• Les frères de Karin.

     

    Elle resta figée pendant quelques secondes. Puis elle claqua la porte des toilettes.

    • Ne me regarde pas… Je t’en prie.
    • Ma rose…

    Le jardinier posa une main sur la porte des toilettes, et tenta de pousser. Karin s’assit contre la porte, après l’avoir fermé à clé. Elle pleura comme une petite fille, recroquevillée dans le petit coin.

    • Ne m’appelle pas comme ça… je ne suis pas une rose. Je suis … fit Karin, juste une s*l*p*, qui couche avec tout ce qui bouge, sauf qu’elle ne pouvait pas prononcer ces derniers mots. Va-t’en, s’il te plait !
    • Je peux pas te laisser là… Est-ce que cet homme t’a forcée ? T’a-t-il violé ?
    • Non… va-t’en… dit-elle d’un ton suppliant.

    Karin ne voulait pas que cet homme la voie comme ça. Rempli par le … sperme d’un autre homme. La jeune femme sortit son téléphone et envoya un message à son frère pour lui expliquer la situation. Il lui répondit qu’il arrivait. Elle soupira de soulagement. Karin n’entendait plus de bruits, est-ce qu’il avait fini par quitter les lieux ? Est-ce que c’était un piège pour qu’elle ouvre la porte, et qu’il se … jette sur elle.

     

    Elle ne bougea pas pendant ce qui lui sembla être une éternité. Quand son frère entra dans les toilettes et l’appela. Karin ouvrit la porte et se jeta dans les bras de son frère, elle cacha son visage dans sa chemise.

    • Karin, c’est ton nom ! fit la voix du jardinier.

    Elle se recroquevilla contre lui, son frère passa un bras sur ses épaules, et la conduisit hors des toilettes. La jeune femme sentait que son jardinier les suivait. Elle aurait aimé lui dire qu’elle ne voulait pas qu’il la voit comme ça, parce qu’elle … l’aimait justement. John, son frère, la serrait contre lui, et elle pleurait contre sa chemise. Ils rentèrent chez eux.

    • Ne t’inquiète pas, il a perdu notre trace dans le métro, dit John.
    • Merci, d’être venu me chercher.

     

    John et Karin entrèrent dans la maison. Le frère aida sa petite sœur à s’allonger sur son lit, puis il quitta la pièce. Il revint avec de quoi lui faire une toilette, ainsi qu’un repas froid.

    • Désolée, les parents sont partis toute la semaine.
    • Ah oui, c’est vrai.

    John nettoya sa petite sœur, et il se rendit à la pharmacie pour lui donner la pilule du lendemain.

    • Il faut qu’on fasse quelque chose pour toi, Karin. Tout ça prend des proportions…
    • Tu étais bien contente d’en profiter quand même.
    • Karin… faire l’amour avec toi… et te laisser te faire baiser par des inconnus… sont deux choses différentes. Je t’aime, tu es ma petite sœur, je ne peux pas laisser quiconque te faire du mal. Tu as un … problème, ma chérie.

    John poussa les affaires, et vint s’allonger à côté de sa petite sœur, et la prit dans ses bras. Trés vite, Karin posa sa main sur son sexe dans son pantalon, et le caresser doucement.

    • Karin… je suis … pas de marbre… mais il ne faut pas…
    • Arrête, et viens, j’en ai envie… j’en ai besoin… Il me faut… sinon je vais aller chercher un … autre.

     

    John succomba, et glissa sa main entre les cuisses de sa petite sœur, et commença à la doigter, en se plongeait en elle. Et voilà, il allait encore faire l’amour avec Karin, il ne sait pas… lui dire non. Il n’y arrive pas. Il avait des désirs d’hommes, et … il ne voulait pas qu’elle trouve un autre … c*n*a*d pour la satisfaire, qui pourrait être violent avec elle… qui pourrait … la mettre enceinte…

    • Tu en es sûre ? demanda-t-il malgré tout.
    • Oui… fais-moi jouir, grand frère.

    Au moins avec lui, elle pouvait se laisser aller, elle avait confiance pour qu’il prenne soin d’elle, il l’avait toujours fait, même si … ils avaient eu des parties de jambes en l’air… un peu hot. Elle savait aussi qu’il ne pourrait pas y avoir la moindre histoire d’amour possible, tout comme avec son professeur qui était marié, ou l’homme de ce matin, au moins rien à espérer. Mais avec le jardinier… elle aurait dû ne pas y retrouver.

