•  

    Lexa se réveilla, Pierre et Thomas étaient couchés sur le dos, chacun d’un côté. La jeune femme fit un sourire, en prenant les sexes des deux garçons dans ses mains, et commença des va-et-vient pour les branler. Les deux garçons levèrent les mains pour les poser sur les seins de la jeune femme, l’un d’eux glissa sa main sur le sexe de Lexa. Et ils se firent du bien tous les trois. Ils jouirent tous les trois en même temps.

    • Joli spectacle ! fit Louis. Il est déjà midi… dit-il en quittant la pièce.

    Les trois jeunes gens se regardèrent avant de se mettre à rire, à se lever pour s’habiller et rejoindre le reste de la famille autour de la table. Lexa regarda Benjamin, c’était son tour, enfin il ne restait plus que lui. Mais le jeune homme ignora toutes ses tentatives pour attirer son attention. Il évita même de rester dans la même pièce, seuls tous les deux.

     

    La jeune femme soupira et fit son petit tour pour voir si ses « petites » mamies allaient bien, de même que son « papy ». Lexa entra chez lui, et s’assura qu’il avait tout ce qu’il lui fallait. Elle se sentait un peu triste d’être ignoré par Benjamin, elle n’avait presque pas envie de rentrer à la maison.

    • Quelque chose ne va pas mon chou ? demanda « papy ».
    • Je m’ennuie ! fit-elle en soupirant.
    • Viens-là ! dit-il en lui tendant la main.

    Lexa s’installa sur les genoux de « papy », il écarta les jambes, et glissait ses mains entre les cuisses de la jeune femme. Il découvrit avec délice, qu’elle ne portait pas de culotte sous sa jupe. Il la doigta avec délice, la jeune femme se recula et posa sa tête sur l’épaule du vieil homme, et se laissa complétement aller.

    • Depuis combien de temps êtes-vous seul ? demanda la jeune femme.
    • Ma femme est morte, il y a dix ans. Et depuis, je suis seul.
    • C’est triste. Mais je suis là, maintenant, fit-elle en se tournant vers lui avec le sourire.

    « Papy » se pencha vers elle, et posa sa bouche sur celle de la jeune femme. Ils échangèrent un baiser rapide. Lexa posa sa tête dans son cou. Elle semblait aimer les vieux messieurs, leurs expériences étaient plus appréciables, que la maladresse des jeunes. Mais bon, elle y allait peut-être loin dans la vieillesse, entre Louis, qui avait 73 ans, et « Papy » semble plus vieux.

     

    Lexa sentit la jouissance montait, et donna des petits coups de langue sous son menton. Elle était heureuse. La jeune femme resta assise dans ses bras, sans bouger.

    • A quoi penses-tu mon chou ?
    • Quel âge avez-vous ?
    • 76 ans.
    • 76 ?
    • Je vous pensais plus jeune.
    • Et toi, quel âge as-tu ?
    • 18 ans, bientôt 19 ans. Dans quelques semaines.
    • Tu es … jeune !
    • Ça vous ennuie ? demanda Lexa.
    • N-Oui ! Tu devrais trouver quelque de ton âge.
    • Ben … je sais. Mais est-ce que ça m’empêche de vous faire du bien, maintenant ?
    • J’imagine que non.

    Lexa sourit et se leva pour se mettre accroupit devant lui. Elle ouvrit son pantalon, et découvrit son pénis. Il bandait à moitié, la jeune femme posa sa main sur sa verge et commença à faire des va-et-vient avec douceur. L’homme devint peu à peu dur, Lexa mit le sexe de l’homme dans sa bouche. Et lui fait une fellation.

    • Mon chou ! fit « Papy » en caressant la tête et les joues de la jeune femme.

