• Chapitre 2

     

    Le soir, elle observait son père, et ce qui aurait dû être un verre entre un homme et une femme pour faire connaissance et plus si affinité se transforma en joute verbale entre deux femmes qui se battaient pour un homme. William regardait les deux femmes, qui souriaient alors qu’elles étaient de plus en plus tendues.

    • Votre père devrait avoir le droit de refaire sa vie.
    • Oui, certes, mais êtes-vous la personne idéale pour ça ?
    • Les filles, vous voulez bien, cesser ce petit jeu. Je suis en droit de décider, s’écria William.

    Les deux femmes eurent droit à un regard noir de la part de l’homme, il ne comprenait pas du tout ce qui leur arriver.

    • Oh, il se fait tard, fit Anora. Je ne voudrais pas vous chasser, mais vous avez surement des choses à faire.

    Anora sourit d’un air forcé en fixant la jeune femme du regard, la défiant d’oser dire quelque chose et de rester avec eux.

    • Anora ! gronda son père.
    • Oui, papa ? demanda-t-elle.

    Elle se tourna vers lui avec un regard lubrique, il prit soudain « peur » de ce qu’elle serait capable de faire devant sa secrétaire. Anora était en train de marquer son territoire. Si Catherine y voyait de la jalousie qu’on puisse lui voler son « père », lui comprit qu’elle y voyait qu’on puisse lui voler son « homme ». Finalement un appel sur le téléphone de Catherine l’obligea à quitter la maison de William Tarrin. Anora n’en était que plus contente de cette situation.

     

    La jeune femme et son père partagèrent un repas, dans une étrange tension. Elle parlait de tout et de rien, et son père restait silencieux à l’observer. Parfois il la voyait comme sa fille qu’il devait recadrer avant que ça n’aille trop long. Et parfois comme une femme avec qui, il aimerait bien … faire l’amour. Elle n’était pas aussi grande que Catherine, mais elle dégageait une grande assurance. Anora avait des mollets vraiment bien dessinés, des cuisses musclées, des fesses rondes et hautes, se moulant à la perfection dans son pantalon. Elle avait pris une douche et changeait de tenue avant le repas, revêtant un pyjama en tissu léger. Elle avait une taille fine, et un ventre plat. Une poitrine de belles tailles, mais toujours proportionnel aux autres. Un cou fin, et une nuque très excitante, elle avait des bras fins, et des mains vraiment très jolies. Elle était belle, vraiment très belle. La jeune femme avait bien remarqué que son père la déshabillait du regard.

     

    Après le repas, Anora se leva, et mit la vaisselle dans l’évier, demain une femme de ménage passait pour s’occuper de tout ça. Sonia travaillait pour sa famille depuis des années. William soupira et se rendit dans le salon, il avait besoin de faire une pause dans son travail. Sa fille le suivit.

    • Est-ce qu’une partie d’échecs te tente ? proposa Anora, avec le sourire.

    Son père se doutait qu’elle avait une idée derrière la tête, mais s’il continuait comme ça, plus jamais il ne pourrait faire d’activité avec sa fille sans avoir d’arrière-pensées. Il accepta de jouer avec elle. La jeune femme sortit l’échiquier et installa les pions. Ils firent quelques coups.

    • Est-ce que ça te dit de rendre la partie plus … excitante ? fit-elle.
    • Anora… Je pense que ça suffit maintenant !
    • Aller, j’ai bien vu comment tu me regardais pendant tout le dîner. Tu … ne fais que reculer pour mieux sauter, tu sais. De quoi as-tu peur ?
    • Ce n’est pas … une bonne chose pour toi.
    • Tu crois que ça engendrait un … traumatisme, ou quelque chose comme ça ?
    • Oui…
    • Mais il ne faut pas t’inquiéter de ça. Je le veux ! Maintenant tu veux … connaître ma nouvelle règle ?
    • Vas-y dis-moi !
    • A chaque fois que l’un de nous perd une pièce, il doit enlever un vêtement. Le strip-échec ! annonça-t-elle. Et je crois que c’est ton tour, fit la jeune femme.

     

    William soupira et bougea son cavalier, quelques coups suivants, il avait perdu quelques pions, et il se retrouvait en pantalon, torse-nu au milieu de son salon. En face de lui, Anora était toujours en pyjama, elle n’avait ôté que ses chaussettes, son élastique, et la petite veste de pyjama. Elle était magnifique, mais William ne pouvait pas vraiment lui dire.

