre le plug, mais il lui enfonça quelque chose de plus gros. La jeune femme se mit à crier. Il ôta le machin, et se pencha pour cracher sur son anus. Il présenta le god dans la bouche de la jeune femme.

    • Lèche-le bien salope ! ordonna-t-il.

    Yasmine passa sa langue partout, bavant sur le god, dans sa bouche, il était plus petit que le pénis de Fatnat, mais quand même trop gros pour entrer dans son anus. L’homme retira le god de sa bouche, et le présenta à son cul. Il l’enfonça à moitié, la partie qui avait été élargie par le plug, puis … poussa un peu plus, et un peu plus tout doucement sous les cris de la jeune femme. Elle posa sa tête sur la table, dans ses bras croisés, et essayer d’étouffer ses cris, alors qu’il enfonçait le god dans le cul.

    • Voilà, il est entré, salope ! annonça-t-il, au bout d’un moment long et interminable. Alors ça fait quoi ?
    • C’est douloureux !
    • La première fois !

    Fatnat tira sur le god et l’enleva presque d’un coup sec, elle resserra sans le vouloir son anus, et ce qui lui fit encore plus mal.

    • Si tu serres trop, tu vas avoir mal. Souviens-toi… Parce que demain soir, à non pas demain c’est ton jour de repos, mais donc le cinquième jour au soir, il y a aura sodomisation, ma petite cochonne.

     

    Fatnat lui dit se relever et de préparer le repas dans son plus simple appareil. Elle s’activa de son mieux, et le repas fut prés, elle branla l’homme avant de pouvoir manger, mais elle réussit à le faire jouir, lécha ses doigts et nettoya son pénis, avant de se mettre à table. Le dîner fut convivial malgré la tenue de la jeune femme, elle ne se sentait plus vraiment mal à l’aise de se promener nue devant lui, il avait déjà vu tellement de son corps.

    • Viens là, nous allons voir des positions qui ne nécessite pas de lit. Il y la position du petit cheval, et celui de la gazelle. Bien nous allons faire la gazelle en premier.

     

    Fatnat se leva, laissa la jeune femme le déshabilla, elle fut assez audacieuse pour enlever son boxer avec les gens, et profita de sa position à genoux pour lui prodiguer une fellation. Il l’arrêta, et glissa son sexe dans un préservatif avant de soulever la jeune femme, il plaqua contre un mur. Elle entoura ses bras autour de son cou, puis il la pénétra et elle enroula ses jambes autour de sa taille. Il posa ses mains sous ses fesses, et lui fit des va-et-vient profonds de plus en plus profonds dans son corps. Il tint quelques minutes avant de lui annoncer un changement de position. Fatnat se recula sur une chaise et invita la jeune femme à s’asseoir sur lui. Elle se mit dos à lui, et s’enfonça elle-même le pénis dans son vagin. Elle avait une folle et désespérante envie de jouir.

    • A toi de monter et de descendre sur ma bite, je suis fatigué, moi, aller au travail salope. Fais-moi jouir !

    Yasmine se mit à faire des mouvements de bassin, de bas en haut, et tenta même d’onduler le bassin, il posa ses mains sur ses seins, et les pinça fortement les pointes, il les malaxa, et soudain, les serra, très fort. Il venait de jouir, et d’éjaculer dans le préservatif. Il força Yasmine à se relever qui n’avait toujours pas jouit, elle se demanda même si c’était naturel d’être autant excité, et de ne pas parvenir à jouir. 

    • Alors demain, tu es de repos… donc rien, rien, mais alors rien de sexuel. Donc interdit de te masturber, de jouir, de t’enfoncer un plug dans le cul, ou un god dans le vagin. Rien de rien. Je le saurais si … tu fais quelque chose. Demain repos, repos et repos. Parce que l’autre moitié de la semaine va être aussi très intense.
    • Bien, professeur, fit-elle.

     

    Fatnat posa un baiser sur le front de la jeune femme, et quitta l’appartement. Yasmine se dirigea vers la chambre, toujours nue, et s’écroula sur le lit, elle s’endormie avant même que sa tête touche le matelas.

     

    Quatrième jour : Repos.

    Yasmine ne fit rien, à part se lever pour aller aux toilettes, et mangeait un morceau, elle passa la journée comme une carpette, soit dans son lit, soit sur le canapé, et étrangement Fatnat lui manqua. Ou alors peut-être est-ce la frustration. En tout cas, elle avait hâte d’être à demain.

