•  

    Le matin en ouvrant les yeux, elle découvrit Frank endormi à côté d’elle, il avait un bras au-dessus d’elle. Sur le lit autour d’eux, il y avait des dizaines de croquis de son corps. Sur une feuille, il avait dessiné ses seins, sur une autre ses mains, sa tête, son pied, et même son sexe. Elle rougit, elle parvint à se lever et observa les toiles commencées. Il avait dû peindre toute la nuit, la jeune femme était belle sur la plupart de ses toiles. Lexa s’avança vers Frank, et posa un baiser sur sa joue.

    • Je ne me savais pas aussi belle, murmura-t-elle à son oreille.

     

    Et voilà une nouvelle journée qui commence, elle se présenta à Louis, pour connaître le nom de son prochain partenaire, il lui dit que c’était Marc, son petit-fils, le fils de Frank. Lexa observa donc son nouvel « ami », mais elle n’arrivait pas à identifier qui pouvait bien être le bonhomme. Vers 10h, Marc quitta la maison pour aller faire une balade, et Lexa le suivit sans se montrer. Elle l’observa une drôle de scène, pour commencer, il entra dans une grange, où une femme d’un âge … mur l’attendait. Il s’avança vers elle, et l’embrassa à pleine bouche.

    • Tu m’as manqué… fit la femme en se calant dans ses bras.
    • Je … sais ! Toi aussi, ma beauté.

     

    C’était la première fois que Lexa observait un couple faire l’amour, ils se trouvaient tous les deux sur un tas de foin. La jeune femme glissa sa main entre ses cuisses, et commença à prendre du plaisir, en essayant de ne pas gémir trop fort pour ne pas être surpris. Elle était une belle voyeuse de les espionner ainsi. Elle sentit enfin la jouissance montait dans son corps. Elle posa son front sur le rebord de la fenêtre, elle était ainsi les fesses en l’air.  Soudain elle sentit deux bras la saisir par derrière, en quelques secondes, un sexe était planté dans son vagin, et commença à faire des va-et-vient. Elle le repoussa et se retourna face à lui.

    • Personne ne vous a permis d’entrer ! dit-elle
    • Allons, ma… petite salope. On était tous là à te voir te dandiner nue. Si ce n’est pas une invitation. Et là je te trouve les fesses en l’air. Pardon de ma méprise, petite pute.
    • Je suis pas une pute !
    • Mouais… une femme qui se promène nue, devant tout le monde. On appelle ça comment ?

     

    L’homme s’avança vers elle, et elle recula contre le mur de la grange, il tendit la main vers elle, et Lexa se mit à crier, il posa sa main sur sa bouche pour la faire taire.

    • Tais-toi, salope !
    • Hé ! fit une voix masculine.

    Un poing apparu dans le champ de vision de l’homme, et il tomba au sol, sa tête cogna contre le mur. Un peu assommé, l’homme resta assis au sol. Marc secoua sa main, son poing était un peu douloureux après avoir donné un coup à cet homme.

    • C’est toi le salop, à contraindre une femme.

    Marc tira la jeune femme vers lui, et la prit dans ses bras, il saisit son visage, et posa ses lèvres sur celles de Lexa.

    • Ecoute moi bien, Lexa appartient à la famille Tremor, si tu veux t’en servir, il faut demander à Louis, dit Marc.

     

    Il prit la main la jeune femme dans la sienne, et il la tira pour quitter les lieux. Ils quittèrent les lieux. Ils marchèrent un moment, main dans la main dans une forêt. Ils arrivèrent devant un lac, et Marc s’assit sur le bord, et invita Lexa à faire de même.

    • Merci pour tout à l’heure… Mais j’appartient pas vraiment…
    • Tu habites à la maison, non ?
    • Si mais….
    • Il n’y a pas de mais ! Ne t’inquiète pas, Papy ne te laissera jamais aller avec ce crétin.
    • Mais s’il recommence et que vous n’êtes pas là.
    • Oh… je crois que si tu es aussi douée que Papy l’a dit, je crois qu’il y aura toujours l’un de nous à la maison. Mais au cas où, je pense que Papy a déjà prévu un truc.
    • Ah !

    Lexa et Marc restèrent un moment silencieux, à observer le lac, la jeune femme se sentait bien, elle s’allongea le long de la berge

    • Tu as apprécié le spectacle ? demanda-t-il.
    • Euh… Oui, c’est un joli lac.
    • Pfff ! Je parlais de moi, et de Françoise.
    • Oh ! Et bien… c’est bizarre à voir.

