• Défi Ecriture Sexy

    Défi Écriture Sexy proposé par Vicky-Saint-Ange

     

    Cinq jours
    Cinq contraintes
    Cinq Textes
    Un minimum de cent mots par texte.
    Obligation de rendre public son texte moins de 24h après l'envoi de la contrainte pour accéder à la contrainte suivante.
    Une proposition pour accéder à ma masterclass sur l'écriture érotique à la fin du défi.

     

    DEFI N°1 : Trouve tes trois critères

    L'idée est simple : je veux qu'aujourd'hui, tu réfléchisses aux trois critères selon toi (et j'insiste sur ce point) qui justifient une scène de sexe. Alors oui, ce premier défi est étrange, mais il faut bien s'échauffer. La fin du défi sera plus corsée et on sait que les premiers jours d'un défi sont toujours les plus difficiles, car il faut lancer la machine. Néanmoins, plus encore que lancer la machine, il est nécessaire de réfléchir sur les raisons qui vont te pousser à écrire une scène érotique.

    > Pour approfondir/développer la relation entre deux personnages.
    > Faire ressentir des émotions aux lecteurs / lectrices
    > Faire vivre les personnages.

     

    DEFI N°2 : Utilise le bon vocabulaire

    L'idée est simple : aujourd'hui, tu vas écrire ton premier texte érotique, mais je veux que tu portes une attention toute particulier sur le vocabulaire que tu vas utiliser.  C'est particulièrement important car c'est la première chose que tes lecteurices vont voir : quel vocabulaire vas-tu décider d'utiliser ? Quel niveau de langue ? Du soutenu ? Du familier ? Du cru ? Ou du flou ? Bref, on a besoin de faire des choix, qui reflètent ce que tu veux transmettre.

     

    Annabelle jeta presque ses chaussures dans le salon, elle saisit la main de Nina et la conduisit vers la chambre. Les deux femmes partageaient ces moments de complicité et d’amour fort depuis quelques jours maintenant.

    - J’ai follement envie de toi, fit Annabelle.

    Nina sentit un frison excitant parcourir son corps, sans lui répondre, elle se dévêtit avec précipitation pour lui montrer son propre désir. Elle trouve sAnnabelle la coucha sur le lit, sa partenaire était nue. La jeune femme caressa les belles pommes rondes, son ventre plat et sa peau douce. Puis son entre-jambe, un bel abricot. Nina s’était rasée pour être prête pour sa compagnie.

    - Ma belle ! dit Annabelle en léchant le cou de la jeune fille.

    La bouche d’Annabelle captura celle de Nina pour l’embrasser avec passion. Le temps sembla s’arrêter pour les deux femmes qui partageaient cet instant de pur plaisir. La main d’Annabelle glissa sur le ventre de sa partenaire. Cette dernière écarta naturellement les cuisses et Annabelle se mit à jouer, à titiller le petit abricot de sa compagne. Elle la caressa de cette façon, longtemps, très longtemps, voulant faire monter le plaisir doucement, doucement. Il y avait de la magie dans ce moment d’intense plaisir. Annabelle voulait montrait son amour pour Nina en lui procurant le plus pur des plaisirs. La sentant proche, elle glissa un doigt dans son intimité. Nina cria son plaisir dans les bras d’Annabelle.

    Annabelle la regarda à la fois ravie d’avoir fait autant à sa partenaire et un peu plus surprise de l’entendre crier si fort. Nina leva ses bras pour ôter les vêtements d’Annabelle et pouvoir aussi toucher son corps à son tour. Annabelle venait de faire naître un feu dans le corps de Nina et elle voulait le partager avec son amante. Elle lui ôta sa chemise pour perdre ses doigts sur les pommes de la jeune femme, mordillant les bourgeons. Annabelle enleva sa jupe, ses collants et sa culotte. Annabelle conduisit la main de Nina vers son entrejambe. Les deux femmes se caressèrent pour se procurer du plaisir l’une à l’autre. Annabelle mit quelques minutes à jouir son bonheur sur les doigts de sa partenaire. Un feu de plaisir brûlait entre leurs doigts et leur bouche, mais les draps eux étaient humides de leurs désirs.

    Nina mit ses doigts humides dans sa bouche et suça ses doigts. Annabelle caressa le corps de son amante, passant sur ses seins, ventre, bras avec douceur. Leurs deux cœurs battaient à l’unisson aprés cet intense moment. La jeune femme se pencha et ouvrit le tiroir de la commode et en sortit un objet long et gros.

    - Euh…, fit Nina.

    - Tu veux essayer ? demanda Annabelle.

