[+18 ans] Chapitre 4

Les besoins de tous

 

Le lendemain, Karin avait fait l’amour avec son grand frère, puis elle avait pris une douche, et se rendit à la faculté, avec le cœur en fête, et le corps … satisfait pour un temps. Mais après la folle nuit qu’elle avait vécu dans les bras de John et Kévin, elle se sentait bien. Elle s’assit dans la salle de cours, et elle observait son professeur avec envie. La jeune femme écarta les cuisses, et les caressa doucement, assise au premier rang, personne ne pouvait voir son manège. Mais le professeur lui n’en ratait pas une miette de ce torride spectacle.

 

Ils passèrent à nouveau un bon moment tous les deux. Ils firent l’amour. La jeune femme s’allongea sur son bureau, et écarta les cuisses. Le professeur s’avança vers elle et se déshabilla en chemin. Il se mit à genoux devant elle, pour sucer son petit clitoris. Il plongea son nez entre les cuisses de la jeune femme, et glissa sa langue dans tous les recoins de son sexe. Il se mit à lui lécher son petit clitoris avec délice. Il lécha aussi l’intérieur de ses cuisses. Elle gémissait sous sa langue, et il sentait les doigts de la jeune femme se glissait dans ses cheveux. Elle se mit à jouir sous sa langue, et le professeur but sa cyprine à sa source. Le professeur se releva, et entra en elle, et se mit à la pilonner. Il fit des va-et-vient de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort.

 

Il tenait ses hanches pour qu’elle ne glisse pas trop. Karin se mit à son tour, à crier. Il sentit que son vagin se serrant encore plus…. Oh c’était trop bon. La jeune fille se mit à jouir comme une petite folle. Elle ondula sous lui, elle se mit à crier sa jouissance. C’était trop bon tout ça.

• Oh oui ! cria-t-elle en jouissant une nouvelle fois.

 

Le professeur ne mit pas longtemps à suivre, et jouir en elle, dans son préservatif, comme un fou. Il pencha la tête en arrière en criant. Il se retira du corps de la jeune femme, et l’aida à se relever. Elle se cala contre lui, puis elle quitta le bureau du professeur. Elle mangea son repas dans un coin, à observer Lionel travaillait dans le jardin de la faculté. Karin lui sourit de nombreuses fois quand leurs regards se croisaient, mais lui… n’avait pas d’intention particulière pour elle.  La pause déjeuner se termina et alla rejoindre sa salle de cours, un peu déçue, mais en même temps impatiente de retrouver son … amant de l’après-midi.

 

Lionel s’avança vers la fenêtre du professeur, et frappa. Le professeur ouvrit et observa le jardinier. Ils se regardèrent un moment, le jeune homme fit un sourire en coin.

• Tenez ! Venez vers 17h à cette adresse, nous allons discuter.
• De Karin ?
• D’accord, j’y serais.

Le professeur referma la fenêtre de son bureau, en lisant l’adresse que venait de lui donner le jardinier. Il soupira et hocha la tête. Il avait envie de continuer à jouer avec le corps de sa princesse aux cheveux dorés, mais il se demandait ce que Lionel avait bien pu préparer, ou penser. Il n’avait pas de cours, cet après-midi, il décida de fermer son bureau et d’aller faire une balade. Il irait à ce rendez-vous, et verrait bien ce qu’ils allaient lui dire. Et il prendrait une décision après.

 

L’inconnu du métro venait de finir sa journée, il monta dans le métro, et descendit dans le quartier de l’adresse que son frère lui avait donné. Il repéra la maison, mais il n’y avait personne. Il décida de faire un petit tour dans les environs pour se calmer un peu. Son petit frère avait toujours eu des … idées étranges en ce qui concerne la sexualité. Il s’était ouvert à tous, un peu trop d’ailleurs. Ils avaient passé des mois à flipper quand il avait eu un rapport homosexuel à risque. Heureusement le test était négatif concernant le SIDA. Depuis, il avait un peu calmé les choses, enfin … c’est ce qu’il avait cru jusqu’à aujourd’hui.

 

Il était dix-sept heures quand son frère lui envoya un message pour lui dire qu’il était à l’adresse. L’inconnu du métro, observa un vieil homme sonna à la porte de la maison, il fronça les sourcils, mais se présenta à son tour à la porte.

• Bonjour, fit-il au vieil homme.
• Oui ?

La porte s’ouvrit sur un jeune garçon, qui devait avoir dix huit ans. Il invita les deux hommes à rentrer dans la maison.

