• Anora était assise sur le canapé, et écartait les jambes, la main de Catherine était en train de se glisser sur son sexe. La jeune femme se tourna vers Catherine et l’embrassa avec douceur. Les deux femmes étaient en train de se toucher sur le canapé. Anora pouvait peu à peu prendre le pouvoir sur Catherine, en lui promettant des plaisirs de plus en plus intenses. Anora glissa sa main dans la féminité de la jeune femme, et lui caressa son sexe. Elle posa sa main à plat, et appuyait de plus en plus fort sur son clitoris.

    -          - Ferme les yeux, ma douce ! fit Anora.

    Elle se glissa entre ses jambes, et vint poser ses lèvres sur le sexe de Catherine, et lui procura un cunnilingus, la jeune femme fit signe à son père de s’asseoir sur le fauteuil. Catherine poussa des soupirs de plaisir, et se mit à crier de jouissance. Elle releva la tête, et croisa le regard de William.

    -          - Anora ! fit-elle un peu paniquée en fermant ses jambes.

    -          - Oh, coucou papa ! Que fais-tu là ? demanda-t-elle avec un petit sourire.

    -          - Je vous observe, et je regrette de ne pas venir jouer avec vous.

    -          - Ah… fit Catherine.

    -          - Ah… dit Anora.

    -         - C’est votre fille quand même… Attendez-… vous avez déjà… fait … ça … tous les deux.

    -         -  Catherine…

    Anora se leva et posa son front contre celui de la jeune femme, et lui fit un sourire, en plongeant son regard dans le sien.

    -         - Tout va bien, nous sommes tous … consentants, dans cette pièce, n’est-ce-pas ?

    -         - Mmmh ! fit Catherine en secouant la tête.

    -       - Par contre, on ne peut pas jouer avec toi… mon petit papa, tu es toujours dans ta période d’abstinence, encore … deux jours. En revanche, tu peux regarder, qu’en penses-tu, Catherine ?

    La jeune secrétaire hocha la tête, et toutes les deux reprirent leurs caresses sous le regard de William. Catherine croisa souvent le regard de son patron surtout quand elle se mettait à jouir. Il se leva de son canapé, et vint se mettre au-dessus d’elle. Sa fille était entre ses jambes, et procurait un cunnilingus à Catherine, et lui se mit au-dessus d’elle, pour fixer son regard dans le sien.

    -        - Dans deux jours, vous pouvez compter sur moi… pour jouer avec vous, fit William avec le sourire.

     

    C’est comme ça que Catherine se joint à leurs jeux, elle était soumise à Anora qui lui faisait faire ce qu’elle voulait, même d’aller au travail, en jupe, de plus en plus courte, sans culotte. D’envoyer des photos d’elle nue, dans les toilettes de l’entreprise. Mais cela excitait considérablement Catherine. Qui avait le droit à une récompense le vendredi-soir en compagnie d’Anora et de William. Elle avait vu les deux faire l’amour, c’était bizarre à voir en sachant qu’ils étaient un père et sa fille. Une grande partie d’elle était excitée par cette idée, et l’autre toute petite partie… était un peu dégoutée. Cette dernière semblait de plus en plus petite.

     

    William suivait les règles de sa fille à la lettre quand Catherine était là. Par exemple, Anora devait toujours jouir avant elle. Et il ne devait pas entrer dans le corps de la jeune femme. Ils avaient tellement bien joué qu’il sentait que Catherine ne s’en était même pas rendu compte. Par exemple, un soir, Anora faisait un cunni, pendant qu’il pénétrait sa fille par derrière. Ensuite Catherine s’était retrouvée avec un god dans son vagin, qu’il enfonçait en faisant des va-et-vient dans le corps de sa secrétaire, pendant qu’elle faisait un cunni à sa fille, alors qu’elle était assise sur son visage face à lui, et elles s’embrassaient toutes les deux.

     

    -         -  Pourquoi Catherine s’est jointe à nous, exactement ?

    -       - Pour la leçon N°11 : La fidélité, et la loyauté. Je veux que tu restes fidèle, pour l’instant, c’est ton sexe qui me reste fidèle.

    Et voilà les mois passèrent, Anora se montra toujours aussi forte, aussi grandiose. Elle avait réussi à le dominer, mais également Catherine, et elle contrôlait aussi Jack. La jeune femme était vraiment très forte.