     

    Marc leva la jupe de Lexa, et vit le sexe luisant de cyprine, il sourit et leva son regard vers la jeune femme.

    • Je vois que oui !
    • Tu fais … Tu aimes …
    • Fini tes phrases on ne comprends rien !
    • Tu fais souvent l’amour avec des femmes …mures !?
    • Oui… Les petites jeunes sont … trop ignorantes.
    • Tu vas quand même faire l’amour avec moi ?
    • Tu veux ?
    • Oui ! Je veux voir ce que ces femmes mures, on put t’apprendre !
    • Coquine !
    • Mais…

    Marc s’allongea à ses côtés, et embrassa la jeune femme, mêlant sa langue avec la sienne. Il explorait sa bouche avec … avidité. Lexa ne pouvait que se laisser faire. Marc souleva son haut pur venir les poser sur ses seins, et les caresser avec envie. Il les explora aussi avec sa bouche. Il pinça les tétons entre ses dents, il souleva, à nouveau, la jupe de la jeune femme pour y glisser ses doigts.

     

    Lexa se mit à gémir, comme une petite folle, sous la bouche de Marc. Elle appartenait donc à la famille Trémor, il n’avait pas entièrement tort. Mais pour l’instant, les trois membres les plus âgés lui plaisait bien. Le jeune homme la regarda, et lui fit un sourire. Il l’aida à enlever son haut, et se leva avec le vêtement de la jeune femme, il récupéra une pierre, et l’enroula dans le haut de Lexa. La jeune femme se leva et se précipita vers Marc, mais ce fut trop tard, il lança le vêtement dans le lac.

    • Non… fit-elle désespérément.
    • Ne t’inquiète pas… on ne croisera personne dans les bois…
    • Mais… quand même. Je l’aime beaucoup ce haut.
    • Oh… c’est tout ce qui t’inquiète. Je t’en achèterais un autre.

    Marc lui prit à nouveau la main, et ils prirent le chemin du retour, Lexa essayait quand même de cacher sa poitrine avec son autre bras. Ils arrivèrent enfin à la maison. La jeune femme fila vers la maison, et entra dans sa chambre pour remettre un haut. Franchement cette famille d’hommes, allait la rendre folle.

     

    • Il a vraiment essayé de la violer ? fit la voix de Louis.

    Apparemment Marc était en train de lui expliquer ce qui s’était passé avec le villageois. Louis remarqua alors la présence de Lexa, il tendit les bras vers elle, et la jeune femme vint s’y réfugier.

    • Tu as dû avoir peur, ma perle.
    • Oui…
    • Ne t’inquiète pas. Je ferais passer le message de ne pas te toucher.
    • Merci !

    Ils mangèrent tous ensemble, dans la joie et la bonne humeur. Ils savent tous qu’aujourd’hui, c’est la journée et la nuit de Marc, mais cela ne les empêche pas de venir l’embrasser ou la caresser pour la rassurer. La jeune femme se sent particulièrement aimer dans cette famille, elle qui n’en avait jamais eu, se sentait vraiment bien.

    • Marc, est-ce que tu veux bien me la prêter, je n’ai pas fini mes tableaux ? demanda Frank.
    • Tu as repris le pinceau ! fit-il un peu surpris.
    • Oui, je prépare une nouvelle collection. Si ma petite muse veut bien m’y aider ! fit-il avec le sourire pour Lexa.
    • Bien sûr, si je peux faire quelque chose.
    • Simplement posée pour moi.
    • Comme hier ?
    • Oui !
    • D’accord.
    • Je suis d’accord, à la condition que j’assiste à la séance.
    • Très bien, aujourd’hui, nous allons faire des toiles, dehors !
    • Dehors ? dit Lexa surprise
    • Oui, je veux te peindre dans des décors différents. Imagine le tableau, toi, nue, accroupit en train de ramasser une fleur dans une prairie. Allongée le long de la berge d’un lac.
    • Assise dans un tas de foin, proposa Marc avec un sourire entendu.
    • Oui, très bonne idée.

     

    Lexa sourit et après le repas, Marc, Frank et la jeune femme prirent les toiles vierges, pinceaux et peintures pour l’artiste. Elle apprit que Frank n’avait pas touché un pinceau depuis des années. Il n’avait plus eu l’inspiration, jusqu’à croiser le chemin de Lexa. Elle était contente de lui apporter au moins un peu de joie dans sa vie. Lexa sourit en sautillant gaiment sur le chemin. Ils arrivèrent dans une prairie, et la jeune femme se mit nue, et s’accroupit dans le champ.

