• L’organisation

     

    Karin ne savait pas du tout comment s’en sortir… mais ça fait le deuxième homme avec qui il la voyait faire l’amour… donc en deux jours… elle avait déjà fait l’amour avec trois hommes, cet inconnu des toilettes, le professeur de la fac et lui-même. Qui sait combien il peut y avoir d’autres… La jeune femme ne savait pas du tout quoi lui dire.

    • Je … J’en ai besoin…
    • Besoin de quoi ? de faire l’amour ? de jouir ? Tu es … une …
    • S*l*p*, oui je sais…
    • Ce n’est pas ce que j’allais dire.
    • Autant dire les bons mots, non. Il y a plus … d’hommes qui me sont passé dessus en une journée que je n’ai de doigts à la main. Tu vois…
    • Pourquoi me dis-tu tout ça ?
    • Pour que tu saches… qui je suis !
    • Et que j’en sois … dégouté ? Quel est le but ?
    • Tu comprends rien… du tout. s’écria Karin.

    Elle repoussa le jardinier et commença à s’éloigner, elle ne pouvait pas rester auprès de lui, elle va avoir envie de lui… et couché avec lui dans ses conditions ne lui allaient pas du tout.

    • Attend ! Ne te sauve pas ! Je ne peux pas … te satisfaire. J’ai encore envie de toi… fit le jardinier.
    • Je peux pas … dire non.
    • Pas besoin, laisse-toi aller ! fit le jardinier.

     

    Il se mit derrière elle, et cala son corps contre le sien, et posa une main sur son sein, et l’autre se glissa dans sa bouche, pour qu’elle suce ses doigts.

    • Tu es à moi, maintenant.
    • Mmh… j-pnd !
    • Qu’est-ce que tu dis ?

    Karin posa ses doigts sur la main du jardinier, et la retira de sa bouche.

    • Je disais que … j’ai beaucoup de … besoin !
    • Alors je veux connaître les autres…
    • Hein ! Oui, tu es à moi, maintenant, et je veux savoir qui va te toucher et te faire l’amour. Combien il y en a ?
    • Et bien… il y a le professeur, un inconnu que j’ai croisé dans le métro.
    • Tu ne connais pas son nom ? D’ailleurs tu ne connais pas le mien non plus. Qui d’autre ?
    • et … … mesfrzorezs
    • Qui ?
    • Mes deux frères !
    • Hein !? Ah oui, carrément.
    • Et … aussi d’autres… inconnus pour une seule fois.
    • Tu en as tout le temps envie…
    • Oui !

     

    Le jardinier se recula, observa la petite nymphe, elle avait un corps appelant à faire l’amour. Nul doute que peu d’hommes devait résister quand elle s’avança vers eux avec le sourire et leur demandé de coucher avec elle.

    • Amène-moi chez toi ! ordonna-t-il.
    • .. d’accord !

    Ils montèrent dans le métro et firent le trajet ensemble. La jeune femme se trémoussait à côté de lui. Il caressa sa cuisse pour la faire patienter, il n’avait pas envie qu’elle se jette sur lui, ou sur le premier venu. Ils terminèrent le voyage à pied dans une ruelle. Ils montèrent dans l’immeuble, et entrèrent dans un appartement.

    • Il n’y a personne ?
    • Mes parents sont en voyage, comme toujours. Et mes frères sont au travail ou à l’école.
    • Décris-moi tes frères ?
    • Kévin est le plus jeune, il y a 20 ans, et travaille dans une école pour un BTS en ingénierie. Et John a 25 ans, et travaille dans un restaurant, comme cuisiner.
    • Et le professeur ?
    • Il a 50 ans, il est marié depuis 30 ans et … c’est un grand mathématicien.
    • Et l’inconnu du métro ?
    • Il est marié aussi, je dirais qu’il a autour de 30 ans, et apparemment sa femme ne lui fait pas de fellations.
    • Et tu me dis ça, comme ça, toi ?
    • Ce n’est pas toi qui voulais les connaître !
    • Si… Bon maintenant… Est-ce que tu as un ordinateur ?
    • Euh… oui.
    • Voilà ce que tu vas faire, tu vas t’installer devant ton ordinateur, et faire des recherches ?
    • Des recherches.

