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    Une soirée à trois.

    Chapitre 1

     

    Cynthia, qu’on nommait affectueuse Thia, était une femme mariée à Vincent depuis des années maintenant. Elle ne savait plus comment les choses ont commencé, mais depuis quelques mois, sa mère Brigitte venait leur rendre visite les week-ends, et ils se retrouvaient souvent tous les trois dans un lit. Thia n’est pas jalouse, ni de partager sa mère, ni de partager son mari. Au contraire, le tout était fait dans une belle harmonie, unissant les trois partenaires dans un amour sincère. Tout avait commencé pendant le confinement qui a changé la relation entre eux trois.

     

    Leur première fois avait été assez étrange, les deux femmes assises sur le canapé à regarder la télévision, en zappant sur des émissions un peu idiotes. Brigitte, s’était levé pour aller chercher un verre d’eau, et en se rasseyant, elle avait posé ses fesses sur la télécommande, et la télévision avait changé de chaines, sur 424, une chaine qui diffusait un film érotique.

     

    -          Maman, change de chaines, c’est trop vulgaire, ce genre de films.

    -          Pas celui-là, répondit sa mère. C’est pas un film porno, mais érotique.

    -          C’est pas la même chose.

    -          Non, pas du tout, un film porno, ce sont des scènes de sexe mit les uns à la suite des autres, sans profondeur. Juste... bref. Alors qu’un film érotique raconte une histoire approfondie par une scène de sexe, souvent bien tourné.

    -          Ah d’accord ! fit Thia.

     

    Les deux femmes regardèrent un moment le film, il parlait de l’histoire entre deux femmes qui s’aimaient malgré leurs mariages avec des hommes. Thia et sa mère se regardaient de temps en temps, et sans vraiment le vouloir ou le prévoir, les deux femmes finirent par se toucher l’une l’autre.

    Vincent, qui s’était couché tôt, se leva et se glissa silencieusement vers la cuisine. Il voulait surprendre sa femme, et la conduire dans la chambre. Mais en descendant, il commença à entendre des gémissements. Il s’arrêta dans le couloir, et l’observa l’écran de la télé qui lui faisait face. Il ne voyait pas les deux femmes, puisque le dossier du canapé, lui cachait la vie.

    La scène changea, mais les gémissements étaient toujours là, il s’avança doucement vers le canapé, et regarda par-dessus le haut du canapé. Thia était allongée sur sa mère, et les deux femmes se caressaient. Pendant une seconde, Vincent se demanda s’il n’était pas en train de rêver. Il se pinça et ressentit de la douleur, donc il n’était pas en train de rêver. Il fit le tour, et sans rien dire, prit place dans le fauteuil, et s’assit le plus silencieusement possible. Le spectacle était hallucinant, mais cela le faisait bander à fond. Il ouvrit son pantalon pour laisser son sexe à l’air libre, afin qu’il ait toute la place pour grandir, et durcir tout à son aise.

    -          Je crois que ton homme nous regarde, murmura Brigitte à l’oreille de sa fille.

     

    Cynthia se sentit étrangement mal pendant quelques secondes, et osant jeter un coup d’œil vers le fauteuil, il était là, assis tranquillement le sexe bandé, qui se dressait fièrement entre ses jambes. Signe qu’il n’était pas du tout dégouté par la situation, bien au contraire. Les deux femmes se lèvent alors, et se dirigèrent à quatre pattes vers lui. Vincent les observa venir vers lui. Elles posèrent leurs mains sur ses genoux, et se penchèrent chacune d’un côté de son sexe pour venir le lécher, et le prendre en bouche. Il posa une main sur chacune de leurs têtes, et les caresser en mélangeant ses doigts à leurs chevelures.

    -          Allez-y, mes beautés.

    Les deux femmes redoublèrent d’intensité, pour faire plaisir à Vincent. Elles le sucèrent un moment, avant qu’il éjacule en fermant les yeux, il ne savait même dans quelle bouche, car il se redressa les deux femmes s’embrassaient, mêlant son sperme avec leurs salives. Il les regarda l’une, l’autre, comment choisir celle qu’il va prendre en premier ?