     

    Fatnat arriva à 8heures, le matin. Un petit déjeuner l’attendait, et Yasmine se mit à genoux à côté de la chaise en attendant qu’il prenne place. Elle était vraiment très docile et obéissante. Il fit descendre son pantalon et son boxer.

    • Tu vas devoir me faire une fellation, une branlette espagnole et une branlette ordinaire dans la journée, à toi de savoir le sens que tu veux. Je dois jouir à chaque fois.
    • Oui, professeur.

    La jeune femme commença par le branler, c’est ce qu’elle préférait le moins, maintenant qu’elle avait gouté à une fellation, une vraie, une belle, pas ce que ses ex-copains lui forçaient à faire. Ou même une branlette espagnole, c’était plus agréable, maintenant. Fatnat mangeait son petit déjeuner, en gémissant. Elle avait des mains douces et très fermes autour de sa bite, et de ses bourses, et le doigt qui se perdait dans son anus, était divin. Une fois qu’il jouit, elle lui nettoya son pénis, et elle lécha ses doigts pour les nettoyer de son sperme et de son passage dans le cul du jeune homme. La jeune femme s’assit à sa table et dévora son petit déjeuner.

    • Est-ce que tu as pu te reposer ?
    • Oui, professeur.
    • Bien, aujourd’hui. Nous allons revoir tes notions de culture générale, et aussi parler des notions de charité et de générosité.
    • Bien, professeur.

     

    La première activité de la journée, Fatnat prit des grains de riz qu’il étala sur le sol, et demanda à la jeune femme de se mettre à genoux sur les grains. Il s’assit sur le canapé en face d’elle, et sortit son portable pour retrouver l’application de culture générale.

    • Bien voici les règles, je te pose les questions, si tu as une bonne réponse, on passe à la suivante. Si tu as tort, tu as le choix entre des coups de martinets sur ta poitrine. D’ailleurs enlève ton haut, ce que Yasmine fit sa rien dire, ou alors, reprit-il de boire un verre d’eau.
    • Oui, professeur.
    • Bien commençons.

    La jeune femme parvint à répondre juste à une question sur trois, et à chaque fois, elle buvait un verre d’eau. Elle avait l’impression que son ventre était en train de gonfler, et elle commençait à avoir envie d’uriner. Si bien qu’au bout de trente questions, soit de dix verres d’eau, et pas des petits verres de moutarde, non les grands verres de cocktail. Elle choisit de se faire fouetter avec le martinet. Au début il donna des coups doux, et peu forts, puis de plus en plus fort. Ça faisait vibrer le corps de la jeune femme, elle sentit des gouttes de pipi sortir.

    • Professeur, pourrais-je aller aux toilettes, s’il te plait.
    • Non, nous n’avons pas fini, il reste … encore douze questions.

    La jeune femme fit de son mieux pour se retenir, mais à chaque coup de martinet, des gouttes s’échappaient de son corps, elle n’arrivait pas à se concentrer, et répondait faux à toutes les questions. Elle fut tellement soulagée de voir la dernière question arrivée, qu’elle urina carrément au milieu du salon de sa maison. Elle voulu se lever, mais ses genoux étaient pleines de fourmis, et les grains de riz n’avaient rien arrangés à sa douleur, elle retomba au sol, et glissa dans son urine.

    • Hé bien, ma salope… tu n’as pas pu te retenir.
    • Pardon, professeur. Fit-elle en pleurant.

    Elle put enfin se relever et se détacha d’aller ce qu’il fallait pour nettoyer. Fatnat l’attrapa par le bras, et la conduisit dans la salle de bain, il la fit entrer dans la baignoire, et la fit asseoir sur le fond de la cuve.

    • Je vais ajouter le mien, dit-il en sortant son sexe, et il urina sur le corps de la jeune femme. Maintenant, tu peux prendre une douche, dit-il en ressortant de la salle de bain.

     

    Yasmine ouvrit les robinets à fond, et s’aspergea d’eau encore et encore pour chasser la moindre microgoutte d’urine de son corps. Elle profita pour prendre une douche et revint dans la salle. Fatnat avait nettoyer au mieux les dégâts, elle leva les yeux vers lui, reconnaissant d’avoir évité une grosse tache dans son salon. Etrangement, elle ne lui en voulait même pas de lui avoir uriner dessus.

     

    La montre de Fatnat bipa, la jeune femme s’avança et lui prodigua une branlette espagnole, elle coinça son sexe entre ses seins, et lécha et suça le sommet de son pénis, le gland, dévoilant le frein. Il éjacula sur ses seins. Il était maintenant presque onze heures, elle en profita pour préparer le repas. Ils mangèrent tous les deux en discutant comme les autres fois.

