• [+18 ans] Chapitre 3

     

    Le lendemain, Lexa se leva en douceur pour éviter de réveiller Michel, et rejoignit la cuisine, où elle posa une bise sur la joue de Louis, et lui demanda.

    • A qui est-ce ce soir ?
    • Frank !
    • Merci !

    La jeune femme sourit et prit son petit déjeuner, il n’y avait que Louis et Frank de réveiller, Michel dormait toujours, il avait eu une courte nuit, à observer la jeune femme entrain de dormir. Tous comme les quatre garçons qui avaient passé la nuit en boite de nuits, et ils étaient rentrés assez tard, ou très tôt.

     

    Frank et Lexa s’installèrent dans le salon, la jeune femme l’observait à son tour pour découvrir ce qu’il pouvait faire. Il était peintre… peut-être qu’il voudrait bien la peindre. Mais il fallait qu’elle sache quelques genres d’œuvres fait-il ? Des tableaux de paysages, des portraits, des œuvres abstraites. La jeune femme se glissa silencieusement dans la chambre et récupéra son ordinateur, elle revint dans le salon, et l’ouvrit pour faire des recherches sur Frank. Elle trouva quelques œuvres sur internet, il fait des portraits, il y avait même quelques nus dans sa collection.

    • Est-ce que…
    • Accepterais-tu …

    Commencèrent-ils tous les deux en même temps. Lexa sourit, et referma son ordinateur. La jeune femme le laissa donc poser sa question.

    • Accepterais-tu de poser pour moi ? demanda-t-il.

    Lexa sourit, les grands esprits se rencontrent dit-on, elle allait lui poser la même question, enfin lui proposer de servir de modèle.

    • Oui, j’accepte.

     

    Frank se leva et tendit la main à la jeune femme. Lexa glissa sa main dans la sienne, et il la tira pour la relever. Puis il conduisit vers l’extérieur, dans un petit recoin dans le jardin. Il s’arrêta devant la porte que Lexa avait toujours vu fermé à clef, mais Frank, lui avait la clé. Ils entrèrent dans la pièce, c’était un atelier de peinture.

    • Oh ! fit-elle avec le sourire et visita les lieux, en fouillant l’atelier.

    C’était une belle pièce, Frank ouvrit les volets, pour laisser entrer la lumière, la pièce avait besoin d’être aéré et dépoussiérée.

    • Tu vas m’aider à tout nettoyer, par contre, tu vas salir tes vêtements, tu vas donc te mettre nue, fit-il avec le sourire.

    Lexa le regarda surpris de cette étrange demande, mais ôta sa jupe, son haut, et son soutien-gorge, et sa petite culotte. Nue, elle se mit à faire le ménage, c’était vraiment bizarre. Ça fait presque une heure qu’ils œuvraient quand elle remarqua qu’il y avait des personnes qui regardaient par la fenêtre.

     

    Le voisin de la famille Darma, était dans son jardin en train de nettoyer les allées. Il se redressa et essuya son front avec sa manche, et son regard se posa sur une belle vision. Une femme nue, se tenait dans le vieil atelier de Frank, un des fils de sa voisine. Le voisin observa le spectacle fasciné, la jeune femme était toute simplement en train de faire le ménage, nue. Très excitant, et son corps était magnifique, elle avait les seins hauts, de belles tailles, et il aurait bien aimé y poser ses doigts.

     

    Son champ de vue, ne lui permit pas de voir plus bas, sauf quand elle se pencha, et dévoilant une belle paire de fesses. P*t*n, il avait envie d’y glisser un… organe particulier entre les fesses de la jeune femme. Son pénis avait pris de la vigueur, et il sourit, il ouvrit son pantalon, et sortit sa verge et se mit à se branler, en rêvant de pouvoir poser ses mains sur le corps de la jeune femme. Il déplaça sa main avec vigueur sur sa verge, et se fut enfin la libération, il éjacula sur la terre de son jardin. Il se fit la réflexion, que ça allait peut-être donner un certain gout à ses carottes.

     

    Dring Dring ! fit la sonnette du facteur, qui venait lui apporter son courrier. Le facteur allait crier, quand le voisin lui fit signe de se taire, et de venir voir quelque chose. Le membre de la poste observa la femme nue avec son plumeau à la main.