    -          Qui veut y passer en premier ? demanda-t-il.

    -          Honneur aux vieilles, fit Thia avec le sourire.

    Vincent se leva et commença à caresser le corps de sa belle-mère, Thia, elle prit place dans le fauteuil, elle ôta son pantalon, et écarta les jambes, et commença à se caresser toute seule, en les observant. Elle pinça aussi ses tétons, en gémissant. Le jeune homme ne mit pas longtemps à déshabiller Brigitte, elle avait encore un très beau corps. Il glissa ses mains sur ses seins, et elle se mit à gémir dans ses bras. Il enleva ce qui rester de vêtements, et ses doigts allèrent se promener vers l’antre féminin de la mère de sa femme. Elle était déjà bien humide, il récolta un peu de cyprine sur ses doigts, et vint le lécher en fixant du regard Brigitte.

    -          Tu as très beau gout.

    Il poussa la table du salon, et invita sa belle-mère, à se mettre à quatre pattes. Il se positionna derrière elle, et commença à la pénétrer. Il posa les yeux sur sa femme, qui devait se sentir seule sur son fauteuil.

    -          Avance, un peu… ordonna-t-il à Brigitte.

    Elle fit quelques pas en avant, et sa tête se plaça entre les jambes de sa fille. Thia se laissa glisser le long du fauteuil, et sa mère vint lui lécher le sexe, pendant que Vincent lui était en train de pénétrer Brigitte avec fougue et désir. C’était sacrément bon, tout ça. Il tenait bien la femme par les hanches pour être sûr qu’elle ne lui échappe pas. Pendant quelques minutes, on n’entendit plus aucune parole, juste des bruits de succion et des gémissements de plus en plus audibles. Vincent se demandait qui allait jouir en premier. Sa femme, qui subissait le plus long et profond cunnilingus, ou bien sa belle-mère qu’il était en train de pénétrer comme un fou, ou bien lui-même.

    -          Oh…. Ouiiii ! fit une voix, il leva la tête.

    Les deux femmes étaient en train de jouir. Thia levait les fesses contre la bouche de sa mère, qui était en train de baver sur le corps de sa fille. L’orgasme avait dû être fort pour toutes les deux.

    -          Vraiment très beau spectacle, commenta Brian.

    Il avait un point de vue intéressant sur le sexe de sa femme, et la bouche de sa belle-mère. Il se retira de cette dernière, et invita les deux femmes à changer de place. Bien humide et dilaté, sa femme fut facile à pénétrer, il s’y engouffra comme dans du beurre.

    -          Mmmh, fit-il, en s’enfonça loin, il crut même qu’il n’allait pas s’arrêter de se fondre en elle. Tu devrais rendre à ta mère, ce qu’elle vient de te donner, ma chérie.

    Cynthia se plaça entre les cuisses de sa mère, et vint lécher à son tour, son sexe. Elle posa sa langue, et elle la caressa dans tous les replis intimes, les grandes et petites lèvres, son clitoris, et son vagin, elle fourra sa langue partout. Elle sentait sa mère gémir sous ses caresses. En même temps, qu’elle était prise par son mari, qui glissait dans son vagin, avec force et douceur à la fois. Il fut le premier à éjaculer dans le ventre de sa femme, et laissa tout son sperme se déverser en elle. Elle mit peu de temps à le suivre dans la jouissance. Suivit de sa mère qui poussa un petit cri de bonheur.

     

    Cynthia et Vincent prirent places sur le canapé, et Brigitte resta dans le fauteuil, ils se reposèrent pendant quelques minutes, sans trop oser rien dire, de ce qui venait de passer. La soirée avait commencé, comme toutes les autres, et ils se retrouvaient nus les uns assis à côté des autres, sans trop savoir ce qui leur avaient pris. Puis ils se regardèrent les uns les autres.