     

    Anora avait peu à peu oublié son scénario, il y avait eu tellement de modifications, son père s’était montré si docile, et si gentil que cela avait été facile de le dressé et de le soumettre à sa volonté, à ses désirs. Mais il y avait encore une leçon qu’elle devait lui apprendre, c’était la leçon N°10, mais bon elle n’était pas sûre d’avoir fait toutes les leçons qu’elle avait prévu. Bref celle-ci était la tempérance, savoir rester calme en toute circonstances et ne pas se mettre en colère.  Un soir, qu’elle savait que Jack était absent, elle amena son père, en laisse dans l’étable des animaux. Elle attacha son père debout à un poutre au-dessus de sa tête.

    -        - Papa, ce que je vais faire aujourd’hui, est un peu spécial, je veux que tu te rappelles des mots magiques, tu t’en souviens ?

    -          - Orange et Rouge !

    -          - Oui, très bien. Je veux que tu penses à tout ce qui te met en colère dans la vie, à tout ce qui t’énerve, à tout ce qui t’agace… A chaque fouet que je vais donner un coup, je veux que tu cries cette chose, ou cette personne, et qu’elle sorte de toi, et que tu n’y penses plus avec colère. Tu comprends !

    -         -  Oui, princesse.

    Anora se recula prit le fouet en main, et donna le premier coup sur la fesse de son père. Il tendit le corps, et cria « Papa ». Il était en colère contre son père. Elle continua de donner des coups, et lui de crier sa colère et sa douleur. Elle s’essouffla assez vite, et pourtant son père continuait de lui crier de frapper encore. Anora prit un martinet pour ne pas trop mouliné du bras. Pour ne pas avoir à dire à son père qu’elle était fatiguée, elle se contenta de dire qu’il reviendrait pour une nouvelle séance. Elle détacha son père, qui s’effondra au sol. Il parvint à se mettre à quatre pattes, et suivit docilement sa fille, à quatre pattes avec son collier autour du cou. Ce soir-là, ils prirent leur douche ensemble, et elle trouva son père si calme et reposait comme si la colère l’avait effectivement quitté.

     

    Allongés dans le lit de sa fille, pendant qu’elle massait doucement, William raconta comment son père lui avait montré comment on faisait jouir une femme. En lui disant qu’on n’était pas un homme, si on ne pouvait pas … baiser au moins une femme par jour. 

    -          - On n’est pas un homme, si on ne peut baiser une femme par jour, mon fils, a-t-il dit.

    -       - Ce n’est pas ça qui est important, ce n’est pas de pouvoir faire jouir une femme par jour, qui est important. Mais de pouvoir faire jouir une seule femme tous les jours. Et si ça te rassurer, tu me fais jouir tous les jours, mon petit papa.

    Ils s’allongèrent dans les bras l’un de l’autre, en se serrant fort.

     

    Quelques semaines plus tard, William apporta les plats aux quatre femmes présentes, elle était aussi des maîtresses, et chacune d’elle avait amené son soumis. L’un d’eux était habillé en femme avec des talons aiguilles, il avait toutes les peines du monde à marcher droit, mais sa maîtresse, le tenait en laisse à ses côtés. Il devait rester debout, alors qu’elle était assise confortablement sur un des fauteuils. William posa le plateau sur la table basse. Le deuxième soumis, s’était mis à quatre patte, et servait de repose-pied à sa maîtresse. Et le troisième soumis était allongé sur le ventre, et sa maîtresse avait pris place sur son dos. Après avoir posé le plateau, William vint se mettre à genou prés de l’accoudoir du fauteuil, où sa maitresse était installée. Sa fille le traitait plutôt bien, mais il regrettait de ne pas sentir les pieds de sa maîtresse sur lui, ou bien ses fesses sur son dos.

     

    Il posa sa tête sur l’accoudoir, comme l’aurait fait un chien qui demandait son attention. Elle mit sa main dans ses cheveux, et les quatre femmes parlaient de leur façon de faire avec leurs soumis. Il réalisa que sa fille était la seule à avoir un scénario aussi sophistiqué pour lui apprendre ses leçons, qui faisait de lui un homme meilleur. Toutes les trois s’échangeaient des astuces ou des techniques. Certaines intéressaient beaucoup William, et il aimerait bien qu’elle essaye sur lui. D’autres lui donner une grimace. Le jeune homme sur ses talons semblait avoir de plus en plus aux pieds, aux jambes. William observa l’homme se mettre à pleurait, il vit de l’urine coulait le long de sa jambe. Il leva la tête vers sa maîtresse, elle croisa son regard, et il se tourna vers l’homme en question.

    -          - Je crois qu’il est en train d’uriner ! fit Anora, sans aucune gêne.