     

    John se mit à nu à côté d’elle, et chacun se mit à masturber l’autre. Elle posa sa main sur son sexe, et fait des va-et-vient, pendant qu’il enfonçait ses doigts dans son vagin. Ils se caressèrent comme ça pendant … de longues minutes. Ils avaient tous les deux, les yeux fermés, et se laissaient aller à la volupté. Karin sentit son frère jouir entre ses mains, elle vint se glisser entre ses jambes, et nettoya son sexe avec sa langue. John sentit son sexe se perdre dans la bouche de sa petite sœur. P*t*n, qu’est qu’elle est douée ! Son sexe se retrouva coincé entre les deux petits seins de sa sœur, et le bout dans sa bouche.

    • Enfonce-le plus loin ! fit-il en levant son bassin.

    Karin ouvrit plus grand la bouche et chercha à prendre le pénis entier dans sa bouche. John se mit à gémir, puis elle se recula, enfila un préservatif sur le sexe de son frère, et vint s’empaler sur lui. Il posa ses mains sur ses hanches, et se mirent à danser ensemble. Il prit ses seins en main, et les écraser entre ses doigts. Il l’allongea sur elle pour venir l’embrasser à pleine bouche, en lui caressant ses cheveux.

     

    Karin posa sa bouche sur celle de son frère, et elle chercha la langue de son frère pour la toucher, la caresser, l’enlacer. Ils partagèrent un baiser profond, puis elle se redressa et se frotta contre lui. La jeune femme se mit à jouir dans les bras de son frère, il éjacula quelques secondes suivantes.

    • Tu es … magnifique, tu … es belle !
    • Toi aussi, tu es beau.
    • Je t’aime, Karin.
    • Je t’aime aussi, fit la jeune femme.

    Elle se glissa dans les bras de son frère. Il tira la couverture sur eux, et ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Sans savoir qu’une ombre les avait observés par la porte entre-ouverte. Le second frère qui avait 20 ans, tenait son sexe en main, et venait de jouir devant la porte de la chambre de sa sœur. Kévin poussa la porte, se mit nu lui aussi, et se glissa derrière sa grande sœur. Il frotta son sexe contre les fesses nues de la jeune femme.

    • Karin… murmura-t-il.
    • Mmmh ! fit-elle.

    Karin ouvrit un œil, et croisa le regard de Kévin, son petit frère. Ils se regardèrent pendant de longues secondes, puis elle ouvrit doucement les cuisses, et il se glissa en elle, en position de la cuillère. Il la pénétra et fit des mouvements doux et aussi profonds que possible. Son grand frère dormait de l’autre côté. Karin avait sa tête posée sur la poitrine de John, pendant que Kévin faisait des va-et-vient dans son vagin.

    • Qu’est-ce… que tu fais ? demanda John dans son sommeil.

    Il ouvrit un œil, et vit son petit frère en train de faire l’amour à sa sœur.

    • Ah d’accord ! Vas-y petit frère… fit John dans un ton … peut-être un peu vulgaire.
    • J’ai pas … ce qu’il faut, dit-il en se retirant. Je peux jouir dans l’autre trou ? demanda-t-il.
    • Mmmh ! fit Karin.

    Elle posa sa main sur sa fesse, et l’écarta pour qu’il vienne s’empaler en elle. Il cracha sur l’anus de Karin, et mouilla un peu le tout, avant de … venir plonger son sexe dans son cul. Il poussa avec …. Furie.

    • Kévin ! cria Karin.

    John vint prendre sa bouche pour l’empêcher de crier trop fort, et tenant sa tête, il aida son frère à enculer leur sœur. Il sodomisa Karin, avant d’éjaculer en elle. La jeune femme se mit à jouir, c’était vraiment magique… c’était vraiment jouissif. Pendant quelques secondes… elle savoura ce bonheur. Ses deux frères étaient magiques.

    • Merci ! fit Karin le sourire aux lèvres.

    Elle tomba dans le sommeil. Elle avait besoin de ça pour s’endormir heureuse, et sereine.