    -          On va dans la chambre, proposa Vincent.

    Il se leva et tendit une main à chacune des deux femmes. Brigitte et Cynthia lui prirent les mains, et le suivirent dans la chambre. Vincent aida les deux femmes à s’allonger, l’une à côté de l’autre, et se mit au-dessus d’elle, pour les embrasser l’une après l’autre. Puis il fit descendre ses mains sur les corps des deux femmes pour se retrouver entre les deux sexes des femmes. Il écarta leurs jambes, pendant qu’il léchait le sexe d’une femme, pendant qu’il doigtait l’autre.

    Cynthia et Brigitte enfonçaient leurs têtes dans les coussins, en gémissant, savourant le plaisir qu’il leur faisait. La mère et la fille se penchèrent l’une vers l’autre, pour s’embrasser à pleine bouche. Vincent sentit l’une des femmes jouir sous sa langue, il changea alors de place pour venir lécher l’autre femme. C’était sa belle-mère qu’il léchait maintenant. Et se mit à doigter sa femme. Les deux femmes continuaient de s’embrasser, en se caressant la poitrine. Cynthia se pencha vers sa mère pour prendre les tétons de sa mère en bouche, et les téta avec … avidité. Brigitte posa sa main sur la tête de sa fille, et de son beau-fils. Tous les deux lui procuraient mille et une merveilles sur son corps. Elle se mit à jouir en poussant des gémissements, et de profonds soupirs.

    Le jeune homme invita sa femme à se mettre au-dessus de sa mère, elle se mit à genoux au-dessus d’elle, Vincent continua son cunnilingus, et glissa un doigt dans l’anus de sa femme, puis élargit un peu son petit trou, tout en la léchant. Cynthia se pencha vers sa mère pour se remettre à lui lécher la poitrine. Vincent se redressa et présenta son sexe sur le petit trou de sa femme, et poussa pour y entrer. Cynthia fit une légère grimace, mais sa mère lui caresser le visage, et l’embrassa. Vincent lui poussait de plus en plus loin dans le fondement de sa femme, enfin il fut à l’intérieur. C’était chaud, et incroyablement serré. Il posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, et se mit à la sodomiser.

    -          Tu as un cul merveilleux, ma chérie, dit Vincent.

    Il fit des mouvements de va-et-vient de plus en plus forts, et elle ne tarda pas jouir dans les bras de sa mère. Il croisa le regard de Brigitte, qui semblait lui dire qu’elle voulait elle aussi. Il se retira de sa femme, et invita les deux femmes à changer de place. Brigitte se retrouva au-dessus de sa fille, et se faisait enculer par son beau-fils. Elle se pencha vers sa fille pour l’embrasser, et parvint à glisser une main vers le sexe de sa fille, pour la doigter doucement, mais profondément. Quelques minutes plus tard, après des gémissements, des soupirs et des râlements, les uns et les autres se mirent à jouir dans le bonheur total. Ils s’allongèrent sur le lit, les uns à côtés des autres. Ils reprenaient doucement leurs respirations.  Vincent se leva, et revint quelques instants plus tard, avec la corbeille de fruits.

    Ils mangèrent quelques fruits, en discutant de ce qui venait de se passer. Cynthia était allongée entre sa mère et son mari, elle se sentait vraiment bien de sentir les deux êtres qu’elles aimaient le plus au monde prés d’elle, avec elle. Elle se coucha sur le côté pour poser sa tête sur le torse de Vincent, et sa mère se cala dans son dos pour la prendre dans ses bras. Vincent passa son bras au-dessus leurs têtes pour les caresser avec tendresse. 

    Ils s’endormirent les uns contre les autres. Le lit était un peu petit pour contenir leurs trois corps. Vincent, qui fut le premier à se réveiller, se dit qu’il faudrait peut-être investir dans un lit plus grand, un de ses lits de deux mètres, enfin encore faudrait-il que cela se reproduise.

     





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