• Chapitre 3

     

    La jeune femme prit sa douche, elle nettoya sa peau, et elle remit de la crème hydrante, surtout sur ses fesses. Elle s’aspergea de parfum, et enfila la tenue qu’elle avait choisi, il s’agit d’un ensemble rouge, sensé excité les sens. Elle avait un soutien-gorge, en dentelle et une culotte de la même couleur. Pendant qu’elle se faisait belle, elle se sentait inspiré par une nouvelle force. Elle ajouta une robe de chambre transparente par-dessus, elle hésitait, elle l’enleva puis la remis. Elle prit une grande inspiration, et ouvrit la porte de la salle de bain. Fatnat tourna sa tête vers elle. La jeune femme ouvrit les pans de la robe de chambre pour dévoiler son corps, en lui faisant un sourire aguicheur.

    • C’est pas mal du tout. Tu as ton point bonus, ma belle. Approche !

    Yasmine s’avança vers l’homme, il la tira vers lui, pour qu’elle se mette debout entre ses jambes. La jeune femme voyait son sexe commençait à bander dans son pantalon. L’homme posa ses mains sur ses hanches, et caressa le corps de la jeune femme.

    • Caresser une belle femme, qui s’est fait joli exprès pour soi, et un des plaisirs des hommes. Tu ne dois pas négliger ton apparence physique. Toutefois, je trouve que se montrer trop vite nue, sans laisser à l’autre le soit d’imaginer est une mauvaise idée. Donc ne te mets pas trop vite nue.
    • Oui, professeur.

    Fatnat se leva et alluma la radio, il faisait vraiment comme chez lui. Il diffusa une douce musique, et invita la jeune femme à danser. Elle se glissa dans ses bras, et ils enchainèrent plusieurs styles de danses, pendant une heure.

     

    • Il y a du progrès à faire, mais c’est pas mal, du tout ! fit Fatnat, il déposa un baiser sur le front de Yasmine, et lui fit un petit sourire.
    • Merci, professeur.
    • Bien dans la chambre maintenant.
    • Oui, professeur.

    Yasmine se rendit dans la chambre, elle déposa sa robe de chambre, et s’allongea sur le lit, en attendant qu’il arrive. Il entra dans la chambre, et sourit à la jeune femme. Il ôta son tee-shirt et son pantalon. Le déshabiller sera un exercice pour plus tard. Il reste en caleçon, et vint se glisser aux côtés de Yasmine.

    • Alors nous allons commencer par la position acrobatique du papillon. Mais pour commencer, tu dois me mettre en condition.

    Yasmine remarqua qu’il avait effectivement complétement débandée. Elle s’allongea sur lui et commença à laisser ses mains se promenaient sur son corps, son torse, et son ventre.

    • Il y a d’autres endroits à toucher.
    • Ton sexe ?
    • Pas seulement, tu as le cou, les bras, les jambes, les pieds aussi…
    • Oui, professeur.
    • Et aussi, tu as ta bouche pour caresser le corps d’un homme. Tiens premier exercice, ta langue doit partir de mon pied, et revenir à mon menton, en passant partout.
    • Oui, professeur.

     

    Yasmine se glissa aux pieds de Fatnat, et commença à passer sa langue sous le pied, puis suça un orteil, puis un autre.

    • Ça c’est très bien, continue, et n’oublie pas l’autre pied, je te dirais quand remonter, fit l’homme en secouant son pied.

    La jeune femme prit ses pieds entre ses mains, et se mit à les lâcher et les sucer pendant presque dix bonnes minutes.

    • Remonte doucement sur les chevilles et les mollets, ordonna-t-il.

    Yasmine glissa ses mains sur les jambes de Fatnat, ne laissant glisser sa langue le long de sa jambe, elle fit plusieurs fois le même chemin, comme si elle léchait une glace.

    • Tu devrais faire des suçons, tu sais faire des suçons.
    • Oui, professeur.
    • Ah, ça s’est bien.

    La jeune femme se mit donc à faire des suçons sur les jambes de Fatnat, pendant quelques minutes, puis elle fit la même chose sur ses cuisses, et s’approcha du caleçon. Elle posa ses mains pour l’enlever l’homme avait commencé à se tendre. Elle ressentait une certaine fierté à faire bander Fatnat, qui était très dur à satisfaire. Yasmine ôta le dernier vêtement, et commença une fellation. Il glissa une main dans ses cheveux, et poussa sa tête, le pénis entra avec vigueur dans sa bouche, elle gémit, et déglutinait avec peine.