    Il trouvait vraiment trés belle, et il n’aurait jamais cru qu’une femme lui taille une pipe, et surtout aussi jeune. Qu’est-ce qui pouvait bien lui passer par la tête de faire quelque chose de ce genre-là. Surtout … qu’elle était avec la famille de Louis. Le ... bougre devait bien s’amuser. Combien de maîtresses avaient cet homme ? ça fait … plusieurs générations que la famille Trémor, mettait des femmes dans leurs lits… et qu’ils les partageaient entre eux. Il n’y avait alors que des fils dans leur famille.  Louise, la mère de Louis, n’était même pas la femme du père de Louis. Une maîtresse qu’il avait « enfermé » dans cette maison. Est-ce le destin qui attendait Lexa ?

     

    « Papy » se sentit jouir dans la bouche de la jeune femme. Il glissa sa main dans les cheveux de Lexa, et l’aida à se redresser à lui tira doucement sa tignasse.

    • Est-ce que ça vous a plu ? demanda-t-elle.
    • Oui… C’était parfait, mon chou.

    Lexa lui sourit, elle se redressa, referma le pantalon de l’homme, puis elle le quitta en lui souhaitant une bonne soirée. La jeune femme reprit sa voiture, en soupirant, elle ne savait pas du tout ce qu’elle avait pu faire pour que … Benjamin ne l’aime pas.

     

    Elle poussa la porte d’entrée, et soudain une main la saisit par les cheveux et la tira vers sa chambre. Lexa suivit en criant, même si elle se doutait que c’était un des membres de la famille Tremor, elle ne pouvait pas nier qu’il y avait une possibilité que ça soit un violeur. Il ouvrit la porte, et la poussa sur le lit.

    • Hé ! parvint-elle à dire.

    Elle sentit une main se posait contre son crane pour plaquer son visage contre le coussin. Elle commença à se débattre, ses jambes et ses bras gesticulaient dans tous les sens. L’homme posa son genou dans le dos de la jeune femme, et appuya. Il saisit une main, et l’attacha aux barreaux du lit, il fait la même chose avec l’autre main, de même que ses deux pieds. Elle était attachée en forme d’étoile sur le lit.

    • Tu … m’as fait attendre ! fit une voix.
    • Benjamin !
    • Non ! Ce sera maître !
    • Maître ?

    Benjamin soupira et posa un martiner sur le lit, en face du regard de la jeune femme, qui avala de travers. Elle savait bien ce que ça voulait dire. Elle avait fait des recherches pour être la maitresse de Michel. Et voilà qu’elle allait être la soumise de son fils Benjamin.

     

    • Que voulez-vous de moi, maître ? demanda Lexa d’une petite voix.
    • Tu … as déjà compris. Brave soumise.
    • Oui, maître.
    • Pour commencer, je vais m’amuser.
    • Bien maître.

    Benjamin avait déjà tenté de jouer à ce petit jeu avec sa copine, mais cette dernière avait pris « peur », et elle n’avait jouer le jeu. Mais Lexa semblait bien vouloir jouer avec lui. Il s’en doutait un peu. Il fit claquer la paire de ciseau prés de son visage, puis commença à découper son tee-shirt, afin de pouvoir la mettre nue, sans avoir à besoin de la détacher. Ce ne fut guère difficile, vu qu’elle ne portait ni soutien-gorge.  

     

    Voilà la jeune femme était nue, allongée sur son lit, les jambes écartées. Son frère lui avait dit qu’elle avait un cul divin. Mais il ne voulait pas en profiter de suite. D’abord, il devait lui faire comprendre qui était le maître ce soir. Il posa ses mains sur les deux fesses de la jeune femme et les écarta pour observer son petit trou. Il glissa son doigt, entre les deux fesses de la jeune femme. Lexa le sentait lui caresser les fesses, est-ce qu’il allait la sodomiser lui aussi ?

    • Qu’est-ce que tu as… fait ? demanda Lexa en sentant qu’il mettait un … truc dans le cul.
    • Ça s’appelle un plug, et ça peut se porter… Toute une journée.
    • Oh !