     

    La jeune femme se réveilla au cours de la nuit, elle observa ses deux frères couchés à ses côtés. Kévin était toujours allongé sur le côté, son sexe contre ses fesses. John était allongé sur le côté, et son sexe se trouvait prés de son vagin. Ils étaient tous les deux au repos, mais Karin avait bien envie de se faire prendre en même temps par les deux. Kévin semblait adoré son cul, et John avait toujours préféré son vagin. Karin vit son téléphone s’allumer dans la nuit, elle se leva pour prendre son téléphone et découvrit un message de son … mystérieux invité d’homme marié… Il n’avait pas pu attendre très longtemps avant de la recontacter. La jeune femme répondit en lui donna rendez-vous le lendemain non loin de chez elle. Karin l’imagina allongé dans son lit, avec sa femme endormie à ses côtés, en train d’envoyer un message à sa … maîtresse, elle.

     

    • Tu es réveillé, fit John à ses côtés.

    Il posa sa main sur son sein, et commença à lui caresser, elle se mit sur le dos, et une autre main, celle de Kévin se posa sur son autre sein.

    • Vous pouvez me prendre … tous les deux en même temps ? demanda-t-elle.
    • Mmmh ! firent tous les deux.

    John se pencha vers sa poitrine, et honora ses seins de mille et une caresses avec sa langue, ses doigts, ses mains, ses dents. Et Kévin lui se glissa entre ses cuisses, et vint lui prodiguer des caresses sur son sexe, avec sa langue, ses lèvres, ses doigts, sa main… Elle se mit à jouir, comme une folle entre leurs mains. John s’allongea sur le dos, et dit à Karin de venir sur lui. La jeune femme s’empala sur son sexe et commença à danser. Son petit frère la poussa sur la poitrine de John, qui l’entoura de ses bras, et Kévin présenta son sexe contre l’anus de sa grande sœur, et poussa pour y entrer de tout son long. Elle gémit entre leurs bras.

     

    C’est Kévin le petit frère de la fratrie, qui donna le rythme à leur … coucherie. Il fit des va-et-vient profonds dans le cul de la jeune femme, qui la poussait elle-même sur la verge de John qui était en dessous. Et les voilà … atteindre le septième ciel. Kévin jouit dans le cul de Karin, et John dans son vagin.

    • Merde, j’ai pas … mis de préservatif ! fit-il soudainement.
    • C’est pas … grave ! ça me gêne pas d’avoir un enfant de toi ! fit Karin en tombant sur sa poitrine.

    Les deux frères se regardèrent, un peu surpris. Mais … étrangement cela ne les déranger pas non plus. Kévin se retira, il prit une lingette pour nettoyer son sexe, et dit à son frère, qu’il voulait utiliser aussi son sexe, se plonger dans son vagin. Karin se mit à quatre pattes, Kévin se mit derrière elle pour la prendre en levrette, pendant que John enfonçait son sexe dans la bouche de sa petite sœur. Il tenait la tête de Karin entre ses mains, et faisait des va-et-vient entre ses lèvres. La langue de la jeune femme tournait autour de sa verge. Pendant que Kévin rebondissait contre ses fesses, avec un coït aussi rapide que possible.

     

    Ils jouirent encore ensemble, Kévin dans le vagin de sa sœur, et John dans la bouche de Karin. Ils retombèrent tous les trois sur le lit, les uns à côtés des autres sur le dos. Karin prit les deux verges de ses frères dans ses mains, et la main de John se glissa dans son sexe, et celle de Kevin sur sa poitrine. Ils tombèrent à nouveau de sommeil. Le lendemain, ils se levèrent prirent une douche, partagèrent le petit déjeuner, et partirent chacun de leurs côtés pour la journée. John avait 25 ans, et travaillait dans un restaurant, il était cuisinier. Ensuite Karin, avec ses 21 ans, se rendait à la faculté. Et puis Kévin, tout juste 20 ans, allait encore au lycée dans un BTS ingénieur.

     

    Karin retrouva son nouvel amant. Il s’avança vers elle, ils se regardèrent, et le couple entra dans l’hôtel qui se trouvait juste au coin de la rue. Karin se frotta contre lui.

    • Tu as… Tu es sûr ! demanda Karin. Tu es marié…
    • J’en suis sûr. Depuis hier, tu as hanté mes pensées. J’ai essayé de résister… Mais hier soir… je n’ai pas pu faire l’amour à ma femme.
    • Oh…
    • J’avais envie de toi. De ton corps, de tes cheveux blonds, de tes fesses.
    • Je suis là, je suis tout à toi, fit Karin, en venant se lover dans ses bras.

