[+18 ans] Chapitre 2

Chapitre 2

 

Le lendemain, Yasmine se présenta à 8 heures devant le bar, Fatnat l’attendait devant la porte Il l’accueillit avec le sourire, lui prenant le bras, ils se mirent en marcher dans une ruelle commerçante, ils passèrent devant de nombreuses boutiques de vêtements, et elle ne comprenait, s’il devait la relooker. Ils prirent une petite ruelle entre deux grosses maisons, et quelques pas plus loin, ils entrèrent dans un … sex-shop.

• On commence par les sous-vêtements, puis on ajoute les couches.
• Oui !
• Alors pour commencer, nous allons te choisir des sous-vêtements sexy, puis une culotte de chasteté, et quelques petits jouets.
• D’ac…cord.

Ils commencèrent donc à faire le tour de la boutique. Il donna une panière à la jeune femme, et posa des tangas, des strings, et des parures entières, des bodys de lingerie, des porte-jarretelles, des bas, des nuisettes et des soutiens-gorges qui ne cachaient pas grand-chose. La jeune femme n’aurait jamais acheté ce genre de trucs. Puis ils arrivèrent dans le coin des culottes de chasteté. L’homme prit un model très simple.

• Elle est confortable et très discrète, ce sera parfait, dit Fatnat.

 

Yasmine ne se sentait pas forcément à l’aise, l’homme ajouta d’autres jouets, des plugs, des god, des vibrateurs, des machins qu’elle ne parvint même pas à identifier. Elle n’y connaissait pas grand-chose. Ils passèrent à la caisse, et l’homme paya le tout, elle le regarda surprise, la somme était astronomique. Après cela, elle se promenait dans la rue avec sa poche, heureusement, elle n’était pas estampillée au nom de la boutique. Ils firent ensuite le tour des autres magasins. L’homme lui acheta de nombreuses jupes plus ou moins courtes, quelques pantalons, et des hauts plus ou moins ouverts. Enfin, ils eurent fini leurs achats, enfin la jeune femme n’avait pas eu son mot à dire.

 

Tous les deux se rendirent chez elle. Fatnat visita les lieux, la maison était propre, c’était déjà un bon point pour elle.

• Bien maintenant, tu vas te mettre nue. Je veux voir s’il n’y a pas déjà du travail à faire pour la présentation.
• Heu… commença Yasmine.

L’homme leva sur elle, un regard dur, et impressionnant, elle avala de travers, et se déshabilla. Enlevant les couches, les unes après les autres. Son pantalon, son tee-shirt, son soutien-gorge, puis sa culotte. Fatnat découvrit un corps bien proportionné, elle avait un corps mince. Des seins hauts et fières, un ventre plat, des jambes bien galbées, et un pubis rose, caché par une petite touffe de poils bruns. Yasmine ne se sentait pas vraiment à l’aise. Jamais elle ne s’était mise nue comme ça, au milieu de son salon devant un homme, qui la regardait comme une …œuvre d’art.

• Alors, l’aspect physique est correct et intéressant.

Fatnat posa ses mains sur les seins de Yasmine, et les toucha doucement, la jeune femme frémit sous cette caresse, et ses pointes ne tardèrent pas à durcir. Il fit glisser le dos de sa main sur le ventre de la jeune femme, avant de la retourner, pour glisser le plat de sa main sur le sexe de Yasmine. Il sentit les grandes lèvres sous ses doigts, puis les plus petites, il pinça son clitoris, et glissa un doigt dans son vagin. Yasmine essaya de rester stoïque sous ses caresses. Mais il était vraiment doué avec ses doigts. Elle gémit sans le vouloir. Il ôta alors sa main.

• Si tu veux jouir, il faut le mériter. Mets la culotte de chasteté, ordonna-t-il.

Yasmine soupira et prit l’étrange vêtement entre ses mains, et se glissa dedans. Il y avait une petite fente sur le devant, qui empêcher les éventuels pénis de pouvoir pénétrer. Des lanières en cuir, faisait le tour de sa taille. Fatnat serra les lanières, et les ferma avec un cadenas, de sorte que la jeune femme ne pouvait pas faire glisser les lanières le long de ses jambes. Elle était coincée dans la culotte. Ensuite Fatnat l’invita à essayer les différents vêtements qu’il avait acheté. Elle lui fit un défilé de mode avec les jupes qu’il avait sélectionné pour elle. Certains lui semblait vraiment courte. Dont plusieurs lui arrivaient juste sous les fesses.