    • Oui, ça s’est bon, avale-moi ! fit-il.

    La jeune femme ne savait pas trop ce qu’elle avait fait. Elle réessaya de le refaire, mais elle n’y réussit pas très bien. Puis elle se souvint du coup du doigt dans l’anus, alors elle mit, et tourna dedans.

    • Mmmh, presque parfait, dit-il. Continue de monter.

    Yasmine retira sa bouche du pénis, et son doigt de l’anus. Elle reposa sa bouche sur son ventre. Sa main allait se poser sur son torse, qui la saisit violemment.

    • Hé ton doigt vient de sortir de mon anus, nettoie-le ! ordonna-t-il en guidant le doigt de Yasmine, vers la bouche de la jeune femme.

    La jeune femme se retrouva à sucer son doigt… qui venait de sortir de l’anus de Fatnat. Elle le fit quelques secondes, avant de reprendre ses caresses. Elle fit donc glisser sa langue sur son bas ventre, et titilla son nombril. Avec ses mains, elle les posa sur sa poitrine, pour venir serrer les tétons de l’homme. La bouche de Yasmine continua de monter, et arriva sur la poitrine, elle mordilla les petits boutons sur son torse, et glissa sa langue jusque sous son menton.

    • Parfait, maintenant je suis en de très bonne condition. Déshabille-toi, allonge-toi sur le dos et écarte les jambes.
    • Oui, professeur.

     

    Yasmine enleva ses vêtements, se mit à position. Fatnat au-dessus d’elle glissa son pénis dans un préservatif, il posa sa main sur le sexe de la jeune femme, et la doigta un peu pour la faire mouiller, mais elle n’en ressenti aucune … jouissance. Puis il se plaça à genoux face à lui. Il saisit les jambes de la jeune femme, au niveau de ses genoux, puis souleva son bassin, pour que son sexe vienne à la rencontre de son vagin. Il la pénétra. Yasmine gémit, et lui poussa un râle de bien-être.

    • Tu es très chaude, j’aime bien. L’élasticité est correcte, et l’humidité correcte.
    • Euh…
    • Il n’y a rien à dire. Je constate c’est tout.
    • D’accord, professeur.

    Fatnat commença à faire des va-et-vient de plus en plus fort, et de plus en plus loin. Il se mit aussi à écarter et resserrer ses jambes, qui stimuler le clitoris de la jeune femme.

    • Tu te souviens, que tes leçons consistent à apprendre à satisfaire un homme. Découvrir ton plaisir, c’est pas mon domaine, et encore moins le satisfaire. Donc tu as interdiction de jouir, du moins avant moi.
    • Oui, … professeur, répondit la jeune femme, même si elle n’avait pas la moindre idée de comment on peut empêcher de jouir.

    Fatnat continua son coït, et Yasmine serrait les dents pendant de longues minutes. L’homme finit par se retirer. Elle laissa tomber ses jambes sur le lit. L’homme fit un sourire.

    • C’est très bien, tu t’es retenue, glissa-t-il à son oreille. Maintenant, tu vas te mettre sur le ventre, et me laissait faire le reste. Je te dirais quand tu pourras jouir, tu vas voir, tu vas adorer.

    Yasmine se tourna sur le ventre. Fatnat lui fit relever une jambe, et l’autre resta tendue et lui dit de soulever un peu le haut de son corps sur ses bras. Fatnat s’allongea sur elle, et plongea son sexe dans son vagin, encore bien humide. Il souleva son corps sur la force de ses bras, et commença à faire de profonds va-et-vient. Yasmine se retrouva posséder par un homme qu’elle ne connaissait même pas, dans une position où il avait clairement tous les pouvoirs sur elle.

    • Oh… gémit-il… tu … peux jouir, fit-il.

    Il éjacula dans le préservatif, mais Yasmine n’était pas capable de jouir sur commande, il se retira avant qu’elle puisse être pleinement … satisfaite. Mais elle n’avait pas le droit de se plaindre.

    • C’est dommage pour toi, mais c’était pas mal. Je suis pleinement satisfait pour cette nuit. Cette position est celle du triton. Souviens-toi bien des noms.
    • Oui, professeur.

     

    Fatnat se tourna, et s’allongea sur le dos, il ôta le préservatif qu’il donna à Yasmine. Elle le regarda un moment, en se demandant ce qu’elle devait en faire.