• Lionel ?
• Oh, salut. Brian ! Je te présente John Kévin, et le professeur Landrin.
• Enchanté, fit Brian.
• Voici Brian, mon grand frère. Alors installez-vous ! fit Lionel.

Les cinq hommes s’installèrent dans le salon autour d’une bière, ou d’une boisson plus forte, avec des petits gâteaux apéritifs.

• Donc, tu voulais … qu’on parle de Karin ! commença Brian.
• Oui, donc comme vous le savez, elle a des besoins très particuliers, et je pense qu’à nous cinq nous devrions pouvoir la satisfaire. Je propose un tour de table pour se présenter. Donc je suis Lionel, j’ai 34 ans, et je suis jardinier à la faculté.
• Je suis Brian, j’ai 41 ans, je suis ingénieur en génie civile. Et je suis le grand frère de Lionel.
• Vous connaissez Karin ? demanda Kévin
• Oui… depuis deux jours.
• Ah, je suis John, j’ai 25 ans, et je suis restaurateur, je suis le frère de Karin.
• Elle fait l’amour avec son frère, fit le professeur surpris.
• Avec ses frères, rectifiia Kévin, je m’appelle Kévin, j’ai 20 ans, et je suis le petit frère de Karin.
• Je suis donc le professeur Landrin, Clément, j’ai 58 ans, et je suis donc le professeur de mathématiques de Karin.
• Bien, maintenant nous ne connaissons. Je vais vous expliquer. Elle a besoin … d’une séance toutes les quatre ou cinq heures. Donc une fois, avant de partir de la maison, ensuite à midi avec vous professeur, je m’en occupe dans l’après-midi, et je pense que tu peux la croiser dans la fin de l’après-midi, et ensuite le soir, ou la nuit. Et nous sommes à cinq.
• Les choses sont montées … crescendo depuis ces dernières années. Il lui faudra un sixième… et
• Nous verrons le moment venu pour la suite, fit Lionel. Voici un petit carnet avec toutes les positions du Kâma-Sûtra. Je veux que vous le lisiez et notiez votre nom sur les positions que vous voulez essayer, faire avec Karin.

Lionel tendit le carnet à Clément, qui commença à lire, il reconnut l’écriture de Karin. Il nota son nom sur la plupart des positions. Il tendit le carnet à Brian, qui mit son nom sur le carnet devant de nombreuses positions. John ajouta aussi son nom, et Kévin également. Le jeune homme mit son nom à toutes les positions.

• Est-ce que vous avez des copines ? demanda-t-il aux deux garçons.
• Oui, répondirent les deux.
• Ah ! fit Lionel.

Il était le seul célibataire du groupe. Il annonça qu’officiellement, il se mettrait en couple avec elle. Il était sûr qu’elle ne dirait pas non. De toute façon, il allait maintenant contrôler sa vie, surtout sa vie sexuelle. La réunion fut terminée, et Brian et Clément quittèrent la maison.

 

Sur le quai du métro, Brian repéra les longs cheveux blonds de la jeune femme. Il se présenta devant elle, de toute sa hauteur. Karin leva les yeux vers lui, et fit un énorme sourire quand elle le reconnut.

• Bonjour ! fit-elle de sa petite voix.

Brian lui saisit la main, et la conduisit dans les toilettes de la gare. Ils entrèrent dans la cabine. L’homme la souleva et la plaqua contre le mur, et elle entoura sa taille avec ses jambes. Ils commencèrent par s’embrasser avec … sensualité, qui contrastait avec les lieux.

• Karin !
• Comment vous connaissez mon nom ?
• J’ai parlé avec tes frères, ton professeur et ton jardinier, nous avons décidé d’organiser ta vie sexuelle.
• Ma vie… sexuelle ! répéta Karin.

Brian glissa sa main sur le sexe de la jeune femme, elle était en robe, et ne portait pas de culotte. Il enfonça un doigt dans son sexe, puis il ouvrit sa barguette et sortit son sexe pour pénétrer la jeune femme. Ils firent l’amour contre le mur, pendant de longues minutes avant que chacun ne se mettent à jouir.

 

Karin rentra chez elle, et eut la surprise de trouver les trois hommes, ses deux frères et Lionel dans le salon, en train de boire un verre d’apéritif avec des gâteaux.

• Bonsoir ! fit-elle avec un sourire.
• Bonsoir, princesse ! As-tu passé une bonne journée ?
• Oui et vous ?
• Très bien, merci, répondit John.

Il se leva du fauteuil et dit qu’il préparait rapidement un repas, Kévin annonça qu’il allait faire ses devoirs, et Karin se retrouva seule dans le salon avec Lionel, sans savoir ce qu’elle devait faire, ou dire.