    Il posa ses mains sur ses fesses, et les caresser, et les masser avec force. Aujourd’hui, elle portait une jupe, et un petit haut. Il tira sur les vêtements, et elle se retrouva très vite nue face à lui.

     

    Elle le poussa sur le lit, et commença à déboutonner son pantalon, elle fit descendre à ses chevilles, son boxer suivit le même chemin. Il n’avait même enlevé pas ses chaussures. Elle posa sa main sur sa verge, et le caressait avec énergie. L’inconnu du train la regardait sa bouche autour de son pénis, elle lui faisait une fellation, ça faisait déjà plusieurs années qu’on ne lui avait pas fait une chose comme ça. Sa femme refusait de le faire, au moins, il avait trouvé une petite maîtresse capable de le rendre heureux. Il posa ses mains sur sa tête, et la poussa sur sa verge, il … ne modéra pas son effet, depuis le temps qu’il rêvait d’une bouche. Il leva son bassin vers elle, et faisait des va-et-vient puissants dans la bouche de la jeune femme. Soudain, il sentit la jouissance montait, et il éjacula dans la bouche de sa maîtresse.

    • Oh ! P*t*n, ça faisait longtemps, dit-il.

     

    Karin se redressa avala son sperme, et ne perdit pas de temps, elle enfila son sexe dans un préservatif, et s’empala sur lui. Elle ferma les yeux en bombant le buste, et commença à danser sur lui.

    • Qu’est-ce qui fait longtemps ? demanda-t-elle.
    • Et bien ma femme ne veut pas me faire une fellation, dit-il en caressant les jambes de sa maitresse blonde.
    • Oh… Je t’en ferais quand tu veux, murmura-t-elle au creux de son oreille.

    L’inconnu du métro saisit ses cheveux et la força à venir l’embrasser avec énergie. Leurs deux langues se mélangèrent l’un à l’autre. Pendant de longs instants, ils s’embrassèrent avec beaucoup de salives et de bruits de succions.

    • Tu peux… aussi utiliser le troisième trou, ajouta-t-elle.
    • Tu veux dire … te sodomiser ?
    • .. Mais on a le temps ! Je me rendrais disponible … n’importe quand et n’importe où pour toi.
    • Mmmh ! Vraiment ?
    • Bon dans la limite du raisonnable, j’ai quand même des cours à suivre à la fac. Et si tu me demandes de te retrouver en Australie, ça peut aussi poser problème.
    • Pfff ! Tu es rigolote.
    • Bon finissons… ce qu’on a commencé ! fit Karin, en se remettant à danser sur le sexe de l’inconnu, que c’était bon de faire l’amour…

     

    Karin et son inconnu se séparèrent à l’entrée de la chambre, et ils quittèrent les lieux, chacun de leurs côtés. La jeune femme se présenta à la faculté juste à temps, avant que le cours de son professeur ne commence. Elle lui fit un petit sourire, en s’asseyant au premier rang. Elle ouvrit les cuisses pour lui montrer sa vulve pendant la moitié du cours. Et elle croisait les jambes pendant l’autre moitié.

    • Tu vas me chauffer longtemps comme ça ! fit le professeur quand la jeune femme entra dans son bureau.
    • Pourquoi tu n’as pas aimé ?
    • Si … Tu es… folle, ma s*l*p*.
    • Je suis ta s*l*p*, à toi !

     

    Le professeur souleva la jeune femme et posa sur son bureau, et la força à écarter les cuisses, et présenta son sexe contre celui de Karin, puis il la pénétra avec énergie… Il fit des va-et vient dans son vagin. La jeune femme encercla le cou de l’homme avec ses bras, et gémit contre son oreille, en lui murmurant d’aller plus loin et plus fort… plus profonds, plus rapides. Tout était … bon. Elle leva le regard et croisa les yeux du jardinier à travers la fenêtre. Elle ouvrit la bouche et détourna le regard en enfouissant son visage dans le cou du professeur. Elle ne pouvait… ne voulait pas l’arrêter, elle avait besoin de faire l’amour… besoin de jouir. Karin se mit à pousser des petits cris dans son cou. Le professeur éjacula lui aussi, et ils jouirent tous les deux.

     

    Karin marchait vers la sortie, quand une main la saisit, et l’entraina dans un coin entre deux haies. Une force la plaqua contre un mur couvert de lierre.

    • Tu vas m’expliquer… maintenant ! fit la voix du jardinier.

     





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