• Il faudrait faire un peu de sports pour muscler tes fesses !
• Tu devras m’appeler professeur maintenant.
• Oui, professeur.
• Tout manquement à cette règle pourra être puni.
• Oui, professeur.

 

A midi, Fatnat lui donna l’ordre de préparer à manger. Yasmine allait enlever ses vêtements, quand elle reçu un coup sur la main. Elle leva un regard interrogatif vers lui.

• Tu restes comme ça !
• Oui, professeur.

Yasmine se retrouva en mini-jupe, cachant à peine ses fesses, avec un haut largement ouvert sur sa poitrine. Et elle ne portait pas de soutien-gorge. C’est dans cette tenue qu’elle se mit à préparer le repas. Elle mit le couvert, déposant deux assiettes, sauf quand elle posa le plat sur la table, son assiette avait disparu.

• Tu vas manger autre chose.

Yasmine remarqua alors qu’il avait le sexe en érection, nu, devant elle. La jeune femme ne savait pas quoi faire, elle s’avança vers lui, et se mit à genoux devant Fatnat.

• Si tu arrives à me faire éjaculer dans ta bouche avant que j’aie fini le repas, tu pourras manger.

La jeune femme qui avait faim, se pencha sur le sexe de Fatnat, et commença une fellation, elle y mit pourtant tout son cœur. Elle fit jouer sa langue le long de sa verge, elle glissa dans sa bouche, en faisant des mouvements de va-et-vient. Elle essaya de son mieux, mais l’homme mangea, sans même émettre le moindre gémissement de plaisir, ni rien du tout. Puis il tapota sur sa tête, elle la releva, et lui montra son assiette vide. Il se leva, laissant la jeune femme à genoux au sol. Il mit l’assiette dans l’évier, et la gamelle au frigo. Yasmine n’eut rien à manger.

 

La jeune femme se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur les toilettes, et se mit à pleurer. Dans l’absolu qu’est-ce qui l’empêchait de sortir, et de prendre un repas. Ou même de mettre cet homme à la porte. Pourtant elle avait signé le contrat, elle devait le respecter, et puis si elle voulait devenir une femme accomplie, elle devait réussit cette épreuve. Elle parvint tant bien que mal à uriner avec cette culotte, puis ressorti des toilettes. Fatnat l’attendait devant la porte. Il saisit ses cheveux avec force, et l’entraina vers la chaise. Il la força à s’asseoir, et se servit de sa ceinture pour coincer les bras, et la taille de la jeune femme autour du dossier de la chaise.

• Tu dois demander avant d’aller uriner. La formule est simple : Professeur, puis-je aller aux toilettes s’il vous plait.
• Je ne savais pas... pardon, pardon ! … Professeur !
• Mmmh ! On peut en convenir. Revenons à ta performance. Ta fellation est très mauvaise. J’ai cru déceler des trucs, mais tu ne vas jamais jusqu’au bout. Ta langue doit passer partout, du bout, jusqu’aux bourses, n’hésite pas non plus à dévoiler le frein pour y glisser ta langue. Ta bouche doit aller plus loin autour du pénis, tu as une grande bouche, c’est un atout, il faut t’en servir. Ensuite, tu peux utiliser tes mains pour caresser les bourses pendant que tu suces. Ou même gobé un testicule entier dans ta bouche. Et un secret, il est possible de glisser un doigt dans l’anus de ton partenaire. Les femmes ont le point G, et les hommes le point P, la prostate. N’hésite pas à aller la titiller de ton mieux. Bon, ça c’est des conseils basiques. Plus tu t’entraineras et plus ce sera efficace. C’est pourquoi, tu devras effectuer une fellation, on va dire toutes les trois heures.

Il regarda sa montre, et mit l’horloge pour la faire sonner dans trois heures. Il ajouta que si elle réussissait à lui faire émettre un gémissement dans trois heures, elle aurait le droit de manger. L’homme la détacha de sa chaise.

 

Durant le début de l’après-midi, toujours dans sa tenue, Fatnat annonça une sortie, Yasmine resserra ses cuisses sans le vouloir. Elle était presque nue sous sa jupe si courte. Elle lui dit de mettre les bas, en plus, et elle monta sur des talons. Heureusement elle n’avait aucun mal à marcher avec ce genre de chaussures. Ils sortirent de l’appartement de la jeune femme, et firent un tour. Fatnat lui tenait le bras, et ils marchèrent dans le quartier, sans but précis. Ils marchèrent une demi-heure, avant de rentrer dans la maison. Cette balade n’avait pas été trop compliquée. Fatnat la fit à nouveau sur sa chaise.