• Euh…
• Approche !

Karin s’avança et s’assit sur le fauteuil en face de lui, et posa ses mains sur ses genoux, et fixa son amant du regard, en attendant de savoir à quelle sauce, elle allait être manger.

• Tiens, fit-il en lui tendant son carnet de note. Chacun d’entre nous a noté les noms pour tester des positions sexuelles. Je veux que tu les fasses.
• Ah ! Et…
• Toi et moi annonceront à tes parents que nous sommes en couple.
• Toi et moi …
• Tu arrêtes de m’interrompre !
• Pardon !
• Nous allons tous les cinq couvrir tes besoins sexuels, tu te rends compte combien on t’aime pour … faire quelque chose comme ça. Au moment où cinq ne te suffira plus, tu me le diras. D’ailleurs, je veux que tu me parles de tout ce qui se passe. Avec le professeur, tes frères, et … mon frère.
• Ton frère ?
• Oui, ton bel inconnu du métro, est mon frère. Le monde est petit, hein ?
• Oui !

 

Les quatre prirent leur repas ensemble, Karin était assise entre son frère John et Lionel, qui s’arrangeait tous les deux pour qu’une de leurs mains viennent la doigter pendant tout le repas. Elle mangeait son repas en silence, pendant que les trois hommes parlaient d’elle, principalement.

• Nous allons nous amuser ce soir, tous les quatre. Tu te sens capable de satisfaire trois hommes ? demanda Lionel.

Karin ne savait pas trop, mais elle avait déjà réussi avec deux, alors trois, ça devrait être possible. Elle hocha la tête. Lionel lui dit d’aller prendre une douche, pendant qu’ils rangeaient et préparaient le reste.

 

La jeune femme entra sous la douche, elle se lava le corps, en passant sur chaque recoin. Elle s’épila, et se rasa pour être aussi lisse que possible. Elle se mit de crème hydrante, Karin se fit la plus belle possible pour ses trois hommes. La jeune femme se mit une nuisette de dentelle, et des petits chaussons. Elle descendit de la salle de bain pour se présenter devant eux. Ils étaient assis dans le salon. La jeune femme s’approcha de Lionel, et le laissa la regarder, et la toucher.

• Tu es belle, et tu sens bon, fit Lionel.

Karin sentit deux mains se posaient sur ses seins, et les caresser, la jeune femme se laissa aller son dos, contre le torse derrière elle. John lui procura énormément de plaisir. Son petit frère Kévin, souleva sa nuisette et se glissa dessous pour venir lécher son clitoris. Lionel se leva du fauteuil, et se mit au-dessus de Kévin, pour venir embrasser Karin. Cette dernière embrassa son nouveau… compagnon. La bouche de John déposer des baisers sur sa nuque, et celle de Kévin sur ses cuisses. Elle finit par jouir.

 

Lionel souleva la jeune femme et la posa sur le canapé et les trois hommes se mirent à nu devant elle. Puis la regardait, avec leurs sexes droits. Elle comprit que c’était à son tour de jouer, elle devait … les satisfaire. Elle se mit à genoux, et mit dans sa bouche le sexe de Lionel. Ce dernier prit sa tête entre ses mains, et procura lui-même le rythme de leurs danses. Pendant ce temps, elle tenait en main, les deux pénis de ses deux frères et les branler de son mieux. Elle gémit en sentant la force de Lionel, il la possédait, et même si ce n’était pas entièrement agréable, cela l’excitait de se faire posséder de cette façon.

• Je vais… fit Kévin !

Lionel arrêta la main de Karin sur le sexe de son frère et lui dit de ralentir, il fallait attendre les autres pour qu’ils jouissent tous les trois en même temps. La jeune femme laissa sa main sur le pénis de Kévin.

• Je vais … fit John.

Karin s’arrêta à son tour… Lionel se retira de sa bouche, et les trois hommes prirent leurs sexes en même et avec quelques va-et-vient, ils se mirent à jouir tous les trois sur le corps de Karin. La jeune femme baissa la tête. Un jet tomba sur sa nuque, un autre sur ses bras, sur ses genoux, et le reste sur sa nuisette.

 

Karin leva les yeux vers les trois hommes, Lionel s’accroupit devant elle, et la fixa avec le sourire. John glissa une main dans sa masse de cheveux, et la décoiffa. Kévin caressa son dos.

• Retourne prendre une douche, et laisse ta nuisette là-haut, tu n’en as pas besoin.