    • Avale ! ordonna-t-il en la regardant.

    La jeune femme avala le sperme contenu dans le préservatif, puis le mit à la poubelle. Fatnat s’allongea sur le côté, éteignit la lumière et lui souhaitant une bonne nuit. Yasmine s’allongea frustrée, et glissa même ses mains sur son antre féminine pour tenter de se faire jouir. Elle y parvint après de longues minutes, dans un étrange silence.

     

    Le lendemain, Yasmine ouvrit les yeux, le réveil affichait 7h, du matin. Elle avait toujours été matinal. Fatnat était allongé à ses côtés. Elle tenta de se lever sans bruit pour ne pas le déranger. Mais soit il avait le sommeil léger, soit il ne dormait plus, mais il ouvrit les yeux.

    • Action du matin. Tu vas préparer le petit déjeuner, et tu le ramène, et une petite fellation me plairait. De toute façon, tu peux manger, sans gouter à mon sperme d’abord.
    • Bien, professeur.

    Yasmine se leva et prépara le petit déjeuner, elle posa le plateau sur les genoux de Fatnat et se glissa dans les draps pour prendre en bouche l’homme. Elle réalisa une belle fellation, il gémit de nombreuses fois, et elle finit par recevoir son sperme dans sa bouche. Elle avala et se redressa. Elle s’assit à côté de lui, et ils partagèrent le petit-déjeuner. Fatnat lui expliqua le programme de la journée.

     

    Ils allaient se doucher, s’habiller, bien sûr, elle devait mettre sa culotte de chasteté, toute la semaine, et il dit qu’il ajoutera un truc. La jeune femme commença à avoir un peu peur.

    • Essaye de mettre une jupe courte, nous allons aller danser, suivre un cours dans un club. Ensuite, nous reviendrons manger, je t’expliquerais comment réaliser une branlette espagnole, c’est ton exercice de la journée. Ensuite cet après-midi, nous irons chez un visagiste pour la coiffure et le maquillage.
    • Oui, professeur.
    • Aller, ma petite salope, je vais à la douche, toi tu nettoies le petit déjeuner.

    Yasmine se figea devant ce nom, et la regarda surprise, il lui fit un sourire. Avait-elle vraiment son mot à dire sur le sujet ? Fatnat se leva et se rendit dans la salle de bain. La jeune femme lava la vaisselle et rangea le petit déjeuner, elle prépara aussi sa tenue. Il sortit de la douche.

    • A ton tour, ma petite pute ! dit-il, il donna un claqua sur les fesses de la jeune femme.

    Yasmine entra dans la salle de bain, elle prit sa douche, s’habilla au mieux, avec une jupe courte, mais la plus longue qu’elle avait pu trouver, elle ajouta des bas, et sortit de la douche.

    • Ça ira pour aujourd’hui, mais n’hésite pas à faire plus court. Crois-moi, ça plait à tous les hommes.
    • Oui, professeur.
    • Viens par-là ! fit-il en la dirigea vers la table.

    Il lui dit de poser ses mains sur la table, et de soulever ses fesses. Fatnat décala la lanière de la culotte, puis parvint à glisser un doigt dans son anus, la jeune femme gémit, et se dandina. L’homme lui donna une fessée et lui dit de ne pas bouger. Après quelques minutes, il lui dit de se relever, elle sentait qu’il y avait un truc dans son anus.

    • Qu’est-ce que c’est ? … professeur.
    • Un plug anal.
    • Un plug ?
    • C’est un petit objet qu’on insère dans l’anus. Il sert à se faire plaisir, et à préparer ton corps pour d’autres … activités, dit-il avec un sourire en coin.

    La jeune femme avait tout à fait compris de quoi, il parlait, il parlait de l’enculer, de la sodomiser. Elle n’avait jamais fait quelque chose de ce genre-là. Mais déjà ils étaient dehors, Fatnat lui avait assuré qu’elle n’y penserait plus très vite. Pourtant elle le sentait en elle, à chaque fois qu’elle ne faisait pas un devant l’autre. Et elle gémit quand elle s’assit dans le bus.

    • Tout va bien ? demanda une dame âgée assis à côté d’elle.
    • Oui, oui !
    • Elle a un plug dans le cul, fit Fatnat en se penchant vers la dame, avec ce sourire diabolique.