     

    Karin ramena son ordinateur portable sur la table de la salle à manger. Elle s’assit, et suivit les instructions du jardinier. Il lui avait dit de faire des recherches sur le Kâma-Sûtra et les positions pour faire l’amour. Elle en trouva plus de 100. Pendant ce temps-là, l’homme se glissa sous la table, il amena la jeune femme à poser ses fesses sur le bord de la chaise. Il écarta les cuisses et se mit à la lécher son sexe. La jeune femme prit un stylo, et nota sur un carnet les différentes positions, avec la façon de les faire. Elle ne comprenait pas pourquoi elle devait faire ça.

    • Je peux pas écrire… fit Karin en se sentant jouir.

    Elle se pencha en arrière et glissa complétement sous la table, elle se cogna la tête contre la chaise, et tomba sur le dos, à moitié assommé.

    • Et ben alors… princesse !
    • Pardon… c’était … bon, très bon… trop bon.

     

    Le jardinier posa les mains sur ses hanches et la poussa hors du dessous de la table, il ouvrit son pantalon, et vint la prendre à même le sol au milieu de la salle à manger. Ils couchèrent ensemble au milieu de sa maison. Elle jouit comme une petite folle, et pencha la tête en arrière, elle vit ses deux frères à l’envers au-dessus d’elle. Le jardinier jouit dans son vagin, et éjacula son sperme.

    • Tiens les deux frères ! J’ai des choses à dire. Toi, fini ton travail sur le carnet.
    • Oui !
    • Où peut-on aller pour discuter ?
    • Dans le salon, proposa John.

    Les trois hommes s’installèrent dans le salon, pendant que Karin se trouvait dans la salle à manger, elle termina de noter toutes les positions sexuelles, même s’il y en avait quelques-unes, très acrobatiques.

     

    John, Kévin, et le jardinier se trouvaient dans le salon de la famille. Le jardinier observait les deux frères.

    • Lequel de vous a pris la virginité de Princesse ?
    • Moi ! fit John. Quelle est votre idée ?
    • Votre sœur est nymphomane.
    • Oui, je m’en doutais… il faudrait faire quelque chose.
    • Oui ! On peut en profiter, fit le jardinier en croisant les jambes.
    • Hein ?
    • C’est quoi votre nom ? fit Kévin.
    • Lionel !
    • Lionel, vous voulez… profiter du corps de notre sœur !
    • Vous aussi, non ? Je veux juste qu’on … organise les choses. A moins que vous vouliez que ce qui s’est passé hier, se répète.
    • Qu’est-ce qui s’est passé hier ? demanda Kévin.
    • Un homme a failli abuser de votre sœur. Elle a besoin d’être guidé, et contrôlé dans sa … folie du désir. Elle a fait l’amour avec cinq hommes, non six, rien qu’hier.
    • Six ! fit Kévin.

    Les trois hommes se mirent donc d’accord pour organiser la vie sexuelle de Karin, afin qu’elle n’en souffre pas en étant violé dans un coin, ou avec des inconnus et se retrouve malade ou enceinte. Ils se donnèrent rendez-vous le lendemain à 18h, à la maison.

     

    • J’ai fini, fit Karin sur le pas de la porte, observant les trois hommes dans la pièce.

    Lionel lui fit un geste et elle entra dans la pièce et lui tendit le carnet avec un sourire. Il se leva en lui disant que malheureusement, il devait rentrer chez lui. Il laissa donc la jeune femme avec ses deux frères pour prendre soin d’elle, et veiller sur elle.

    • Ton portable, avant que je parte ! fit Lionel, sur le pas de la porte.

