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    Chapitre 2

    Un an et demi plus tard, la folie des mélanges de leurs corps n’avait cessé, bien au contraire, ils avaient cherché à expérimenter un tas de trucs, dans tous les coins de la maison, à toutes les occasions possibles. Et puis dehors aussi. Tous les trois étaient sortis pour aller faire du shopping ensemble. En fait, Vincent avait envie de faire plaisir à ses deux femmes, et voulait leur acheter de la lingerie, plutôt coquine, non très coquine. Cynthia fut la première à entrer dans la cabine, et il se joignit à elle. Elle dût se mettre nue pour essayer les sous-vêtements, elle se retrouva plaquée contre le miroir de la cabine, pendant que monsieur enfonçait son doigt dans son sexe.

    Thia n’avait rien contre un peu de plaisir, mais l’idée de faire ça là, comme ça. Elle le trouvait quand même sacrément audacieux, et si quelqu’un les surprenait dans cette position. Le rideau bougea un peu, et Thia croisa le regard de sa mère qui lui souriait. Elle se mit à jouir, et posa ses deux sur sa bouche pour faire taire le son. Quelques minutes plus tard, c’était au tour de Brigitte, de se retrouver à moitié-nue dans la cabine, pendant que son beau-fils, à genoux entre ses cuisses, lui léchait son sexe. Elle se mit à jouir à son tour.

    Les deux femmes sortirent de la boutique, avec le regard vague, encore en sueur, et un peu agar du plaisir qu’elles avaient ressenti. Alors que Vincent sifflotait, heureux à leurs côtés. Il était fier et satisfait de les avoir mis dans cet état. En retournant vers la voiture, ils se retrouvèrent dans le parking souterrain. Brigitte était penchée dans le coffre pour déposer les affaires, et il se mit derrière elle pour caresser son postérieur avec son sexe. Elle se redressa, un peu surprise.

    -          Tu veux faire ça… là ! fit-elle surprise.

    -          Mmmh !

    Vincent prit la main de sa belle-mère, et fit le tour de sa voiture, pour la coucher sur le capot de la voiture. Brigitte croisa le regard de sa fille assise dans l’habitacle de la voiture. Elle lui fit un petit sourire désolé. Le jeune homme releva la jupe de sa belle-mère, il ouvrit son pantalon, sortit sa verge de son caleçon, et vint s’empaler dans le sexe de Brigitte. Il se mit à la pilonner, et quelques minutes, ils jouirent tous les deux sur le capot de la voiture, au milieu d’un parking souterrain. Vincent se rhabilla, et s’installa dans la voiture à la place du conducteur. Brigitte se précipita dans la voiture, à moitié habillée, quand elle entendit des gens venir vers eux.

    -          Franchement, Vincent, c’était pas …

    -          Tu ne t’y es franchement pas opposé.

    -          Oui, certes mais…

    Vincent lui jeta un regard noir dans le rétroviseur, elle soupira. Puis il démarra et ils quittèrent le parking. Le trio rentra chez eux, pour passer la soirée ensemble. Après un bon repas, un film, ils se retrouvèrent à nouveau tous les trois dans le lit. Cette fois-ci, il était plus grand.

    -          Tu as acheté un grand lit, commenta Brigitte.

    -          C’est mieux, non ? La dernière fois, j’ai failli me retrouver par terre. On aura plus de place pour faire des folies, répondit Vincent.

    C’est lui qui avait les commandes dans cette relation avec les deux femmes, il était le « Maitre », prenant les décisions de qui fait quoi, avec qui. Quoique la fille et la mère étaient aussi très coquines. Il suffit qu’il les laisse deux minutes ensemble pour aller aux toilettes, ou prendre une douche, pour les retrouver l’une sur l’autre, soit en 69 à se faire plaisir, soit l’une entre les cuisses de l’autre.

    -          Franchement les filles ! fit-il d’un ton exaspéré, et pourtant son sexe lui disait tout le contraire.

    Il était en train de bander comme un âne. Il s’avança vers les deux femmes, et se saisit d’une paire de fesses, pour y frotter son sexe. La paire de fesses, se mit à dandiner contre lui, une charmante invitation, il plongea son sexe entre les cuisses de cette belle paire de fesses, c’était déjà chaud et humide. Sa belle-mère se mit à gémir, il pensa qu’il n’avait même pas fait attention qui il pénétrait, de toute façon, c’était forcément l’une de ses deux femmes. Cynthia était assise contre la tête du lit, les jambes écartées, et se faisait du bien, une main sur son sexe à se doigter, et l’autre à se pincer les seins.

