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    C’est officiel, il l’annonçait hier. La comète va s’écraser sur la Terre. Elle va anéantir toute vie sur la planète. Dans des cas comme ça, on se demande ce qu’on a envie de faire avant de mourir. Que feriez-vous ?

     

    Doriane avait envie de faire l’amour, elle avait toujours fantasmé sur son frère. Elle avait envie de lui, depuis qu’elle avait commencé à s’intéresser au sexe. La première fois qu’elle avait vu nu, avec le pénis en érection. Elle avait tendu la main vers la verge de son frère. Mais la morale, le qu’en dira-t-on et tous ces choses l’avaient arrêté. Et depuis, elle faisait tout pour éviter son frère. Mais là, c’était la fin du monde, elle n’avait plus à se soucier de rien. Tout ceux qui pourraient la juger, seront morts dans quelques heures.

     

    Les gens dans la rue, riaient, sautaient, dansaient. Il y en avait même sui faisaient l’amour devant tout le monde comme ça à vue. Sans soucier des lois. La jeune femme avait vingt-trois ans, et les cheveux bruns, longs dans son dos, quand elle courrait pour rejoindre son frère, ils volaient derrière elle. Son frère était deux ans de plus qu’elle, il était en couple avec une jeune femme, que Doriane n’appréciait pas beaucoup, mais là, elle s’en fichait. Elle la mettrait à la porte. Elle n’en avait plus rien à faire de la morale.

     

    Elle courrait aussi vite que lui permettait ses petites jambes, car elle ne faisait qu’un mètre cinquante. Elle était essoufflée quand elle arriva devant l’immeuble de son frère. Elle monta les trois étages à pied. La porte de l’appartement de son frère était ouverte. Elle poussa la porte.

    • Daniel ? appela-t-elle.
    • Je suis là, fit-il d’une voix brisée.

    Doriane se précipita vers lui, et le trouva assis sur le canapé, il était affalé dans les cousins, et une mine triste.

    • Que se passe-t-il ?
    • Elle est partie.
    • Partie ? Partie Où ?
    • Elle a préféré … un autre !

     

    Doriane ne comprenait pas qu’on puisse choisir un autre homme que son frère. Daniel était parfait, doux, attentif, toujours aux petits soins pour les autres. Bon parfois un peu soupe-au-lait, et réservé, il ne parlait jamais de lui.

    • Moi, je suis là !
    • Merci, ma puce.

    Doriane vint s’installer à côté de lui, et se lova dans les bras de son frère. Elle leva la tête vers lui, et porta sa main sur sa joue, puis lui caresser le visage. La jeune femme posa ses lèvres sur son menton, sa joue, son front, son nez. Puis… elle posa sa bouche sur celle de son frère.

    • Doriane ! fit-il surpris.
    • J’ai envie de toi, Daniel, depuis des années. C’est la fin du monde, et je suis venue pour qu’on fasse l’amour. Fais-moi l’amour, Daniel.
    • Doriane, je …
    • Fais-moi l’amour

     

    Doriane se leva et vint s’asseoir à califourchon sur ses genoux, et l’embrassa encore, il posa ses mains sur ses épaules, il serra ses bras, et chercha à la faire reculer.

    • Doriane, je …
    • Fais-moi l’amour, répéta-t-elle.

    Elle se pencha à nouveau vers lui, et l’embrasa à nouveau. Les mains de Daniel se desserrèrent de ses épaules, et il se laissa faire. Ses bras retombèrent sur le canapé. Doriane se redressa et ouvrit la chemise de Daniel. Elle ouvrit son pantalon, et parvint à le descendre un peu, et le libéra de son boxer. Il commençait à bander. La jeune femme commença à le masturber. Il leva une main pour la poser sur un de ses seins de sa sœur, et serra fort.

    • Plus fort. Je veux tout sentir. Je veux vivre mille ans de jouissance, de sexualité en une nuit.
    • Je….
    • Daniel, fais-moi l’amour. Baise-moi. Fornique avec moi. Je veux tout…
    • Je… Doriane.

     

    Doriane se leva et lui tendit la main, il la fixa un moment, avant de glisser ses doigts avec ceux de sa sœur. Elle le tira vers elle, et il se releva, et abandonnant sa chemise et son pantalon sur le canapé. Il suivit la jeune femme dans sa chambre.