    Yasmine voulut se faire toute petite, et la vieille dame perdit son sourire, et demanda à descendre à l’arrêt suivant. La jeune femme se sentait honteuse. Ils arrivèrent au club, et Fatnat lui prit le bras, il parla quelques minutes avant la responsable, qui semblait bien le connaître. Yasmine se dit que ce serait une ancienne élève que cela ne serait pas impossible. Ils allèrent sur la piste de danse et la responsable lui expliqua comment briller dans les bras de son partenaire en dansant. Pendant une heure, ils dansèrent valse, tango, rock, slow... le tout avec un plug dans l’anus.

    • Elle a une certaine sensualité … elle est bien caché sous des couches de … manque de sport, dit la professeure de danse.
    • Je suis d’accord, c’est ce que j’ai cru voir chez elle.

    Yasmine les écoutait parler d’elle, comme si elle n’était pas là. A chaque fois qu’elle avait voulu parler, elle avait reçu un regard dur et froid de Fatnat, elle s’était donc tue, pour éviter la punition qu’elle aurait en rentrant à la maison.

     

    Ils firent de retour à l’appartement, à onze heures. Fatnat lui ôta son plug anal, puis Yasmine fut confiner à la cuisine, pendant que Fatnat assis sur le canapé, zappait sur des chaines. Elle posa le couvert, et puis s’avança vers lui.

    • Le repas est prêt, professeur, fit-elle.
    • Bien approche, ma petite salope. Alors tu vas me faire une branlette espagnole, ça ne devrait pas être compliqué. Enlève le haut, et libère tes deux magnifiques obus.

    Yasmine fit donc comme il disait et se mit en condition. Il libéra son engin. Il en avait un vraiment gros, elle bandait déjà à moitié. Il lui expliqua comment placer ses seins pour coincer son sexe entre eux. Puis de faire un mouvement de va et vient avec eux, pour entourer son pénis.

    • Tu peux te servir de ta bouche pour sucer le haut. Voilà, maintenant je te laisse faire pour me donner du plaisir.

    Yasmine serra ses seins plus forts autour du sexe de l’homme, à genoux devant lui, elle se leva un peu, pour prendre le bout de son pénis dans sa bouche, qu’elle titilla sa langue, et suça avec ses lèvres.

    • Ça c’est bien, salope, continue !

    Elle s’activa sur le pénis de l’homme pendant cinq minutes, avant de le sentir, monté, Fatnat posa sa main sur son front, et la poussa pour libérer son sexe et éjacula sur ses seins.

    • C’est le but d’une branlette de pouvoir jouir sur les seins d’une femme. Tu peux manger.
    • Merci, professeur.
    • Oh, salope… et, reste comme ça le temps du repas.

    Yasmine mangea donc les seins en l’air, en sentant le sperme coulait un peu, puis se sécher sur sa peau. Elle se lava et se rhabilla avant de partir pour le rendez-vous chez le visagiste. Ils arrivèrent dans le salon, un homme les accueillit avec le sourire. Là aussi, il semblait bien connaître Fatnat.

    • Deuxième jour ? demanda-t-il à Fatnat.
    • Aller venez avec moi !

    Pendant une heure, la jeune femme se laissa faire entre les mains expertes de cet homme, elle vit avec effroi ses longues mèches de cheveux tombaient sur le sol. Le plug dans son anus, qui était de retour, ne cessait de la titiller, et elle changeait de position sur le fauteuil, en vin. Une fois que le travail fut fini, Fatnat observa le résultat.

    • Parfait !

    La jeune femme se vit enfin dans le miroir, et pour la première fois de sa vie, elle se trouva belle. Elle avait les cheveux mi-longs, dont un côté avait été tressé pour revenir vers l’arrière de son crâne, l’autre côté, avait été plaqué par du gel, et une petite barrette, et à l’arrière, c’était libre de voltiger sur sa nuque et dans son dos. Son visage avait maquillé avec élégance, aucune vulgarité, ni effet pot de peinture.

    • Les tons pastel lui va mieux, mais je pense qu’un peu de couleur vives, parfois ne ferait pas de mal.
    • Tu es très belle, ma petite salope, fit-il avec sa voix grave qui pouvait s’entendre à des kilomètres.

    Yasmine piqua un phare, et monta rouge, mais elle ne dit rien pour autant. Il lui prit le bras, et ils quittèrent les lieux. La jeune femme se demandait combien cette semaine pouvait bien lui couter, entre les vêtements, les cours de danse, le maquillage, le coiffage. Elle espérait vraiment qu’elle n’aurait rien à payer, parce que son salaire n’y suffirait pas.





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