• Tu marches comme une petite vieille, le dos vouté, comme si tu portais le poids du monde sur tes épaules. Ce n’est pas bien du tout, tu finiras bossue. Tu dois te tenir droite, levé le menton, et regarder devant toi, comme si tu étais la plus belle et que tu voulais le dominer le monde. Montre-moi.

Yasmine se leva, se mit aussi droite que possible, et marcha en levant le regard, Fatnat l’encouragea à continuer encore et encore à marcher comme une reine. Au bout d’une heure, il annonça que ce n’était pas trop mal, mais qu’elle avait devoir s’entrainer. Tous les jours, elle devra faire trois cent pas dans la maison. La jeune femme s’assit sur sa chaise, et ôta ses chaussures, elle massa ses pieds un moment.

 

• Tu as mal aux pieds !
• Oui !
• Oui ? répéta Fatnat d’un ton dur, en fronçant les sourcils.
• Oui, professeur.

Soudain la montre sonna, Yasmine leva la tête vers lui, il se recula, baissa son pantalon, et prit place sur le canapé. Il attrapa la télécommande, et zappa, il tomba sur une page de publicité qui commençait.

• Tu as jusqu’à la fin des publicités pour me faire émettre un gémissement.

Yasmine s’avança vers lui, se mit à genoux, et commença une nouvelle fellation. Elle essaya de suivre ses conseils, elle passa sa langue sur le haut de son pénis, caressant son frein, puis elle glissa sa langue sur ses bourses. Elle essaya de son mieux, mais la page de pub se termina sans qu’il ne pousse le moindre gémissement. Il la repoussa.

• Peux-tu me faire la liste des choses que tu n’as pas faite ?
• Je … je n’ai pas glisser mon doigt dans ton anus.
• Oui, pour commencer, ensuite.
• Je n’ai pas enfoncé ton pénis dans ma bouche.
• Continue !
• Je n’ai pas gobé un de tes testicules.
• Oui, en gros, tu n’as rien fait… Donc pas de repas. Dans trois heures, fit-il en rementant sa monte à sonner.

 

Yasmine sentait son ventre criait famine, elle devait être courageuse, la prochaine fois, elle réussirait à le faire gémir, et même à le faire jouir. Après tout, de cela dépendait son repas. Fatnat se leva, et se servit une pomme dans la panière de fruit, et la mangea en observant Yasmine à genoux devant lui.

• Bien, maintenant, nous allons vérifier ta culture générale, pour savoir si tu peux briller en société. Je connais un ami, qui adore jouer aux professeurs avec ses amantes. Va me chercher une spatule en bois, ou une cuillère, ordonna-t-il.

Yasmine se leva et ouvrit son tiroir pour récupérer sa spatule, et lui tendit. Fatnat lui sourit.

• Maintenant, soulève ta robe, et allonge toi sur moi, de sorte que tes fesses soient sur mes genoux.

La jeune femme se mit dans la position, puis l’homme ouvrit son téléphone, et chercher une application de quizz de culture général, et le mis en route. Il posa les questions à Yasmine, qui devait répondre.

• Trois coups à chaque mauvaise réponse, informa-t-il à la jeune femme.

Et c’est ainsi que pendant une heure, elle eut droit à une centaine de questions sur différents sujets, arts, science, histoire, géographie, et autre… Elle répondit à la moitié des questions, si bien que ses fesses furent rouges sous les coups de spatules, en quelques minutes.

• Tu as un score de 63 sur 100. Donc pour aller de 63 à 100, il y a donc 37 mauvaises réponses. Lève-toi !

 

Yasmine se releva et il lui dit, de poser ses mains sur le dossier du canapé, et de lever bien haut les fesses, et il donna encore 37 coups sur les fesses. Elle poussa des petits cris. Fatnat s’arrêta enfin de frapper. Il lui ordonna de ne pas bouger. Il se rendit dans la salle de bain de la jeune femme, et trouva une crème hydrante. Il revint dans la pièce. Il passa de la crème sur les fesses de la jeune femme, qui se mit à gémir de bien-être. Comment une simple crème pouvait faire autant de bien ? Et les mains de cet homme était divin, mais il ne profita pas de la situation pour la caresser plus intiment, de toute façon avec la culotte de chasteté, il ne pouvait pas le faire.