    Brigitte observait sa fille, elle se pencha en avant, et tenta de tendre une main vers elle, mais Vincent lui saisit son bras, et secoua la tête. Il voulait prendre sa belle-mère, en observant sa femme se fait plaisir, pendant qu’elle les regardait. C’était vraiment excitant. Il posa ses mains sur les hanches de Brigitte, et continuait son va-et-vient, il allait venir dans peu de temps. Il se retira, et Brigitte s’effondra sur le lit, puis, il fit quelques va-et-vient avec sa main, avant d’éjaculer sur le dos de sa belle-mère.

    -          Approche ! dit-il à sa femme.

    La jeune femme vint vers lui. Elle se mit à quatre pattes au-dessus du corps de sa mère, et Vincent s’empala dans le sexe humide de sa femme.

    -          Lèche le dos de ta mère ! dit-il.

    Cynthia se pencha vers le dos de sa mère, pour lécher le sperme que son mari avait laissé sur sa mère quelques minutes auparavant. Il pilonna sa femme, et se perdit en elle. C’était si bon, de la sentir vibrante contre lui. Les deux femmes étaient vraiment magnifiques. Elles n’étaient pas fille et mère pour rien. Il sentit sa femme jouir, et elle poussa des petits cris de plaisir, et enfin il se lâcha à son tour dans sa magnifique petite chatte.

    Les trois partenaires s’endormirent les uns contre les autres, avec un peu plus de place, pour être les uns contre les autres.

    Quelques semaines plus tard, Thia et sa mère discutaient par un SMS pour mettre au point la surprise qu’elle avait prévu pour leur homme. Vincent ne savait rien de cette surprise, sauf qu’il allait avoir une surprise. Il s’imaginait bien des choses, surtout quand il était seul. Le jeune homme rentra donc son vendredi de son club de boxe, il appréciait beaucoup ce sport. En poussant la porte, il trouva sa maison bien silencieuse. Il soupira en se doutant que les deux femmes devaient être dans le lit, en train de se faire des mamours, elles auraient quand même pu l’attendre. Il allait sans aucun doute les punir. Il ôta ses chaussures, et se dirigea vers la chambre. La lumière était allumée, il poussa la porte et trouva les deux femmes allongées sur le lit. Elle lui souriait.

    -          Nous sommes à toi, ce soir, firent-elles presque en chœur.

    -          Oh… mes deux femmes rien que pour moi.

    Thia se leva et déposa une boite à ses pieds, avant de retourner s’allonger sur son lit. Vincent s’assit sur le lit, à côté d’elles, elles portaient des petites nuisettes transparentes, et il voyait qu’elle ne portait ni culottes, ni soutien-gorge. Il ouvrit sa boite, et trouva quelques jouets sexuels. Il y avait deux paires de menottes, un martinet aux poils souples, et d’autres objets en tout genre.

    -          Mmmh, très intéressant.

    Vincent se leva et souleva les nuisettes des deux femmes, il glissa un œuf dans chacune d’elles, avant de prendre les menottes et de les attachées au lit. Il déposa un baiser sur chacune de leurs bouches. Puis sifflotant, il quitta la pièce, en éteignant la lumière et fermant la porte. Il entra dans la salle de bain, et se mit nu pour prendre une douche. Mais avant de se glisser dans l’eau, il utilisa les télécommandes pour activer les œufs vibrants dans le corps des deux femmes.

    -          Je veux vous entendre, cria-t-il.

    Les deux femmes se mirent à gémir, et à pousser des cris avec force et vigueur. Vincent chantonnait sous la douche, en écoutant ses deux femmes gémir dans son lit. Il avait besoin de toute sa force et de son énergie. Après une heure de boxe, il était en pleine forme. Il ressortit de la douche, s’essuya, et revint dans la chambre dans son plus simple appareil. Elles vont voir ce qu’elles vont prendre ces deux … coquines.

    Il revint dans la chambre, et les trouva tous les deux, le regard un peu flou. Tout avait déjà bien commencé. Il sourit et se saisit du martinet, avant de donner un coup sur la poitrine de sa femme.