    • Echec ! annonça-t-elle.

    William n’avait pas été très concentré sur la partie, d’habitude, il était capable de la battre facilement, mais là … elle semblait être très forte. Il avait sous-estimé la jeune femme croyant pouvoir s’en sortir sans trop se dévêtir. La jeune femme prit un autre pion de son père, et le regard avec le sourire. Il soupira et se leva pour enlever son pantalon, et se retrouver en boxer.

     

    Il aurait pu refuser ce jeu, est-ce qu’au fond de lui, il n’y avait pas une partie de lui qui était ravie de jouer avec sa fille, à tout ça. Elle annonça un autre échec, mais cette fois-ci, ce fut elle qui perdit un pion. Elle ôta aussi son pantalon, et il vit la petite culotte de sa fille. Mais surtout ses jambes galbées à la perfection, il se souvenait de la douceur de sa peau. Elles étaient blanches, et il pensa … qu’il pourrait l’emmener en vacances. Il imagina sa fille allongée sur le bord d’une piscine au soleil, et lui …. Etalant la crème solaire sur son corps.

     

    • Nous devrions arrêter de jouer avant …
    • Avant quoi ? d’être nus ? Papa, c’est le but. Tu ne veux pas découvrir mon corps. Moi, je suis très excitée à l’idée de voir le tien.
    • Anora ! fit-il d’un ton … désespéré.
    • A toi de jouer !

    Ils firent quelques coups, il fallait qu’il réussisse à gagner cette partie, sans prendre de pions à la jeune femme, pour éviter qu’elle se retrouve nue, ni en perdant de pions pour ne pas se retrouver nu non plus. Exercice très difficile. Anora prit un autre pion à son père. Elle sourit.

    • Je ne peux pas … Anora !
    • Allons papa ! c’est le jeu !
    • Anora !

    La jeune femme se leva et s’avança vers son père. Elle prit la main de son père, et la posa sur l’arrière de ses cuisses. Elle tendit sa main sur la joue de son père, elle fixa son père du regard.

    • … Papa ! Tu ne veux pas me découvrir comme une femme. Suis-je si laide ? si inintéressante ?
    • Allons ! Anora… mais non c’est tout le contraire, tu es magnifique, tu es intelligente, tu me surprends chaque jour par ton talent. Mais …
    • Mais… il n’y a pas de mais… Nous pouvons vivre ce moment tous les deux. Fais-moi découvrir l’amour… Tu es mon père, tu le feras avec tendresse, avec amour… Et non avec précipitation, maladresse… ou je ne sais pas quoi d’un autre homme.
    • Anora… Ne mets pas ma résolution a si rude épreuve.

    William se rendit compte qu’il n’avait pas enlever sa main de la cuisse de sa fille, il remontait doucement sa main sur ses fesses musclées, et rondes.

    • Il faut que tu enlèves encore un vêtement ! murmura Anora d’une voix envoutante.

    Il se leva, et comme guidé par des mains invisibles et une force hypnotisant. Il ôta son boxer et se présenta nu devant sa fille.

     

    Anora observa son père, il avait un beau corps. Ses jambes étaient musclées, il faisait de la course à pied, avait déjà participé à des semi-marathons pour le téléthon et autres actions du même genre. Il avait des pectoraux et des abdominaux dessinés à la perfection. Des bras musclés, en règle générale son père prenait soin de lui. La jeune femme posa son regard sur son sexe, il était à moitié dur, et semblait être d’une très bonne taille, on peut dire qu’il est bien foutu. William se rassit et croisa ses jambes pour le cacher, et invita sa fille à continuer la partie. Maintenant qu’il était nu, malgré l’inconfort de la situation, il retrouva son … inspiration, et prit une pièce à la jeune femme. Elle ôta le haut de son haut de pyjama, dévoilant une magnifique poitrine en forme de pomme. Deux seins hauts, et pointant fièrement devant elle. William l’observa un long moment, avant de rougir et de détourna le regard.

    • Echec et Mat ! annonça le père d’Anora en soupirant de soulagement.
    • Dommage, tu n’auras pas vu le reste.

    Ano se leva et s’avança vers son père et lui prit sa main pour la poser sur sa petite culotte. Elle frotta les doigts de son père sur son sexe. William sentit qu’elle était un peu humide, et il pouvait sentir son petit clitoris sous ses doigts. Et surtout il ne sentait pas de poils. Anora avait dû se raser, ou s’épiler. Pour lui ?

    • C’est bon ! dit-il.