     

     Défi N°3 : Ajoute de l'émotion

    Aujourd'hui, tu vas repartir de ton texte d'hier et lui rajouter de l'émotion, des sentiments, du ressenti. Il y a de fortes chances qu'un personnage a été lésé par rapport à un autre (si ce n'est les deux...) sur ce sujet. Voire que tu n'y ais pas pensé. Pas de souci, c'est normal, car c'est un oubli très courant. L'idée est, donc, d'enrichir ton texte sous cet angle.

    Tu as deux possibilités. Soit tu reprends ton texte tel quel et tu enrichies dans un nouveau post, soit tu fais un grand classique du métier d'auteurice : tu réécris ton texte en intégrant aussi cet aspect, en plus de celui du vocabulaire.

    Annabelle jeta presque ses chaussures dans le salon, elle saisit la main de Nina et la conduisit vers la chambre. Les deux femmes partageaient ces moments de complicité et d’amour fort depuis quelques jours maintenant.

    - J’ai follement envie de toi, fit Annabelle.

    Nina sentit un frison excitant parcourir son corps, sans lui répondre, elle se dévêtit avec précipitation pour lui montrer son propre désir. Elle trouvait sa partenaire vraiment belle, elle avait de longs cheveux bruns, des yeux en amandes de couleur verte toujours maquillé avec soin. Annabelle la coucha sur le lit, sa partenaire était nue. Nina était petite blonde, avec un sourire d’ange, le genre de personne qu’on a envie de prendre danses bras et de protéger de tous.

    Annabelle caressa les belles pommes rondes, son ventre plat et sa peau douce, puis son entre-jambe, un bel abricot. Nina s’était rasée pour être prête pour sa compagnie. C’était ce genre de petites attentions qu’Annabelle trouvait craquante. Nina était d’une candeur fraiche, mais elle était aussi dynamique et pleine de vie.

    - Ma belle ! dit Annabelle en léchant le cou de la jeune fille.

    La bouche d’Annabelle captura celle de Nina pour l’embrasser avec passion. Le temps sembla s’arrêter pour les deux femmes qui partageaient cet instant de pur plaisir. La pièce commença à se remplir de gémissements, et de petits cris de désirs. La main d’Annabelle glissa sur le ventre de sa partenaire. Cette dernière écarta naturellement les cuisses et Annabelle se mit à jouer, à titiller le petit abricot de sa compagne. Elle la caressa de cette façon, longtemps, très longtemps, voulant faire monter le plaisir doucement, doucement. Il y avait de la magie dans ce moment d’intense plaisir. Annabelle voulait montrait son amour pour Nina en lui procurant le plus pur des plaisirs.

    La sentant proche, elle glissa un doigt dans son intimité. Nina cria son plaisir dans les bras d’Annabelle. La jeune femme sentit des vagues de plaisirs parcourir son corps lui prodiguant un orgasme profond. Cette vague semblait tout balayée sur son passage comme une tempête de jouissance. Nina s’accrocha au bras d’Annabelle et lui sourit en venant l’embrasser avec amour.

    Annabelle la regarda à la fois ravie d’avoir fait autant plaisir à sa partenaire et un peu plus surprise de l’entendre crier si fort. Nina leva ses bras pour ôter les vêtements d’Annabelle et pouvoir aussi toucher son corps à son tour. Annabelle venait de faire naître un feu dans le corps de Nina et elle voulait le partager avec son amante. Elle lui ôta sa chemise pour perdre ses doigts sur les pommes de la jeune femme, mordillant les bourgeons.

    Annabelle enleva sa jupe, ses collants et sa culotte. Annabelle conduisit la main de Nina vers son entrejambe. Les deux femmes se caressèrent pour se procurer du plaisir l’une à l’autre. Annabelle mit quelques minutes à jouir son bonheur sur les doigts de sa partenaire. Un feu de plaisir brûlait entre leurs doigts et leur bouche, mais les draps eux étaient humides de leurs désirs.

    Nina mit ses doigts humides dans sa bouche et suça ses doigts. Annabelle caressa le corps de son amante, passant sur ses seins, ventre, bras avec douceur. Leurs deux cœurs battaient à l’unisson après cet intense moment. La jeune femme se pencha et ouvrit le tiroir de la commode et en sortit un objet long et gros.

    - Euh…, fit Nina.

    - Tu veux essayer ? demanda Annabelle.

     

     

    Défi N°4 : Te renseigner.