• Voilà ! Tu as le droit de te reposer pendant une heure, fit-il en regardant sa montre.
• Oui, professeur, merci.

La jeune femme s’assit sur le canapé et leva son regard sur cet homme. Elle resta en place, pendant qu’il en profita pour faire le tour de la maison, déposait ses affaires dans sa chambre, observer le lit, les draps. Puis la salle-cuisine, une seule pièce à vivre, particulièrement bien agencé. Il y avait un coin cuisine dans le fond de la pièce, une table ronde au centre de la pièce, et un coin salon avec un canapé et une télévision.

• J’aime bien ton petit appartement, fit Fatnat. Ça fait longtemps que tu habites ici ?
• Deux ans.
• Tu travailles à domicile pour ton boulot ?
• Oui, professeur.
• J’ai vu l’installation dans la salle de bain.

Ils se mirent à discuter de tout et de rien, c’était tellement étrange après la matinée qu’ils venaient de passer. Finalement la montre sonna à nouveau. Fatnat ouvrit son pantalon, et la jeune femme allongée sur le canapé, se pencha vers son pénis. Elle y mit à nouveau tout son corps, elle commença par passer sa langue sur son frein, descendant le long de la verge, pour venir gober un testicule qu’elle suça pendant quelques secondes, puis elle remonta pour enfiler le pénis dans sa bouche, aussi loin qu’elle le pouvait, tout en caressant et malaxant ses bourses, puis elle glissa un doigt dans son anus. Fatnat poussa un petit gémissement, et elle cria intérieurement de bonheur. Finalement réussir une fellation pouvait aussi lui apporter de la satisfaction ? Il attrapa sa tête, et la souleva, il lui fit un sourire.

• Tu peux aller manger, ma belle.
• Merci, professeur, fit Yasmine avec soulagement.

Elle se leva, et dévora une part de son plat. Elle soupira de bien-être et de satisfaction.

• Puis-je aller aux toilettes, s’il te plait, professeur.
• Merci, professeur.

La jeune femme se rendit dans les toilettes, elle était finalement satisfaite de cette première journée. Et la nuit, qu’allait-il bien pouvoir se passer ? Yasmine revint dans la pièce, et débarrassa son assiette.

 

Deux heures plus tard, il était vingt heures.

• Il faut me faire la cuisine. Un autre plat que ce midi.
• Oui, professeur.

La jeune femme lui prépara une omelette, il avait à nouveau son pantalon en bas des chevilles et son sexe à l’air. Yasmine comprit que si elle voulait manger, elle allait devoir « mériter » son repas. Elle se mit à genoux, et se mit à l’œuvre pour le faire jouir. Elle fit donc une bonne fellation, et suça son pénis pendant cinq bonnes minutes, il lui caressa la tête et poussa d’avantage son sexe dans sa bouche, et bientôt, ses lèvres cognèrent contre son bas-ventre. Jamais, elle n’avait fait un truc pareil, elle prit un testicule dans sa main qu’elle malaxa, et avec son autre main, elle glissa un doigt dans son anus, aussi loin qu’elle le pouvait. Puis soudain, Fatna éjacula dans sa bouche. Elle se recula un peu trop vivement, il posa sa main sur sa bouche pour l’empêcher de cracher.

• Avale, ordonna-t-il.

Yasmine déglutit et le sperme glissa dans sa bouche, puis dans sa gorge, et termina dans son estomac.

• Tu peux manger, fit-il.

La jeune femme se mit à table, et dévora son omelette. Elle avait réussi à le faire jouir, alors qu’à midi, il n’avait émis le moindre gémissement. Elle faisait de gros progrès en quelques heures.

• Bien, nous avons 4 nuits, je vais choisir 8 positions pour faire l’amour. Et nous en ferons deux par nuit. Tu auras une nuit de repos, et les deux dernières seront consacrée à ton examen, avec la journée qui précède. Tu as compris ?
• Oui, professeur.

 

Fatnat lui ordonna d’aller prendre une douche, de se faire la plus belle possible. Elle pouvait ôter la culotte de chasteté, et mettre le sous-vêtement de son choix parmi les achats.

• Si tu arrives à me faire bander en sortant de la salle de bain, tu auras un point bonus. Que tu devras utiliser avec parcimonie.
• Oui, professeur.

Yasmine se rendit dans la chambre, passa de longues minutes à choisir sa tenue, puis elle entra dans la salle de bain pour se préparer.