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    Comme les autres soirs, les membres de la famille disparurent, et Lexa se retrouva seule avec Frank. Il la conduisit dans son atelier, pour qu’elle reprenne la pause. Elle soupira et se mit en place.

    • Je peux faire la pose comme Rose dans le Titanic, proposa-t-elle avec le sourire.
    • Si tu veux, fit-il.

    Lexa se mit en place, et ferma les yeux, pour se laisser aller. Elle aimait son regard sur elle, sur son corps. Soudain, elle sentit une main se posait sur son sein, elle ouvrit les yeux et croisa le regard de Frank. Il noua un ruban autour des yeux de la jeune fille. La jeune fille se laissa faire dans les bras de cet homme, mais pourquoi vouloir lui bander les yeux. Lexa leva les bras pour venir à sa rencontre, elle toucha son crâne.

     

    Sa tête descendit vers son sexe, et le prit en bouche pour y glisser sa langue entre les lèvres intimes de la jeune femme, pour venir caresser son clitoris, et se perdre dans son vagin. Lexa se mit à gémir d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Elle faisait monter la pression dans son esprit, imaginant des centaines de langues sur son corps. Elle fantasmait beaucoup dans ses moments-là, est-ce que c’était simuler son plaisir ? L’exagérait peut-être mais elle ne simulait pas. Il ajouta un doigt à sa langue, et elle se sentit enfin partir vers le septième ciel… Et elle devait silencieuse, à cambrer son corps, comme un arc. Et laisser son corps être envahi par cette libération.

     

    • Tu es silencieuse d’un seul coup ? fit-il.

    Frank releva la tête, et vit des larmes coulaient le long des joues de la jeune fille, il posa sa main sur sa joue, un peu surpris. Est-ce qu’il lui avait fait mal ? peur ?

    • Que se passe-t-il ? demanda-t-il.
    • Rien… de grave !
    • Pourquoi pleures-tu ?
    • Je sais pas… c’est arrivé comme ça d’un coup.
    • Tu te sens bien.
    • Oh oui ! fit-elle avec un élan de bonheur.
    • C’est le plus important, ma chérie. Tu es vraiment très belle. Et je peux te dire que tu simules pas du tout. C’est juste ta façon à toi de prendre du plaisir. Il faut être un idiot pour ne pas le comprendre.
    • Mer…ci ! fit-elle en essuyant ses larmes.
    • Laisse-les couler si tu en ressens le besoin. C’était quoi les autres problèmes. Ah oui, si tu suces bien. Bouge pas !

    Frank se leva du lit, et enleva son pantalon et son caleçon se rassit sur le lit. Il s’allongea de son mieux, et guida la jeune femme aveuglée par le bandeau, à se mettre dans la bonne position, à genoux entre ses jambes, face à son sexe, qui … commençait à prendre un peu de volume. Il posa une main de Lexa sur son sexe, et l’invita à se pencher pour le prendre en bouche.

     

    Lexa posa sa bouche sur la verge de Frank, il avait une queue assez grosse. La jeune femme se demanda comment elle pourrait mettre un « machin » aussi gros dans sa bouche. Elle fit glisser sa langue sur le tour, et la posa sur le bout, et tira pour découvrir le frein, et le lécha autour. Puis elle ouvrit ses lèvres et le mit en bouche, elle serra les lèvres autour de son sexe et commença à faire des va-et-vient de plus en profonds, pour lui faire du bien, elle tira la langue, pour aller au plus loin possible. Ses mains sur ses bourses pour les caresser et les malaxer au mieux. Frank se sentait bien dans la bouche de la jeune femme, c’était chaud et très humide, il accentua les va-et-vient quand il sentit qu’il n’allait pas tarder à jouir. Il maintient la tête de Lexa entre ses cuisses, et au bout de cinq minutes, ce fut enfin la libération entre les dents de Lexa.

     

    Lexa se redressa, gardant en bouche le sperme de Frank, puis elle avala. C’était bizarre d’avoir tailler une pipe, les yeux bandés. Elle ne savait même si c’était vraiment Frank, en fait. Pourquoi elle pensait à ça ? Qui cela pourrait-il être d’autres ? En tout cas, ce n’était ni Louis, ni Michel, leurs sexes n’étaient pas comme ça.

    • Tu veux mon verdict, ma chérie ? demanda Frank.
    • Euh oui… ! répondit timidement la jeune femme.
    • C’était très bien, tu as la technique, tu manques un peu de … fantaisie, mais ça, ça s’apprends avec le temps.
    • Mer…ci !

    Lexa resta à genoux sur le lit, elle sentait Frank se redressait sur le lit, puis se poser sur ses mains sur ses hanches, et la poussa pour l’allonger sur le matelas. Frank ôta son tee-shirt, et s’allongea sur la jeune femme pour caresser ses seins avec ses mains, et sa bouche. Et il glissa sa main vers le sexe de la jeune femme et commença à la doigter.

    • Donc il nous reste à voir si tu es … souple, c’est ça ?
    • Donc on va essayer une position qui te demande de la souplesse. Si … tu as mal dis-le moi, ok ?
    • Ok !