    Benjamin détacha une de ses chevilles, et la tourna à moitié pour avoir accès à son vagin. Il y glissa un god, pour la compléter. Il fouilla dans le placard de la jeune femme, et y trouva une culotte. Il détacha l’autre cheville de Lexa et l’aida à enfiler le sous-vêtement. Il la remit debout, devant lui. On voyait bien qu’elle avait … des choses dans le cul et le vagin.

    • Magnifique, fit-il. Tu vas aller manger à table comme ça !
    • Je peux… mettre un tee-shirt, maître ?

    La jeune femme portait encore sa jupe, même si ça ne cache pas grand-chose de la situation dans laquelle, elle se trouvait. Mais il avait découpé son tee-shirt. Il sortit de sa poche, deux pinces tétons, qu’il plaça sur les tétons de la jeune femme.

    • Oh… fit-elle en posant ses mains sur sa poitrine.

    Benjamin lui donna un coup sur la main, en lui faisant de gros yeux. Elle laissa ses mains retombaient le long de son corps. Il lui enfila une chemise, dont il ne ferma qu’un seul bouton. Il se recula pour admirer son résultat. Il détacha les cheveux de la jeune femme, pour qu’il dégringole dans son dos.

    • Parfait ! décida-t-il.

     

    Benjamin saisit la main de Lexa et la ramena dans la salle à manger. Tout le monde était assis, elle baissa la tête et s’assit en face de la famille. Elle serra les jambes et sentait le plug s’enfonçait un peu plus dans ses fesses. Elle garda de son mieux la chemise fermée pour qu’ils ne voient pas ce qu’elle cachait. La jeune femme fut même soulagée que Michel et Frank ne soient pas là ce soir. Alors qu’elle tendait le saladier vers Thomas, elle sentit … quelque chose vibrait dans son corps, elle échappa le plat. Et se replia sur elle-même.

    • Oops ! Je crois que je l’ai mis trop fort, fit Benjamin, en posant une petite télécommande sur la table.

    Thomas la prit et appuya à son tour sur le bouton. Lexa serra ses jambes et gesticulait sur sa chaise. Elle posa son front sur la table, en se reculant. Louis posa sa main sur les cheveux de la jeune fille.

    • Mon petit-fils n’est pas très …
    • Allons, papy, je suis sûre qu’elle adore sentir le god vibrait dans son vagin, dit Benjamin avec le sourire.
    • Tient, essaie ! fit Thomas en tendant la télécommande à son grand-père.

     

    Louis appuya sur le bouton, et Lexa se mit à gémir… et à jouir sous la vibration du god.

    • C’est intéressant, mais il manque le contact physique…
    • Fais-voir, fit Marc.

    Il prit la télécommande, et l’activa à nouveau. Lexa serra fort ses jambes, posa ses mains sur son ventre, elle voulait l’enlever, elle leva le regard vers Benjamin, qui secoua la tête. Elle se remit à gémir, et Marc assis à côté d’elle posa une main sur son sein.

    • Tu lui as mis des … pinces tétons ?
    • Oui !
    • Et un …
    • Plug dans le cul, ouais, j’ai entendu que tu aimes son cul, fit Benjamin à son frère Thomas.

    Marc défit le bouton de la chemise, et se leva derrière la jeune femme pour la tirer contre le dossier, et entoura son bras sous son cou pour la maintenir contre le dos de la chaise. Il ouvrit la chemise pour dévoiler la poitrine à la vue de son frère, de ses cousins, et de son grand-père.

    • Vision… incroyable.

     

    Benjamin se leva, s’avança vers son cousin, et le poussa. Il se pencha vers Lexa et la souleva dans ses bras. Elle fut portée comme un sac à patates sur son épaule.

    • Elle est à moi, ce soir ! dit-il.

    Le jeune garçon emporta avec lui la jeune femme, donc le god continuait de vibrer entre ses cuisses. Elle était en train de jouir. Benjamin, la jeta sur le lit, et ferma la porte derrière lui. Il lui enleva le god et le plug, et Lexa reprit une respiration normale. Elle avait eu l’impression de … se voir elle-même, comme si elle ne contrôlait plus rien, et pendant dix minutes, ce fut le cas. Elle était à la merci de ses … cinq hommes. Une partie d’elle, était excitée de cette situation, elle était prête à les laisser faire ce qu’il voulait d’elle. Mais une autre … était terrifiée, et elle était contente que Benjamin soit intervenu.