    • P*t*n, elle fait quoi celle-là ! fit le facteur.
    • Je crois qu’elle fait le ménage.
    • En tout cas, c’est une jolie vue.
    • Ne te gêne pas pour moi ! fit le voisin.

     

    Le facteur sortit à son tour, son sexe de son pantalon, et se branla en l’observant. Elle avait de jolis seins et un bon petit cul. Le voisin avait remis sa main sur sa verge, et les deux hommes se mirent à jouir. Le voisin recula doucement, et ramena un autre voisin, qui se branla à son tour. Le facteur lâcha un deuxième jet de sperme, avant de reprendre son vélo, et reprit sa tournée avec le sourire. Il informa quelques personnes qui pourraient être intéressées par le spectacle.

     

    Si bien que lorsque Lexa remarqua qu’on l’observait, ils étaient quatre devant la fenêtre, leurs sexes à la main, en train de se masturber.

    • Frank ! murmura-t-elle, figée à les observer.
    • Montre-leur, ton corps, il est magnifique.

    Lexa rougissante, se prêta étrangement au jeu. Elle se sentait bien de pouvoir … faire fantasmer autant d’homme. Ils étaient assez vieux, sans doute la soixantaine. Le village était habité par des retraités.

     

    La jeune femme s’avança vers la fenêtre, posant sa poitrine sur le rebord de la fenêtre.

    • Il faut aujourd’hui, dit-elle, en bougeant sa main sur son visage pour faire du vent.

    Lexa se redressa et serra sa poitrine entre ses bras pour leur donner plus de volume, elle se pencha vers la fenêtre avec le sourire.

    • Quelle belle vue ! continua-t-elle,

    Aucun des quatre hommes ne lui répondit. Elle leur fit un sourire, et se recula dans la pièce, pour se baisser, montrant ainsi ses fesses à leurs regards. Lexa espérait qu’ils appréciaient ce qu’elle voyait. Elle croisa le regard de Frank, il était assis dans un coin, invisible aux quatre hommes, et observait la jeune femme se dandiner dans la pièce pour … faire jouir quatre hommes dans le jardin de son voisin. Il jeta un coup d’œil vers eux, qui se mirent à éjaculer sur leurs pieds. Et ben, cette femme s’était quelque chose.

    • Ferme la fenêtre ! fit Frank.

    Lexa vint vers la fenêtre, sourit aux quatre hommes, et leur souhaita une bonne journée avant de fermer la fenêtre.

     

    • Pourquoi j’ai fait ça ? se demanda-t-elle à voix haute.
    • Tu t’es sentie belle sur leurs regards, c’est normal. Profite !
    • Mais… je pourrais plus les croiser … maintenant.
    • Mais si, ils vont … bander en te croisant dans le village, espérant pouvoir te prendre dans un coin de la ruelle.
    • Et si je ne veux pas…
    • Et ben dit leur… Les femmes devraient pouvoir se promener nues sans que les hommes leurs sautent dessus comme des affamés, fit Frank.
    • Je sais pas … si je dois dire … merci pour m’avoir fait découvrir ça !
    • Ne doute pas de ta beauté, Lexa !
    • Merci !

     

    Il fut le moment d’aller manger, elle se rhabilla, juste avec le haut et sa jupe, assise à côté de Frank, il posait souvent sa main sur son sexe, et chercha à la faire jouir, pendant tout le repas. Lexa écarta les jambes, laissant tout à Frank le loisir de la caresser. Elle posa sa main sur sa verge, et essaya de le branler à son tour. Ils firent monter le plaisir, mais sans… y parvenir, ni pour l’un, ni pour l’autre.

     

    Durant l’après-midi, Lexa se coucha sur un lit, qui se trouvait dans l’atelier. Elle était nue, et tenait un vêtement contre sa poitrine, mais un sein n’était pas caché, et ses deux jambes étaient posées l’une sur l’autre, mais on pouvait voir ses poils pubiens. Frank avait son crayon en main, et dessiné la jeune femme. Il l’observa un moment sans rien dire, ce qu’elle avait fait ce matin, lui avait beaucoup plus. Il s’était mis à imaginer des milliers de scènes pour faire jouer la jeune femme et la peindre.