    Est-ce qu’il disait ça, dans le sens c’est bon, arrête maintenant j’en ai marre, ou bien est-ce une question pour savoir si c’était bon ce qu’elle se faisait en utilisant sa main comme d’un jouet sexuel ?

    • Oh oui ! très bon.

    La jeune femme utilisa son autre main, pour saisir celle de son père et la posa sur sa poitrine, et là aussi sa main sur celle de son père, initia un mouvement circulaire sur son sein. Elle utilisait les mains de son père comme jouet sexuel, et il n’avait rien à en redire. Le regard de William croisa celui de sa fille, qui se voilait de plus en plus sous le signe du plaisir. Il ne pouvait nier que son … sexe était en train de durcir et de dresser.

    • Oh oui…. Très bon ! répéta Anora en se mettant à jouir contre sa main.

    Il sentit un peu plus de cyprine se répandre sur le tissu de sa petite culotte. Elle se pencha vers son père, et posa un baiser sur sa joue.

    • Merci pour ce cadeau, fit-elle.

    La jeune femme se recula, récupéra son pyjama qu’elle avait soigneusement plié dans un coin, et quitta la pièce. William se laissa aller en arrière sur son fauteuil, et observa son sexe en érection. P*t*n, cette gamine l’avait encore laissé seul avec son érection, alors qu’elle avait eu son plaisir.

     

    Il se leva et se rendit dans les toilettes, où encore une fois, il se branla au-dessus de la cuvette. Que faisait-elle de lui ? En quelques heures, il avait éjaculé deux fois. Aucune femme n’avait agi comme ça avec lui. Il avait toujours fait le premier pas, prit les choses en main dans une relation avec une femme. Mais là c’était sa fille et elle le menait par le bout de son nez. Par son amour pour elle, où il ne pouvait rien lui refuser, par son intelligence qui le surprenait chaque jour par son ingéniosité et sa créativité. Et maintenant avec son désir… qui le rendait complètement fou. William ferma les yeux, et tenant sa verge en main, il imagina être en train de pénétrer Anora… et de lui faire l’amour comme un fou.

    • Oh oui… Anora ! murmura-t-il avant de … lâcher la sauce dans les toilettes.

     

    William continua de fantasmer sur sa fille, une fois allongé dans son lit. Il ne voulait pas rejoindre sa fille dans son lit, mais … il y pensa malgré tout. Il observa plusieurs fois son sexe se dressait dans son lit. Il passa une nuit difficile entre les érections parfois inconscientes, et les pensées tourbillonnantes, où il revoyait les seins de sa fille, le sentait encore sous sa main. Et quand il parvenait à faire l’œil, il en rêvé, et faisait des rêves torrides dans les quels, ils prenaient sa fille dans tous les sens, dans les trois trous… parfois loin de ce qu’on pourrait appeler la tendresse.

     

    Dans son rêve, sa fille lui criait des mots crus, genre « prend-moi, ou baise-moi », en écartant ses cuisses, et il pouvait imaginer le sexe de sa fille. Ou bien elle se mettait à quatre pattes et écartés ses fesses, en lui disant de prendre ce trou là aussi… C’était vraiment du n’importe quoi… Le lendemain matin, il n’était pas très en forme. Alors qu’il croisa Anora, qui lui souriait, toute guillerette.

    • Bonjour, mon papa ! J’ai passé une excellente nuit.
    • B’jour !

    Ce n’était guère étonnant qu’elle est passé une bonne nuit, elle avait joui sous sa main, et elle avait eu ce qu’elle voulait. Lui était resté sur sa faim, tout en se disant qu’il n’aurait même pas dû la laisser faire. Même pas lui donner l’occasion de tester, de soumettre l’idée… ou même d’y penser tout court d’ailleurs.

     

    Aujourd’hui, c’était samedi, après le passage de la femme de ménage, il serait seul tous les deux. D’habitude il le passe avec elle, tous les deux, mais aujourd’hui, il avait envie de s’enfermer dans son bureau, et de se plonger dans le travail. William trouva sa fille assise dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner.

    • Oh, tu as passé une mauvaise nuit ?
    • A qui la faute, hein ?
    • Qu’est-ce que j’ai fait ? demanda-t-elle avec son air innocent.
    • Bonjour, Bonjour ! fit Sonia avec son entrain habituel, qui priva William de répondre à sa fille.

    Il grogna un bonjour à Sonia, il prit une tasse de café et quitta la pièce pour rejoindre son bureau.

     





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