    Aujourd'hui, plot twist, tu vas devoir écrire une scène érotique toute neuve sur une pratique que tu ne connais pas. Tu en as entendu parler, mais ça ne va pas au-delà. Cela peut être quelque chose d'exotique, ou pas.
    Ce qui est important, c'est que tu te renseignes sur le sujet pour écrire une scène érotique sur cette pratique. La scène doit être honnête, c'est à dire que sans être parfaite, tu ne dois pas tomber dans les principaux clichés sur cette pratique, grâce à tes recherches.

    L'idée était de se renseigner sur les pratiques plus audacieuses et attacher l'autre. Et aussi sur les danses érotiques. Mais je ne sais pas trop si j'ai bien pu retranscrire les émotions et sentiments de l'un et l'autre.

    La jeune femme se prépara pour être parfaite pour ce moment futur. Elle se doucha et prit soin de son corps, épilation, crème tout pour avoir la peau douce et lisse. Elle entra dans la chambre et installa les lieux, le fauteuil était prêt au milieu de la pièce. Elle avait prévu une surprise pour son homme, qu’elle peaufinait depuis des jours. La jeune fille prit une inspiration et s’habilla avec longs voiles… La danse des sept voiles. Une forme de strip-tease. Elle ressentait une profonde excitation à cette idée. Elle souriait toute seule en chantonnait pendant qu’elle se vêtissait.

    Une fois dans la chambre, elle envoya un SMS joliment érotique à son compagnon assis dans le salon avec ses copains. Ce dernier s’excusa auprès de ses amis et monta dans la chambre. Il avait déjà une légère érection entre les jambes et un grand désir à satisfaire. Il entra dans la chambre dans la pénombre et Anora lui prit la main et le guida jusqu’à un fauteuil. Il s’installa et une musique orientale se fit entendre dans la pièce. Elle alluma les lampes de chevet pour créer une ambiance tamisée.

    William découvre sa belle femme, recouverte par les sept voiles. Elle avait ses longs cheveux blonds en cascade dans son dos. Elle se déhanchait avec volupté. Il s’installa au fond de son fauteuil. Il avait un spectacle bien plus intéressant qu’un matche de foot à regarder. Il observait sa belle épouse dansait pour lui. Elle était vraiment maginifique. Anora s’avança vers lui, et se frotta contre lui, elle déposa un petit voile sur son visage. Elle se coucha sur lui, et il sentit ses mains se glissaient sur ses hanches. Il posa ses mains sur elle.

    - Non… si touche, tout va tomber. Fit-elle.

    Inquiet de lui gâcher son plaisir, il reposa ses mains sur ses genoux. Anora voulait vraiment bien faire les choses et dévoiler ainsi son corps peu à peu pour faire monter le désir dans le corps de son mari, faisait aussi peu à peu monter le sien.

    La jeune femme se redressa et se mit derrière lui. Elle s’accroupit derrière le fauteuil, et noua le voile. William était maintenant attaché au fauteuil, et ce n’était que le début. Elle tourna autour de lui en dansant, déposant des petits voiles sur lui, dont l’un d’eux dévoila un sein. L’excitation des deux époux montaient peu à peu dans leurs corps.

    Le deuxième voile qu’elle passa autour de lui, s’enroula autour de son torse et de ses bras., alors que le premier lui encercler le ventre. Comme il était bon joueur, et ne se doutait pas de ce que la jeune femme avait l’intention de faire. Il se laissa attacher sans rien dire. Maintenant il pouvait voir son ventre plat, et un second sein faire son apparition. Profitant de sa présence, quand elle dansait prés de lui, il happa un téton dans sa bouche. Il l’entendit gémir.

    Et le troisième voile s’enroula sur le haut du ventre, et coinça un peu plus ses bras. Mais la vision de la jeune femme à moitié-nue, était resplendissante. Elle se retourna et il découvrit la naissance de ses fesses. Il aimait ses belles fesses rondes, chaudes et douces. Le cinquième voile, se détacha de la jeune femme et s’enroula autour de lui. Le coinça encore un peu plus sur le fauteuil. Anora continuait de danser avec volupté, sensualité. Elle souriait de plus en plus, elle l’avait maintenant tout à sa merci.

    Il se sentait de plus en plus serré et à l’étroit, mais ce n’était pas du tout d’être … attaché dans ce fauteuil, mais à cause de son érection dans son pantalon. Le sixième voile, lui ouvrit la vue du corps de la jeune femme, hormis son sexe encore caché par le dernier voile. Elle le mit autour de son corps une nouvelle fois. Et enfin elle ôta le dernier petit voile.

    - Tu es magnifique, ma chérie.

    - Merci mon chéri, dit-elle avec le sourire.