La jeune femme remonta vers la salle de bain. Les trois hommes s’assirent. Lionel s’assit à côté de Kévin. Il passa un bras derrière sa tête, et posa ses doigts sur son épaule. Le petit frère de John ne se sentait pas entièrement à l’aise à côté de son nouveau beau-frère… Il avait trop de prestance à son gout.

• J’ai appris que tu aimes bien… la sodomie. Tu as testé pour toi-même ?
• Euh… non.
• Tu veux essayer ?
• Euh…
• Il faut essayer une fois, après si tu n’aimes pas… Je n’insisterais pas, tu as ma parole.
• Euh…

Karin revint dans la pièce, et Lionel se leva et s’avança vers elle, la jeune femme était nue devant eux, elle ne portait que ses petits chaussons. Il s’accroupit, et leva un pied pour lui ôter, et l’autre aussi.

• Comment on s’organise ? demanda John.
• Tu as besoin d’un mode d’emploi, fit Lionel.
• Non…

Lionel prit les seins de la jeune femme et l’embrassa avec passion, Kévin n’attendit pas pour venir derrière elle, accroupit au niveau de ses fesses, pour venir lécher son anus, et son clitoris. John se retrouva comme un idiot. Il s’allongea au sol, et soupira. Karin repoussa doucement Lionel, et s’avança vers lui …. Elle prit son sexe en main, et le branla. A quatre pattes, elle offrait ses fesses, à Kévin qui en profita pour venir glisser son sexe dans….

• Tu préfères quel trou ? demanda son petit frère.
• Ne lui demande pas, choisit celui que tu veux, répondit Lionel.

Kévin hocha la tête, et enfonça son pénis dans son cul. Il adorait sodomiser sa sœur. Il avait essayé avec sa copine, mais elle avait refusé, en le repoussant violemment. Karin se mit à gémir, et poussa des petits cris.

• Tu fais trop de bruits ! fit Lionel, en mettant son sexe dans sa bouche.

 

Ils s’amusèrent comme ça pendant plusieurs minutes à faire des va-et-vient dans les corps d’un et des autres. Quand Kévin éjacula entre ses fesses, Karin s’avança et vint s’empaler sur son frère John, et commença à danser sur lui. Elle posa une main sur le sexe de Lionel, et l’autre sur celui de son petit frère, et John ses mains sur les hanches de sa petite sœur donnait le rythme.  Lionel éjacula sur la poitrine de Karin, suivit de peu par Kévin. Karin passa ses mains sur ses seins pour en récolter les spermes et glissa ses doigts dans sa bouche.

• Mmmh ! fit-elle.

Puis elle se mit à jouir sous les coups de son frère. John en fit de même, et éjacula dans le vagin de Karin. La jeune femme s’allongea sur le dos, et respirait avec rapidité et bien être. Quand Kévin s’avança vers elle, il souleva ses hanches, et enfouit son pénis dans le vagin de sa grande sœur. Il commença des va-et-vient dans le cœur de son intimité. Soudain, il sentit un doigt se mettre dans son anus. Il se raidit, mais il ne le repoussa pas.

 

Lionel mit un peu du lubrifiant sur son sexe. John l’observait faire, et comprit ce qu’il avait l’intention de faire. L’homme posa sa verge sur l’anus de Kévin… il attendit la réponse du jeune homme, mais aucune. Alors il poussa un peu. Kévin se raidit un peu, mais Lionel posa ses mains sur ses hanches, et entra plus loin. Voilà Lionel fut à l’intérieur, et commença à faire des va-et-vient dans le cul de Kévin, qui donnait un rythme à sa pénétration dans le vagin de Karin. John s’accroupit en face de son frère, et croisa le regard de Kévin, ce dernier ne semblait absolument être dégouté. Est-ce qu’il avait des penchants homosexuels ?

John sentit une petite langue se glissait sur son sexe, il croisa le regard de Karin. Il mit un coussin sous sa tête, et enfonça son pénis dans la bouche de sa sœur.

 

Il n’eut que des gémissements et des bruits de pénétration, pendant quelques minutes, quand ils se mirent à jouir les uns après les autres. D’abord Karin sous les assauts des deux hommes, puis Kévin, bien qu’il ne sût pas si c’était de pénétrer sa sœur, ou d’être pénétré par derrière. Puis Lionel, qui lâcha la sauce dans le cul du jeune homme. Ensuite John qui jouit dans la bouche de sa petite sœur. Les quatre amants se déboitèrent les uns des autres, et s’allongèrent les uns à côté des autres. Sauf Lionel, qui vint prendre Karin dans ses bras. Il la souleva dans ses bras et la ramena dans sa chambre.

• Le reste ne regarde que nous ! fit-il à John et Kévin couchés sur le sol.