     

    Il fit glisser son regard sur le corps de la jeune femme, il la remarqua rougir, comme une petite fille. Lexa se sentait … humide entre ses jambes, d’être ainsi observé. Avec les nombreux amants qui l’avait mis plus bas que terre, elle ne s’était jamais sentie belle. Mais sous le regard de cet homme, elle était magnifique.

    • Ton regard … est troublant, fit Lexa.
    • … Possible. On me l’a déjà dit.
    • Est-ce que tu as eu … beaucoup de maîtresses ?
    • Assez oui ! Et toi, nombreux amants ?
    • Si on ne compte pas Michel et Louis. Seulement quatre.
    • Est-ce que ça s’est bien passé ?
    • Le premier, oui, il … c’était mon tuteur dans ma famille d’accueil, il était bon … avec moi.
    • Et les autres.
    • Bof… J’ai voulu leur faire plaisir, mais …
    • Mais ?
    • Le premier a dit que je … suçais mal. Le second que mon corps était rigide… et le dernier, que je le prenais pour un idiot à simuler trop fort.
    • Et tu suces mal ?
    • Je sais pas !
    • Ton corps est rigide ?
    • Je sais pas.
    • Tu simulais ?
    • Non, mais j’ai besoin de … faire monter la pression en … criant, en gémissant un peu fort.
    • Je te dirais tout ça ce soir. J’ai eu de nombreuses maîtresses, tu peux te fier à mon avis. Dis-moi la bague à ton pouce, c’est bien l’alliance de Michel ?
    • Hein… Ah oui ! Je la garde.
    • Mmmmh ! Intéressant.

     

    Frank laissa la jeune femme poser pour lui pendant deux heures, puis il fut temps pour aller de faire son petit tour chez les personnages âgés du voisinage. « Son » petit papy était assis sur son fauteuil, et l’observait avec un regard lubrique.

    • J’ai eu vent… D’une étrange rumeur, sur une fée nue qui fait le ménage, dit-il avec le sourire.

    Lexa se figea et se tourna vers lui, le visage rougissant, elle ne s’attendait pas du tout à ce que ça fasse le tour du village. Mais elle ignorait que … le facteur avait fait son rapport à la moitié des retraités solitaires (ou pas) du village.

    • .. Oui ! dit-elle.

    La jeune femme posa son regard sur le sexe du retraité, qui semblait former une bosse. Elle s’avança vers lui, et posa sa main sur son pantalon. Elle croisa son regard, pour savoir s’il voulait qu’elle continue. Il ouvrit le bouton de son vieux jean, elle fit le reste pour libérer sa verge. Il était à moitié dure, Lexa se mit à le branler … d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Elle glissa sa main sur son sexe, faisant des va-et-vient profonds, et rapides. « Papy » se mit à jouir. Lexa pencha la tête pour venir lécher le sperme du vieil homme.  Elle nettoya sa verge, puis l’aida à enlever son pantalon, pour le mettre au sale, avant de l’aider à en remettre un autre.

    • Merci, ma belle, fit le vieil homme, en caressant la joue de la jeune femme.
    • Je … sais que même …à votre âge, vous avez encore des envies. Je suis contente de pouvoir vous aider.
    • Est-ce que tu me permets de voir tes seins ?
    • Euh oui ! fit-elle en ouvrant sa chemise.

    « Papy » l’observa avec le sourire, il tendit la main vers sa poitrine, mais ne fit que les effleurer du bout des doigts.  Puis Lexa quitta les lieux et revint à sa maison, ce soir, elle allait passer la nuit avec Frank. Elle se demanda à quelle « sauce », elle allait être manger. Hier, elle avait soumis Michel, mais aujourd’hui, elle avait plutôt envie de se laisser faire dans les bras du second fils de Louis.

     

    Le repas se passa tranquillement, chacun racontant sa journée, Lexa mit sous silence le fait qu’elle était nue quand elle faisait le ménage dans l’atelier de Frank, et du fait qu’elle avait branler « Papy » avant de rentrer chez elle.