    Elle s’avança vers le poste radio, et éteignit la musique. Elle l’observa avec le sourire pendant quelques instants. William détaillé son corps avec désir, la jeune femme fit un petit sourire. William regardait les seins droits et fiers, qu’il avait à nouveau envie de goûter. Le bref aperçu qu’il avait eu, ne le satisfaisait pas du tout. Le sexe de sa femme était tout épilé, rose et excitant.

    Assis sur un fauteuil, William était maintenant ligoté par les voiles que la jeune femme avait amenés. Elle souriait. Il la regardait nue devant lui, sans pouvoir la toucher. C’était une vraie torture. Elle s’avança vers lui, posa ses mains sur ses genoux, et se pencha vers lui, il avait une vue parfaite sur ses seins, mais aucun moyen de les toucher, de les caresser.

    - Détache-moi ! Fit-il avec envie et désir dans la voix

    - Pas encore, susurra-t-elle au creux de son oreille.

    L'idée de l'avoir comme ça tout à elle, en l'attachant sur ce fauteuil lui plaisait, l'excitait au possible. Elle avait un tel pouvoir sur lui et sur ce qu'elle pouvait lui faire ou non, lui faire faire aussi. La jeune femme se redressa et posa un pied sur l’accoudoir du fauteuil, une main sur son épaule et se redressa au dessus de lui. Elle posa son seconde pied sur l’autre bord du fauteuil. Debout devant lui, son sexe à la hauteur de sa bouche, elle s’avança pour se frotter contre lui. Il avait une belle vue sur son magnifique pubis, sa vulve entourée par les grandes et petites lèvres, cachant son clitoris, et son vagin. Elle s’avança au maximum, et frotta son sexe contre son visage, particulièrement son nez, et sa bouche.

    William finit par tirer la langue, et goûta enfin au sexe de son épouse. Elle « l’obligeait » à lui faire un cunnilingus. Il glissa sa langue dans les replis intimes d’Anora, de son petit trésor. Le jeune homme ne savait pas que pensait de cette idée de l'attacher sur ce fauteuil. Ce n'était pas trop que ça le déranger, il était bien installé, il avait un magnifique spectacle sous les yeux et sous la langue maintenant. Un spectacle de saveur et de douceur. Il gémissait, heureux de faire plaisir à son épouse.

    La jeune femme sentit la langue de son mari sur son sexe et se fut comme des étincelles dans tous son corps, des courants électriques qui remontait de son sexe vers le reste de son corps. Ou alors peut-être est-ce le contraire, elle ne savait plus… Juste que cette partie de son corps était très très sensible maintenant.

    - Mmmh !!! Oh oui… C’est bon!

    William était incapable de lui répondre, il ne pouvait même pas se servir de ses mains pour la tenir contre lui. Mais elle était en train de mouiller, et son petit sexe sentait la fraise, il pouvait ressentir un petit goût de fraise, mais ça devait être son imagination. Il continua d’agir sur son sexe. Anora sentit enfin le plaisir montait … montait… et il eut comme un immense feu d’artifice dans ses pensées, et son ventre papillonnait des papillons, et son sexe … son sexe était au paradis dans la bouche de son partenaire.

    - Ohhhhhhhhhhh ! cria-t-elle, en laissant le reste de son corps tombait sur sa tête.

    Quelques instants, aprés son orgasme, elle se recula et descendit du fauteuil, les jambes tremblantes, ça avait été magique, comme à chaque fois, mais là elle avait encore une dernière surprise pour lui. William observa la jeune femme nue… elle quitta la chambre.

    - Hein ? fit-il sans comprendre.

    William se retrouva tout seul, assis sur son fauteuil, saucissonné par les voiles de la jeune femme.

     

     Defi N°5 : Reformuler du porno

    L'idée est très simple (et j'en suis tellement heureuse). Je vais te fournir un extrait d'un texte pornographique qui est dans le domaine public. Ta mission pour réussir ce défi sera de réécrire ce texte pornographique en un texte érotique. Tu auras deux jours, parce que ce n'est pas si simple, loin de là. (Oui, je suis tellement contente de cette dernière consigne :-) )

    Ton extrait : "L’évêque, délicieusement branlé par Zéphire, perdit son foutre philosophiquement, en joignant au plaisir qu’il sentait celui du délicieux tableau dont on le rendait spectateur. Il était furieux ; il gronda Zéphire, il gronda Curval, il s’en prit à tout le monde. On lui fit avaler un grand verre d’élixir pour réparer ses forces. Michette et Colombe le couchèrent sur un sofa pour sa méridienne, et ne le quittèrent pas. Il se réveilla assez bien rétabli, et pour lui rendre encore mieux ses forces, Colombe le suça un instant : son engin remontra le nez, et l’on passa au salon d’histoire. Il avait ce jour-là Julie sur son canapé ; comme il l’aimait assez, cette vue lui rendit un peu de bonne humeur. Le duc avait Aline, Durcet Constance, et le président sa fille.