    Karin fronça les sourcils, mais lui tendit son portable sans rien dire. Le jeune homme récupéra un numéro de téléphone, puis rendit le téléphone à la jeune femme. Il l’embrassa une dernière fois, et envoya un message à l’inconnu du métro. Pourtant ce numéro lui disait quelque chose. Quand le message partit, un nom s’afficha. Il venait d’envoyer un message à son frère, et ben dit-dont le monde est vraiment très très petit. L’amant de sa rose était son grand frère.

     

    Il retourna à la faculté, et trouva le professeur de mathématiques dans son bureau. Il entra sans frapper et referma la porte derrière lui.

    • Oui, vous désirez ? demanda le professeur.
    • Vous parlez de Karin !
    • Karin…
    • Votre maîtresse !
    • Comment… vous savez !
    • Elle me l’a dit… et je vous ai vu par la fenêtre ! Je suis le jardinier.
    • Ah !
    • Est-ce que je peux vous demander ce que vous voulez ?
    • Vous savez que Karin a une sexualité … délurée … c’est une nymphomane.
    • Je m’en doutais.
    • Je veux contrôler ceux qu’elle voit… ceux qui la touche et lui font l’amour. Je ne veux pas … contrarier vos petits jeux. Juste y mettre un peu d’ordre.
    • Comment allez-vous vous y prendre ?
    • Elle vient vous rejoindre à midi, jusqu’à … 14h ?
    • En moyenne, au moment de la reprise des cours.
    • Bien ! Continuons comme ça pour le moment. Fit Lionel.

    Il se leva et quitta le bureau du professeur, et trouva un message de son frère, sur lequel, il y avait plein de points d’interrogation. Lionel sourit et appela son frère.

    • Oui, Lionel ? C’est quoi ce message ?
    • Je sais … tu as fait l’amour avec une petite princesse dorée aujourd’hui ?
    • Hein ? Comment tu sais ça ?
    • Tu ne le nies pas !
    • Tu sais comment ça se passe avec ma femme en ce moment. Bref… Qu’est-ce que tu voulais me dire ?
    • Alors Karin est… très active sexuellement, et je veux gérer les choses pour elle. Elle a déjà bien trop de partenaires à mon gout. Mais imagine ma surprise quand j’ai découvert que c’était toi ! Le bel inconnu du métro. Elle t’a donné une trentaine d’années, elle est mignonne.
    • Oui, très belle.
    • Si je te donne une adresse, tu peux y être demain vers … 17h ? demanda Lionel à son frère.
    • Ça devrait se faire ! répondit son frère.

     

    Karin et ses deux frères étaient à nouveau dans le lit de la jeune femme. C’est toujours là qu’elle avait fait l’amour avec John, et même avec Kévin aussi. Karin était allongée sur le dos, la tête en arrière, dans le vide, elle était en train de tailler une pipe à John. Kévin se trouvait entre ses jambes, et la pénétrait ave vigueur. La jeune femme se mit à gémir, le sexe de son grand frère dans sa bouche. Le premier à jouir, fut Kévin. Il éjacula dans son vagin, puis se retira, il souleva un peu plus ses fesses, pour venir la sodomiser. John éjacula dans sa bouche. Il souleva sa tête pour qu’elle puisse avaler son sperme. Il s’accroupit auprès de sa tête, cette dernière reposa sur un de ses genoux. Il leva les bras, et saisit les chevilles de la jeune femme pour aider son frère à la sodomiser, de manière à l’aise. Kévin posa ses mains sur les hanches de la jeune femme.

     

    • Kévin, cria Karin quand elle se mit à jouir.

    Son petit frère éjacula dans les fesses de la jeune femme, il se recula et John reposa les jambes de sa sœur sur le lit. Elle remonta sa tête sur le lit, et soupira de bien-être. Elle se sentait bien. John s’avança vers elle pour se mettre entre ses cuisses.