    • Au fait, je n’ai rien dit sur ta nourriture, ça veut dire que c’est excellent. Sinon nous aurions fait des cours sur le sujet. Est-ce que tu as des notions de bricolage, jardinage ?
    • Oui, mon père est jardinier, il m’a appris ce que j’ai besoin de savoir. Et pour le bricolage, je connais quelques trucs, changer une ampoule, planter un clou, viser et deviser.
    • Bon, ça va nous faire gagner du temps. Passons à ce qui est de la charité, et de la générosité. As-tu une idée de ce que ça veut dire … sexuellement, dans les actes sexuels ?
    • Donner tout son corps.
    • Oui, et le partage.
    • Avec plusieurs personnes.
    • Tout à fait. Donc cet après-midi, nous allons partir sur la charité, tu vas montrer ton corps.
    • C’est de l’exhibitionnisme, c’est interdit par la loi.
    • Pas là, où nous allons aller.
    • Où est-ce ?
    • Surpris ! fit-il avec un air gourmand.

     

    La jeune femme et Fatnat terminèrent de manger, elle nettoya de son mieux la tâche, en espérant qu’une fois sec, il n’y aurait pas une auréole jaune sur le sol. Comment elle pourrait l’expliquer au propriétaire. Elle pourra toujours dire que c’est le pipi d’un gamin. Elle haussa les épaules, et prit la route en compagnie de l’homme, vers cet endroit mystérieux. Ils revinrent au sex-shop du premier jour. Elle était beaucoup plus à l’aise dans cet endroit maintenant, elle avait découvert qu’il n’y avait aucune honte à s’amuser sexuellement, sauf qu’elle n’avait pas encore jouit.

     

    • Vous pouvez monter, fit le vendeur.

    Fatnat et Yasmine montèrent donc à l’étage, et se présentèrent à un autre homme, qui les accueillit avec le sourire. Les deux hommes lui expliquèrent qu’elle allait devoir faire un strip-tease.

    • La vitre est sans tain, ils te verront, mais toi non. Donc imagine-toi seule dans ton salon, expliqua l’homme.
    • Montre-moi que tu es capable de charité, salope.
    • Oui, professeur.

    La jeune femme se mit au centre de la pièce, elle était éclairée avec de grandes lumières, elle posa son regard sur le miroir, et ne vit que son reflet, c’était finalement très perturbant.

    • Bon, tu vas être dans le noir, quand la lumière s’allume, ça veut dire qu’un client rentre, à toi de faire ton show. Généralement, c’est dix-vingt minutes par clients.
    • D’accord.

    Yasmine se retrouva dans le noir, puis soudain la lumière s’alluma, elle se leva. Puis se mit à danser, une musique langoureuse était diffusée dans des haut-parleurs. Elle se trémoussant, en ôtant ses vêtements avec une lenteur délibérée. Son haut monta doucement dévoilant un ventre plat, puis un peu plus haut, pour montrer son soutien-gorge. La jeune femme le laissa comme ça avant de se retourner pour montrer ses fesses au… miroir, puis ôta un de ses bas. Elle se releva, et caressa sa jambe dénudée en se retournant vers le miroir. Elle ôta l’autre bas, avec un sourire. Elle se souriait à elle-même, c’était quand même très étrange. Puis elle enleva le haut. Yasmine était donc en jupe courte et en soutien-gorge au milieu de son maigre espace de vie.

     

    Yasmine imagina l’homme assis de l’autre côté de la vitre, tenant sa bite en main, se masturbant en la regardant se mettre nue. Ou bien debout contre la vitre, en imaginant qu’il la pénétrait, et lui donne de grands coups de reins. Donner ce plaisir à un homme, lui plaisait beaucoup. Elle fit glisser la fermeture de sa robe, puis se retourna pour défaire son soutien-gorge. La jeune femme fit glisser une bretelle le long de ses bras. Puis se retourna vers le miroir, elle s’assit sur une chaise, puis se pencha vers le miroir, pour faire des sourires, et des baisers fantômes. Enfin elle libéra ses obus, et les montra fièrement en les caressant avec ses mains. Elle remit debout, et de dos, elle fit descendre sa jupe, en bombant les fesses. Elle portait un petit string, comme lui avait dit Fatnat. Elle les secoua devant les miroirs, et recula même pour les frotter dessus. Elle cru sentir un coup dans le mur, puis elle avança, et fit tomber la jupe au sol, et se tourna lentement vers le miroir, en croisant les jambes, et fixant le miroir d’un air timide. Elle fit face à l’homme, son string était ouvert au niveau de son sexe pour laisser voir sa touffe de poil. Elle s’assit et écarta un peu les jambes, mais pas trop pour ne pas dévoiler tous les mystères. Puis la lumière s’éteint. Signe que l’homme de l’autre côté avait fait sa petite affaire. Elle sourit.