    Source : Les 120 journées de Sodome, par Sade

     

    L’évêque, debout, face au spectacle délicieux, qui accroissait son propre plaisir. Sa sexe état dans la main, de Zéphire. Il était délicieusement branlé par le jeune homme. Il gémit de cette douce caresse qu’il lui prodiguait. L’évêque appréciait cette douce caresse, et observait Zéphire, le jeune homme souriait et se frottait contre lui avec plaisir. L’homme était plus jeune que lui, il avait les cheveux bruns et courts. En face de lui, deux femmes, allongées sur un lit, étaient en train de gémir fortement sous les assauts de son ami Curval, l’une avait son gros engin dans le vagin et l’autre sa grosse main. Les deux femmes s’embrassaient par intermittence.

    L’évêque éjacula bien plus vite qu’il ne l’aurait voulu, comment restait insensible à ces cris de jouissance. Il gronda le pauvre garçon, il avait été trop bon avec lui, voilà le vrai problème. Zéphire ne comprenait pas ce qu’il lui prenait, il échangea un regard avec les filles présentes dans la pièce. Il avait voulu lui faire plaisir. L’évêque grondait maintenant l’autre homme de la pièce, Curval. Son spectacle délicieux avec les deux femmes l’avait rendu bien trop rapide à jouir. C’est vrai, les deux filles riaient et jouissaient à grands cris sous les coups de son ami.

    Soudain, un verre apparut sous son nez, Zephire lui tendait un verre d’élixir. Tout le monde était prés de lui, l’encourageait à boire. Il soupira et avala son grand verre d’un trait ou presque. Michette et Colombe, l’accompagnèrent sur la méridienne. Il s’installa confortablement et les deux femmes promenait leur mains sur son corps, pour le rassurer et le détendre.

    La main de la première, Michette, caressait son torse et ses épaules par dessus l’accoudoir où il reposait sa tête sur un cousin moelleux. La seconde, Colombe, lui massait les pieds et les jambes. Les deux femmes cherchaient surtout à apaiser sa colère et à le faire se détendre. Il ne pourrait pas retrouver sa vigueur sous l’état de la colère. L’évêque allongeait sur le canapé, gémissait doucement, il était bien là sous les caresses des deux femmes. Rapidement, il rejoint quelques instants le confort du repos, la volupté du moment tendre qu’il partageait avec les deux femmes. Cela contrastait beaucoup avec les événements plutôt crus quelques minutes plus tôt.

    Michette échangea un regard avec son amie et lui montra d’un signe du menton, le sexe de l’évêque. Il reposait entre ses cuisses, et semblait réseauter de bonheur. La femme fit un sourire. Colombe observait le sexe, il était gros et de bonne taille. Elle fit remonter ses mains le long de ses jambes, arriva vers ses cuisses. L’homme gémit un plus fort, il somnolait. Elle ne voulait pas qu’il s’endorme. Il y avait encore à s’amuser.

    Soudain Colombe, sa douce Colombe remonta doucement de ses pieds pour poser sa bouche sur son sexe. Elle prodigua une fellation comme on n’en connaît peu dans la vie. Il garda les yeux fermés, souleva son bassin pour mieux enter dans sa bouche et gémissait. Il lui fit peu de temps pour qu’une nouvelle érection pointe son nez. L’évêque se releva et remercia les deux femmes pour l’avoir remis sur pied, et son sexe prêt à partir pour un nouvel assaut. Il y avait encore à s’amuser. Il se tourna vers Curval et Zephire qui n'avaient pas manquer de se faire plaisir pendant ce temps.

    Le groupe se dirigea vers une autre pièce. Il échangea un regard et un sourire avec Zephire, sa colère était passée. Le salon d’histoire où ils entrèrent, avait dû en voir des histoires… sexuelles. Sur le canapé, Julie était là, couverte de quelques voiles, comme il aimait à la voir ainsi. Il sourit et se dirigea vers elle. Cette vue le mettait en joie. Les autres étaient déjà bien occupé à d’autres activités pour s’inquiétait de ce qu’il faisait. Il rejoignit la jeune femme sur le canapé pour partager un moment des plus agréable.