    • Tu veux … fit Kévin en lui tendant une lingette.
    • Non… c’est le tien… pas celui d’un étranger, répondit John.

    Il saisit les cuisses de la jeune femme, et vint plonger son sexe dans celui de Karin. Il commença à la pénétrer avec énergie. Kévin observa son frère faire l’amour avec sa sœur. Elle leva une main, et appela Kévin de venir prés d’elle. Il la posa sur son pénis, et elle le caressa avec douceur, mais aussi… un peu de force.

    • Tu es vraiment douée, Karin, dit son petit frère.

    Il s’avança plus vers elle, et prévint son frère juste à temps avant d’éjaculer sur les seins de la jeune femme. Il s’accroupit à ses côtés, et vint embrasser sa sœur. Elle gémit contre sa bouche. Elle était en train de jouir, et un courant de plaisir balaya son corps de ses pieds au sommet de sa tête.

    • Oh… c’est vous qui êtes doués ! dit Karin.

     

    Son frère éjacula à son tour dans un cri, et resta quelques instants dans le corps de sa sœur, avant de se retirer. Les trois partenaires s’allongèrent sur le lit, et se mirent à respirer avec rapidité. Ils devaient prendre leurs rythmes. Karin prit la main de Kévin, en se tourna vers John. Le petit frère de la jeune femme se cala dans son dos, et elle posa sa tête sur la poitrine de John. Ce dernier se tourna sur le côté.

    • Repose-nous un moment ! décida-t-il en faisant remonter la couverture sur eux.

    Les trois partenaires s’endormirent instantanément dans les bras les uns des autres. John fut le premier à ouvrir un œil, il observa un moment sa petite sœur et son petit frère dormir. Il glissa sa main sous les couvertures, et trouva le sexe de Karin. Il la caressa avec douceur, avant de plonger deux doigts dans son vagin, et ainsi la doigter avec de plus en plus énergie.

    • John ! fit-elle en se mettant à jouir sous ses doigts.
    • Viens, murmura-t-il.

    John et Karin quittèrent le lit, et allèrent dans la salle à manger. John tira une chaise, et il s’assit dessus, et la jeune femme se mit à genoux devant lui pour lui faire une fellation. Son sexe se fit de plus en plus dur sous sa bouche et sa main, puis il lui fit signe devenir monter sur lui. Elle s’installa face à face, sur ses genoux, en plongeant son sexe dans le sien. Elle se mit à danser sur lui. Il posa ses mains dans son dos, et lui dit de monter ses jambes sur ses épaules. Karin, heureusement souple, parvint à lever une jambe pour la poser sur son épaule, elle parvint à faire de même avec l’autre jambe. Elle posa ses mains sur ses genoux, et continua de faire des va-et-vient contre son pénis.

    • Mmmh, c’est bon… fit-elle.
    • Vas-y continue.

     

    John leva les yeux et vit son frère nu, qui les regardait, il fit un geste de la tête pour lui dire de s’approcher, ainsi positionné, Kévin posa ses mains sur la poitrine de Karin, et se mit à lui caresser les seins. La jeune femme pencha sa tête en arrière, et son frère parvint à glisser son sexe dans sa bouche. Ils étaient emboités les uns dans les autres… Elle fut la première à jouir. Kévin fut le suivant à jouir dans sa bouche, et John éjacula dans le vagin de Karin.

    • Vous auriez pu me réveiller, au lieu de jouer tous les deux.
    • C’est bien aussi à deux… Il faut qu’on voie comment on s’organise.
    • Mmmmh ! fit Karin.

    La jeune femme avait toujours le sexe de son frère en bouche, le sperme et la salive coulaient au coin de sa bouche. Kévin sourit et se recula, elle se redressa et elle avait mal au cou. Elle se cala dans les bras de John. Son petit frère la souleva pour les décoller tous les deux.

     

    Ils retournèrent tous les trois dans le lit, et terminèrent leur nuit… mais au matin…

     





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