    -          Alors, comme ça, on fait des choses dans mon dos, sans m’en parler ! dit Vincent.

    -          On voulait te faire une surprise ! fit Cynthia d’une petite voix.

    Vincent fit le tour du lit, et donna des coups de martinet sur la poitrine de sa belle-mère, de Brigitte, en la grondant elle aussi. Il se pencha pour enlever les œufs de leurs sexes, elles étaient maintenant plus que prêtes à le recevoir, sauf qu’il ne voulait pas les … contenter aussi vite.

    -          Alors, ma chérie, fit-il en se penchant vers sa femme, il glissa son doigt dans son sexe, il était humide. Tu es bien humide. Tu veux que je t’honore, ma belle ?

    -          Oui, s’il te plait !

    -          Et ta mère, on l’oublie… ?

    -          Non !

    -          Alors qui j’honore en premier ?

    Les deux femmes se regardèrent l’une l’autre, et ne savaient pas quoi y répondre. C’était une question qui n’avait pas vraiment de réponse. Elles haussèrent les épaules.

    -          Les deux en même temps, proposa Brigitte.

    Vincent se leva, fit le tour du lit, et souleva les jambes de sa femme pour la culbuter, il se servit d’une ceinture pour nouer les jambes de sa femme aux barreaux. Elle avait alors le cul à l’air, il pouvait observer tout à son aise, le sexe de sa femme. Il fit la même chose à sa belle-mère, et les deux femmes se retrouvèrent dans cette étrange position.

    Vincent se redressa et sortit un nouveau jouet de la boite, c’était une plume, il commença à caresser le sexe des deux femmes avec, en soufflant dessus. Elles gémissaient presque en chœur toutes les deux. Honoré deux femmes en même temps, lui plaisait beaucoup. Il aimait sa femme, il ne faut pas en douter, mais il avait aussi une relation particulière avec sa belle-mère. C’était intense tous les trois.

    Après quelques minutes de ce traitement, il posa enfin sa bouche sur le sexe de sa femme pour lui faire un cunnilingus et la lécher avec amour. Il la connaissait bien, et quand elle fut sur le point de jouir, il changea de sexe, et le posa sur celui de sa belle-mère. Et il sentit Cynthia gémir de frustration. Il s’activa sur le corps de Brigitte, et quand elle fut aussi sur le point de jouir, il s’arrêta et reprit le fouet pour donner des petits coups sur elles.

    -          Regardez-moi, ces deux coquines sur le point de jouir.

    Il reposa sa bouche sur le sexe de sa femme, qui se remit à jouir en espérant pouvoir enfin jouir, mais le jeune homme refit la même chose, et déplaça sa bouche quand elle fut sur le point d’atteindre la libération. Il lécha sa belle-mère, qui fut la première à jouir.

    -          Hé !! Oh, ce n’est pas bien, ce que tu fais là ! s’écria Vincent, en donnant un coup de martinet sur le sexe de Brigitte. Donc, je vais prendre Cynthia en premier.

    Il se mit à genoux devant elle, et glissa son sexe dans son vagin, et commença à faire des va-et-vient, avant de se retirer du corps de sa femme, qui se remit à … gémir de frustration, en l’appelant par son nom. Vincent fouilla dans la boite, et trouva un god. Il sourit, il le mit dans le sexe de sa belle-mère, puis re-rentra dans sa femme. Et pendant qu’il faisait des allers-et-retours dans sa femme, il enfonçait et ressortait le god de l’antre de sa belle-mère, et il prit ainsi les deux femmes en même temps. Cynthia fut la première à jouir dans un concert de gémissements, suivit peu de temps après sa mère. Il laissa le god dans le sexe de Brigitte, et saisit les deux hanches de sa femme, il accéléra le rythme pour connaître la jouissance à son tour. Il éjacula dans le vagin de la jeune femme, en poussant un râle de plaisir. Il retira et prit un deuxième god dans la boite, pour le glisser dans le sexe de sa femme.

    Il s’allongea sur le lit pour se reposer un moment. Il prit la télécommande et s’amusa à faire vibrer les god dans le sexe des deux femmes qui restaient sous son contrôle. La nuit allait être longue. Le reste ne regarde plus qu’eux, mais si vous tendez l’oreille, vous devriez entendre les deux femmes gémir, et l’homme faire des petits rires coquins.

     





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