    William avait pris toute ses précautions à ce sujet, il allait toujours aux toilettes avant de commencer à jouer avec sa fille.

     

    -         - Tu es un petit porc, tu le sais ça… C’est chez mon amie ici… Il va falloir nettoyer tout ça, s’écria sa maîtresse.  

    -          - Oui, maîtresse.

    L’homme se mit à genoux, et se mit à lécher l’urine sur le sol qui avait coulé. La pièce fut silencieuse pendant quelques instants, William regarda sa maîtresse, est-elle … excitée par ce spectacle, est-ce qu’un jour, lui aussi serait à quatre pattes, la langue sur le sol en train de lécher son urine pour nettoyer le sol ? Est-ce que cette idée l’excitait, lui-même ?

    -      - Et ne crois pas que tu sois exempt de punition quand nous serons rentrés à la maison, et qu’il n’en reste pas une goutte surtout. Tu me le diras si en rester, la punition sera double.

    -          - Tu peux compter sur moi ! répondit Anora.

     

    Cet événement passé, William reposa sa tête sur l’accoudoir de sa fille, et elle glissa à nouveau sa main dans ses cheveux, et elles se remirent à parler, comme si de rien n’était. Ces trois femmes, ces trois maîtresses étaient impressionnantes pleines d’ingéniosité, de créativité, mais aucune d’elle, n’atteignait sa fille. Les trois femmes étaient plus âgées qu’Anora, elle n’avait que vingt-deux ans, et elle était aussi douée qu’elles. Et lui était le plus vieux des trois soumis.

    -      - Je dois avouer, que je suis assez impressionnée, fit la maîtresse du marchepied, vous avez réussi à dominer votre …soumis qui a le double de votre âge.

    -         -  Oui…

    William se demandait si elle allait révéler leur lien un peu particulier, soumettre son père de cette façon, ça ne devait pas se voir souvent. Mais elle n’en dit rien, et se contenta de sourire, en le regarda, comme si elle était fière de lui. Il se sentit étrangement euphorique. Il n’avait pas le droit de parler, directement, il devait demander l’autorisation d’Anora, mais s’il prenait la parole, il savait aussi qu’il devait dire quelque chose d’intéressant et de cultivé. Ils avaient passé du temps sur cette leçon.

     

    Un tournement de clé se fit entendre, et tout le monde leva la tête vers la porte. Catherine se représenta à la porte. Elle se figea devant le spectacle un peu particulier. Elle avait le mascara qui coulait sous ses yeux. La jeune femme semblait avoir pleurer. Anora tendit la main.

    -          - Approche !

    Catherine se précipita vers Anora, elle se mit à genoux devant elle et posa ses bras sur les genoux de son amante, enfouille sa tête. La jeune femme caressa doucement la tête de la secrétaire de son père pour la rassurer.

    -          - Deux pour le prix d’un ! fit l’une des femmes.

    -     - On va dire ça, je suis désolée d’écourter un peu la soirée.  Raccompagne-les, ordonna-t-elle à William.

    Les trois femmes et leurs soumis se levèrent et quittèrent la pièce, avec le sourire, et les gestes de la main. Anora caressa les cheveux de Catherine qui pleurait comme une Madelaine. Qu’est-ce qui avait bien pu se passer pour la mettre dans un état pareil. William revint se mettre à genoux prés de sa fille, et observa sa secrétaire en pleurs.

    -         -  Que s’est-il passé ?

    -         - Ma mère… m’a traité de salope… Parce que je lui ai dit que j’étais … avec toi, Anora. Elle m’a chassé de la maison.

    -        - Tu n’es pas une salope, ma chérie. Je t’assure, tu es la bienvenue dans cette maison.

    -        - Merci… Anora… merci… Princesse… dit-elle en levant la tête, en croisant le regard de la jeune femme.

    Anora n’avait pas du tout pensé qu’on arriverait là à ce point-là. Elle se pencha et posa sa tête sur celle de Catherine, et la serra fort dans ses bras. Cette nuit-là, ils dormirent simplement tous les trois, dans les bras des uns et des autres. Catherine tenait Anora contre elle, comme si elle ne voulait pas la perdre, et William avait aussi entouré aussi le corps de sa fille contre lui pour qu’elle ne s’éloigne pas trop.