    Frank aida donc la jeune femme à s’allonger, il se mit à genoux derrière elle, puis attrapa les chevilles et leva les jambes à la verticale. Lexa avait l’impression de faire la chandelle, elle n’avait jamais été très gymnastique. Il pénétra la jeune femme et laissa reposer les fesses de la jeune femme sur ses cuisses. Et commença de profonds et de lents va-et-vient dans le vagin de Lexa. La jeune femme ne bougeait pas au risque de rompre cet étrange équilibre précaire, mais elle appréciait le sexe de Frank dans le sien. Elle se mit à gémir de plus en plus fort, avant de … faire silence. Elle venait de jouir dans les bras de l’homme.

     

    Frank se retira, et Lexa remarqua que lui n’avait pas encore jouit, ni éjaculer. Elle tendit sa main, un peu dans le vide, elle était toujours aveuglée. L’homme la coucha sur le dos, et glissa un coussin sous son dos, et lui demanda si elle était bien installée. Lexa hocha la tête, et Frank leva les chevilles de la jeune femme sur ses épaules, et la pénétra à nouveau, elle était bien, comme ça, soudain, il se pencha en avant, obligeant les jambes de la jeune femme à venir se poser autour de sa tête, ainsi culbutée, la pénétration de Frank était profonde, très profonde, et il fit de va-et-vient de plus en plus rapide dans le vagin de Lexa. Qui n’eut pas le temps de gémir pour fantasmer, elle était déjà en train de jouir. Frank se sentait bien dans le corps de Lexa, il la sentit jouir, et sourit en regardant le visage bandé de la jeune femme, elle était très belle comme ça. Il continua ses va-et-vient jusqu’au moment où… il ne pouvait plus tenir, il se retira, et l’aida à se remettre allongé.

     

    Frank aida Lexa à se mettre à quatre pattes, et se mit à genoux derrière elle pour la prendre en levrette, mais il avait une autre idée en tête. Il glissa son sexe dans le vagin de la jeune femme, puis il posa sa main sur ses fesses, et commença à glisser un doigt dans l’anus de Lexa. Il glissait sa main sur son sexe pour récolter de la cyprine, et la mettre sur son anus, ajouta aussi de la salive en crachant sur les fesses de Lexa. Pendant ce temps, la jeune femme comprenait ce qu’il avait l’intention de faire, mais elle se sentait trop bien pour oser lui dire non. Surtout qu’elle avait envie de voir … de tester son idée. Les doigts de Frank étaient de plus en plus nombreux à entrer dans son anus.

     

    Frank se retira et présenta son sexe devant la rondelle de Lexa, et commença à pousser pour y entrer son pénis. La jeune femme tomba sur le lit en criant, ça fait un peu mal quand même ! La douleur aigue, se calma un peu.

    • Je suis rentré ! fit Frank.

    Puis il commença à faire des va-et-vient dans l’anus de Lexa. La jeune femme réalisa qu’elle était en train de se faire sodomiser, et que la réalité était à la fois proche de ce qu’elle avait entendu et en même temps très éloigné. Quand Frank faisait un va, c’était douloureux, le cul de Lexa, ou de tout être humain n’était pas fait pour qu’on y enfonce quelque chose. Mais le vient, était … jouissif. Douleur, plaisir, douleur, plaisir… Tout cela finit par la faire … jouir… elle ne savait que c’était possible de jouir par là.

    • Frankkkkkkkkk ! parvint-elle à dire.
    • Attends-moi, ma chérie ! fit-il en continuant de faire des va-et-vient, avant de jouir enfin dans le cul de Lexa.

     

    Frank se retira, et s’allongea sur le dos à côté de la jeune femme. Et bien, il était … satisfait de la jeune femme. Il avait joui dans ses fesses. Et c’était sa première sodomie, vu l’étroitesse de son cul. C’était … agréable d’être ainsi serré entre les parois de son colon, son petit sexe était aussi étroit, mais ce n’était pas du tout la même chose. Frank tendit sa main vers le visage de Lexa et lui enleva son bandeau. Elle se retourna sur le dos, et il croisa son regard… il était embrumé par la jouissance, et il y avait … de la reconnaissance dans ses yeux.

    • Tu es très souple, ma chérie, tu n’as pas de souci à t’en faire. A mon avis, tu n’as croisé que des crétins sur ta route.
    • C’est … ce … Ton père… frère et toi… vous êtes …. Doués ! fit-elle d’une voix un peu hachée.
    • Tu ne sais plus parler, ma chérie.
    • Pardon ! Je redescends…. Frank… est-ce que tu veux bien …. Jouir en moi ? demanda-t-elle en posant ses mains sur son ventre.

    Frank l’observa, comment lui dire non, demander de manière si sensuelle, avec un regard si … expressif. L’homme se leva et prit un peu d’eau et de savon pour nettoyer son sexe, et revint entre les jambes de la jeune femme pour se plonger dans son sexe, et y laissa son sperme, quelques minutes plus tard.

    • Merci ! fit Lexa en posant un baiser sur sa joue.

    Elle s’allongea et ferma les yeux, et tomba de sommeil presque aussitôt. Frank l’observa, et caressa son front. Il se releva, s’habilla, puis debout devant sa toile, et commença sa troisième toile de la journée, de sa nouvelle … muse.

     

    Lexa a passé une nuit étrange, elle sentait des mains la toucher pendant qu’elle dormait. Elle ouvrait à moitié les yeux, apercevait Frank au-dessus d’elle, sans comprendre ce qu’il était en train de faire.





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