     

    Lexa entoura le cou de Benjamin, et le serra fort contre elle. Elle voulait le remercier de son intervention, mais il lui fit détacher ses bras, et elle retomba sur le lit. La jeune femme était allongée sur le dos, la chemise grande ouverte, et sa jupe relevée dévoila son sexe.

    • Ils ont joué … un peu trop fort.
    • Merci…Maître, murmura la jeune femme.

    Elle se recroquevilla sur le lit, et Benjamin se tint au-dessus d’elle, pendant quelques instants, il se demanda si elle avait vraiment peur, ou si elle … simulait.

    • Tu vas bien ? Ne t’inquiète pas, tu sais… Personne dans cette maison, ne veut te faire du mal. Ils ont juste…
    • Je sais… Je sais !
    • Est-ce que je peux te faire l’amour ? demanda Benjamin.
    • O…ui ! fit Lexa en se tournant vers lui.

     

    Benjamin tendit les bras de Lexa au-dessus de sa tête, et lui attacha les mains aux barreaux du lit. Elle soupira et leva son regard de biche vers lui, le jeune homme fit un sourire en coin, cela lui donnait encore plus envie de la dominer. Il se mit accroupit au-dessus, et fit descendre son sexe dans la bouche de la jeune femme. Il lui baisa la bouche, elle se mit à gémir plusieurs fois. Mais il finit par se retirer sans avoir éjaculer.

    • Ça va ? demanda-t-il.
    • Oui, tu n’as pas éjaculé, tu peux continuer si tu veux, fit la jeune femme.

    Benjamin sourit, mais préféra se redresser, il était debout au-dessus d’elle, il se masturba, et le sperme tomba sur elle, d’abord son menton, puis ses seins, et enfin son ventre. Le jeune homme se recula, et souleva les jambes de la jeune femme pour la culbuter, et attacha ses pieds ensemble, et les coinça avec les mains de Lexa. Etrange position. Puis, il s’accroupit sur ses jambes, et enfonça son sexe dans le vagin de la jeune femme.

     

    Il fit de profonds va-et-vient, en se tenant aux barreaux du lit, le visage au-dessus de celui de Lexa, qui se retrouvait coincée entre ses deux jambes. Il croisa son regard flou, de la femme qui est en train de jouir. Elle était vraiment belle avec son sperme qui coulait le long de son menton, dans son cou. Quand il sentit qu’il était sur le point de jouir, il se retira et éjacula sur son visage. Elle dût même fermer les yeux pour éviter d’en recevoir dans l’œil. Puis il replongea son sexe pour cette fois-ci jouir dans le vagin de la jeune femme. Il s’allongea à côté d’elle. Il reprit son souffle, pendant que son sexe était en train de redescendre. Il se tourna vers elle.

    • Tout va bien, ma sou ?
    • Sou ?
    • Pour soumise !
    • Bien Maître !

     

    Benjamin, lui détacha les jambes, et la rallongea un peu. Il vit son sperme encore humide sur le bout de son nez. Il pouffa légèrement, quand elle souffla pour essayer de la faire tomber. Puis elle passa sa langue sur son nez.

    • Tu veux aller te laver, ou dormit avec mon sperme sur toi.
    • Avec ton sperme, Maître !

    Benjamin leva la couverture sur eux, et caressa doucement la poitrine de la jeune femme. Il la trouvait vraiment très belle comme ça.

    • Je me réserve le droit, de te reprendre dans la nuit.
    • Bien Maître.

    Les deux amants fermèrent les yeux pour dormir, Lexa était toujours attachée au lit par des menottes, les tétons entre les pinces. Benjamin n’était même pas entièrement déshabillé. Elle avait vraiment été une … poupée entre ses mains.

     





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