    Quelques mois plus tard, Catherine avait pris place dans la maison, et partageait les jeux qu’Anora organisé pour son père. Elle avait un peu de retard, Catherine se mit même à porter des culottes de chasteté. Elle sentait tellement bien protégé avec ce … dispositif. Anora avait toujours du temps pour son père. Ils partaient souvent tous les deux, laissant Catherine seule à la maison. Et Jack … venait jouer aussi parfois. C’était un équilibre très … précaire, tout le monde avait signé un contrat avec Anora, et elle s’amusait avec le corps de Catherine et de son père. Mais il y avait une dernière leçon, une dernière demande qu’elle voulait demander à William.

    -          - Tu sais que notre contrat s’arrête à la fin du week-end !

    -         - Oui… j’ai bien réfléchi. Maintenant que Catherine est avec nous, je veux continuer… deux ans de plus ?

    -          - Mmmh ! Pourquoi pas, mais il reste une dernière leçon.

    -          - Oui, princesse ?

    -         - Le don de soi. Papa, je veux un enfant de toi.

    -          - De moi ? Mais … c’est…

    -       - J’en ai discuté avec mon gynécologue, le Dr Gemmail, il m’a dit avoir justement accouché une jeune femme enceinte de son frère, et la petite fille se portait très bien… Enfin bref, il m’a dit qu’il pouvait suivre ma grossesse, et faire un test génétique complet pour vérifier tout ça et que tout va bien…

    -         - D’accord ! fit-il en prenant sa fille dans ses bras. Mais cet enfant, je veux le concevoir comme la première fois qu’on a fait l’amour.

    -          - Oui, je suis d’accord.

     

    William se mit au-dessus de sa fille, et commença à la caresser, son corps magnifique, ses jolis seins, son ventre plat, son sexe sublime, ses jambes douces, tout était parfait chez elle. Son regard qu’elle posait sur lui, lui donnait des frissons de plaisirs, jusqu’au bout des orteils, et la racine de ses cheveux. Il passa sa main sur sa cuisse, et remonta doucement sa jambe, puis il fit glisser sa langue le long de son cou, puis sur sa poitrine, où il lécha et mordilla les seins de la jeune femme, surtout ses petits boutons roses. Ensuite, il descendit sur son ventre, et vint se perdre entre ses replis intimes. Il leva les mains au-dessus de lui. Pendant qu’il glissait sa langue dans son vagin, ses mains pinçaient ses tétons. La jeune femme leva ses jambes de chaque côté, et serra la tête de son père, pour la coincer dans cette position. Elle gémissait de plus en plus fort, et son corps s’arquait de plus en plus haut. Puis elle laissa échapper un long cri de jouissance. Il lécha le nectar des déesses, avant de remonter doucement pour venir embrasser avec amour et passion sa fille.

     

    La jeune femme bascula pour mettre son père sur le dos, et commença à son tour, à s’occuper de son corps. Elle glissa sa langue le long de son corps, elle mordit doucement son bras, puis téta ses tétons, et glissa sa langue dans son nombril. William gémissait à son tour, et sursauta quand sa fille commença à lui caresser son sexe, et à le masturber de plus en plus vite, avant de le mettre en bouche, une fois qu’il fut bien dur. Elle s’activa de son mieux, puis William lui saisit doucement les cheveux, et la fit remonter vers lui. Ils s’embrassèrent à nouveau. Son père avait tort, le plus important n’était pas d’avoir une femme par jour, mais une seule femme chaque jour, Anora était parfaite dans ce rôle. Il pénétra la jeune femme, et lui fit l’amour avec force, mais tendresse. Elle se mit à jouir plusieurs fois dans ses bras. Il éjacula dans son vagin, en pensant à l’enfant qu’ils allaient concevoir. Faites qu’il soit beau, qu’il soit fort, qu’il soit en bonne santé, qu’il soit heureux. A cet instant précis, Anora n’était plus sa fille, non elle était la femme de sa vie.

    -         -  Anora, murmura-t-il.

    -          - William, lui répondit-elle en le serrant dans ses bras.

     

    Quelques mois plus tard, Anora donna naissance à une petite fille, Kaylia. Le docteur Gemmail assura qu’elle n’avait pas de séquelles importantes dans son code génétique. « Pas de mauvais code ». La jeune femme, Catherine, Jack, et William entrèrent dans la maison. Anora ferma la porte, et le reste ne regarde plus qu’eux maintenant, mais encore aujourd’hui, on attend des coups de fouets, d’étranges cliquetis, et on voit souvent des silhouettes nues traversaient le jardin. La maison des Tarrin devint à son tour, le sujet de rumeurs, comme le harem de la famille Darma. Il se passe de drôles de choses dans cette ville.   

     

     





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