    • Voilà essaye de ne pas bouger pendant … dix minutes, demanda Lexa.

    La jeune femme fit de son mieux, mais l’herbe commença à la chatouiller sous ses fesses. Marc vint vers elle, et s’assit à côté d’elle, et commença à la poser des fleurs dans ses cheveux, lui caressant le dos. Il glissa de l’herbe dans sa bouche.

    • Arrête tes bêtises… Ton père veut faire son tableau, fit Lexa.
    • Oui ! C’est vrai. Papa, tu as fini ton croquis. Je voudrais … m’amuser avec Lexa.
    • Oui… allez-vous amuser.

     

    La jeune femme et Marc s’éloignèrent, elle courrait nue dans l’herbe. Ils tombèrent dans la prairie, le jeune homme était couché au-dessus d’elle. Ils échangèrent un long baiser dans l’herbe. Il caressa son corps, ses seins, son ventre, ses jambes, et son sexe…

    • Et moi j’ai … une chance de toucher son corps.
    • Je ne le montre pas à tout le monde, le mien, fit Marc avec un sourire en coin.
    • Hé ! Ce n’est pas très gentil, ce n’est pas moi, qui ai jeté mon haut dans le lac.
    • Oui… Excuse-moi ! dit-il d’un ton faussement désolé.

    La main de Marc se glissa entre ses lèvres intimes, et la doigter avec rapidité. Il se leva et vint se mettre entre ses jambes, et lécha quelques instants le sexe de la jeune femme. Elle se mit à gémir, et il la fit jouir avec délectation.

     

    Le jeune homme ajouta un doigt dans son vagin, et commença à faire de puissants va-et-vient, puis il eut un troisième doigt, et il cherchait comme à élargir son vagin, Lexa ne comprenait pas son idée, mais il lui faisait du bien, et elle n’avait pas peur. Marc parvint à mettre un quatrième doigt dans son antre, bientôt … il pourrait y mettre toute la main. Il la sentit jouir une nouvelle fois. Il s’en occuperait ce soir.

    • Il est … tard, tu dois aller à ton travail, fit Marc en se relevant.

    Il tendit la main à la jeune femme, qui s’en saisit, et la tira pour la remettre debout. Ils revinrent vers Frank, et Lexa se rhabilla. Elle sourit au père et au fils, déposa un baiser sur la joue de chacun d’eux, et les quitta pour rejoindre la maison, et prendre la voiture pour faire son tour habituel.

     

    Durant son petit tour, elle passa chez « papy », et le branla à nouveau, et glissa son sexe entre ses seins pour lui faire une branlette espagnole, la bouche sur le bout de son sexe, et le lécher avec gourmandise.

    • J’ai eu un message de Louis Trémor. Apparemment, si je veux aller plus loin avec toi… Il me faut son accord.
    • Et vous voulez ? demanda Lexa, le sexe de l’homme toujours entre ses seins.
    • Pour l’instant, profitons de ça, dit-il en caressant les cheveux de la jeune femme.

    Après quelques va-et-vient entre les seins si doux de Lexa, et de cette bouche dans laquelle, son sexe se perdait, il éjacula entre ses dents. La jeune femme avala le tout, et nettoya au mieux son sexe, avant de se rendre dans la salle de bain pour se faire un brin de toilettes.

    • Au revoir, mon chou, fit « papy » avec le sourire.
    • Au revoir, monsieur. Bonne soirée à vous.

     

    Lexa, avait déjà été voir les petites « mamies », rentra donc à la maison pour retrouver sa famille d’hommes. Elle poussa la porte, et fut accueilli par un baiser de Marc.

    • A partir de maintenant, tu as à moi ! fit-il avec le sourire.
    • D’a…accord !

    La jeune femme passa le repas, assise sur les genoux de Marc, sa jupe était relevée sur sa taille, exposant son sexe à la vue de tous, les mains du jeune homme étaient occupées, alors ce fut à la jeune femme de le nourrir, devant tout le monde. Louis fut le premier à se lever et à quitter la table, de même que Michel, Frank, Pierre, Lucas et Benjamin. Lexa et Marc furent les derniers à table. La jeune femme avait eu un peu de mal à lever la fourchette, entre les … orgasmes que Marc lui avait donnés.





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