     

    • Tu as cinq minutes pour te rhabiller pour le suivant. C’était parfait, salope ! fit Fatnat dans le haut-parleur.

    La jeune femme réalisa quatre autres strip-teases, soit deux bonnes heures de travail. Fatnat revint la chercher et la félicita pour son travail.

    • Je me suis beaucoup amusée, fit-elle avec le sourire.
    • Oh, si vous voulez revenir ce sera avec plaisir, fit le responsable des lieux avec une sourire lubrique.
    • C’est comme tu veux, après cette semaine, tu es libre de ta vie.

    Yasmine et Fatnat rentrèrent juste à temps pour sa fellation du soir. Elle se mit donc à l’ouvrage et lui offra une belle fellation, elle lui prodigua plusieurs gorges profondes, elle le laissa baiser sa bouche avec fougue.

    • Et bien, tu es une bien belle salope, fit-il en éjaculant dans sa bouche.

    Yasmine avala le tout avec le sourire. Elle prépara le repas, et encore une fois, ils passèrent un début de soirée agréable. La tache au sol n’était pas trop importante. Heureusement !

     

    Puis vint le soir, la jeune femme avait passé une belle journée, mais elle n’avait toujours pas pu jouir, est-ce qu’elle allait enfin réussir ce soir. C’était vraiment frustrant, de plus en plus frustrant.

    • Bien ce soir, nous allons voir deux positions, la position de la tortue renversée, et du papillon érotique.
    • Oui, professeur.

    La jeune femme déshabilla l’homme, puis l’allongea sur le lit, elle mit en condition pour bander, elle refit des caresser le long de son corps avec sa langue et ses mains, puis debout au bout du lit, elle lui fit aussi un strip-tease à lui aussi. Elle se sentait en confiance pour tout faire, son corps était à elle, et elle pouvait en faire ce qu’elle voulait.

     

    • Bien, commençons par la tortue, allonge-toi !

    Yasmine, nue se mit sur le lit, confortablement installé sur le dos, et il lui dit de plier les jambes. Fatnat, glissa un coussin sous elle, et vint se positionner au-dessus d’elle, en prenant appuis ses coudes, et genoux, il pénétra la jeune femme, cette dernière posa ses jambes sur ses cuisses, et se fut le départ d’un … agréable et profond rodéo.

    • Interdit de jouir avant moi, rappela-t-il, je ne crois pas que tu aimerais la punition.

    Il fit des va-et-vient plus ou moins lents, plus ou moins profonds. Yasmine remarqua qu’il aimait bien aller le plus profond possible le plus lentement possible. Ensuite, il alternait avec un coït rapide et moins profonds. Après cinq minutes de chevauché fantastique, il annonça le changement de position. Celle du papillon érotique.

     

    Fatnat aida la jeune femme à se mettre en place, elle s’allongea sur le dos, le coussin derrière son dos, fut posé derrière sa tête. Il lui dit de plier une jambe, et l’autre tendu sur le lit. L’homme vint se mettre à genoux entre les ses cuisses, un genou se posa sous sa fesse, dont la jambe était relevée, et l’autre genou, passa de l’autre côté de sa jambe. Il pénétra Yasmine, dans un râle de bien-être. Il se mit à faire de mouvements avec son bassin pour la pénétrer plus fort. Yasmine profita de ses mains libres pour caresser le torse de l’homme, lui était penché en arrière pour maintenir l’équilibre. Il fit quelques allées-et-retour dans le corps de la jeune femme.

    • Tu es vraiment bonne, ma salope ! fit-il avant de se retirer pour jouir sur son ventre. J’ai oublié de mettre un préservatif.

    Yasmine récolta le sperme avec ses doigts, qu’elle mit en bouche, et suça goulument, puis elle essuya le tout.

    • Ma petite salope gourmande ! dit-il en s’allongea sur le lit. Est-ce que tu as jouit ?

    Elle secoua la tête, mais finalement aujourd’hui, ce n’était pas le plus important, ce qui comptait, c’était lui, lui et son plaisir, et il semblait en avoir avec elle. Et c’est tout ce qui comptait. Il lui dit que c’était dommage, avant de se tourner dans le lit, et de s’endormir. La jeune femme se tourna, de son côté, mais n’essaya même pas de se faire jouir, elle ferma simplement les yeux, et trouva le sommeil à son tour.

     





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