    Daniel posa les mains sur les épaules de sa petite sœur, elle était si petite dans ses bras, il avait peur de lui faire mal, de la casser.

    • Déshabille-moi ! ordonna-t-elle.

    Comme un étrange automate, Daniel leva le haut de sa sœur, elle n’avait même pas mis de soutien-gorge, et ses deux pommes se dressaient fièrement sous ses yeux. Il posa ses mains sur ses seins, et commença à les caresser, en les tournant dans ses mains, les malaxant, en serrant les tétons entre ses doigts. Doriane gémit, sous les caresses de son frère, elle en rêvait depuis tellement longtemps. Il avait des doigts de fée, et elle pencha la tête en arrière pour apprécier son massage. Il lécha soudainement. Doriane ouvrit les yeux, et croisa son regard. Il y avait encore un doute dans ses yeux.

     

    • Fais-moi l’amour, répéta encore Doriane.

    Daniel posa ses mains sur les hanches de la jeune femme et la serra contre lui. Il sentit ses seins s’écrasaient sur sa poitrine. Il sentit ses cheveux. Il détacha la fermeture éclair de la jupe de sa sœur, dans son dos. Elle dandinant ses hanches pour faire glisser le vêtement le long de ses jambes.  Elle ne portait plus que sa petite culotte.

    • Tête-moi les seins.

    Daniel se pencha vers la poitrine de sa sœur, et prit un téton dans sa bouche, et le téta, et le caressa de sa langue, avec son autre main, il pinça le téton de son autre main, et les serra tous les deux en même temps.  Doriane gémit, et poussa un petit cri. Daniel chercha le regard de sa sœur qui vibrait de bien-être. Il serra alors encore plus fort.

    • Oui, je vais te sentir… plus fort.

     

    Il pinça les tétons avec ses dents, et glissa sa langue sur le petit bout, puis passa à l’autre sein, et l’autre, et ainsi de suite pendant de longues minutes. Elle gémissait sous ses caresses.

    • Glisse ta main dans ma culotte. Je veux te sentit là aussi.

    Daniel glissa alors sa main dans la culotte de sa sœur, et lui caresser le clitoris, et enfonça un doigt dans son vagin. Il chercha à la faire jouir avec ses doigts. Il se mit à la pénétrer avec vigueur avec ses doigts. Il allait de plus en plus vite dans son sexe.

    • Plus vite encore… Je veux te sentir … Oh oui ! Daniel.

    Daniel continua de doigter sa sœur, et elle se mit à gémir de plus en plus fort, elle s’accrocha à lui en serrant son bras avec force. Puis elle se mit à jouir en poussant un cri fort. Elle voulait que le monde entende que son frère était en train de lui faire l’amour, de la faire jouir.

     

    • Daniel… C’est bon.

    Il enleva ses mains dans son corps, Doriane commença alors à caresser son frère, ses mains parcoururent son torse, pinça aussi ses tétons entre ses doigts. Elle chercha aussi à faire jouir son frère. Elle glissa sa langue le long de son ventre, et descendit vers son sexe. A genoux devant lui, elle lui enleva son boxer, et elle mit le sexe de son frère entre ses lèvres. Et commença à lui faire une fellation. Daniel caressa les cheveux de sa petite sœur à ses genoux. Il posa son regard sur elle, et croisa son regard gourmand. Elle avait envie de le manger.

    • Oh… Doriane… C’est vraiment bon.

    Le jeune homme glissa ses doigts dans ses cheveux et lui saisit la masse entre ses doigts et la serra, et chercha à mettre son pénis encore plus loin dans la bouche de sa sœur. Elle se retira une seconde.

     

    • Utilise ma bouche. Vas-y baise-moi fort la bouche.

    Il saisit son visage, y enfonça son sexe, jusqu’au bout. Elle posa ses mains derrière ses genoux pour se tenir en place. Et le laissa lui baiser la bouche. Il alla profond dans sa bouche. Il sentait sa langue se promenait sur son pénis dans tous les coins. Enfin, il se sentit jouir, il éjacula au fond de la gorge de sa petite sœur. Elle se recula en toussant, et faillit vomir sur le sol.

    • Ça va ? s’inquiéta Daniel en s’accroupissant vers elle.
    • Oh… oui, continue… Je veux te sentir !

    Daniel souleva sa petite sœur, et la conduisit sur le lit, il l’allongea et continua de la caresser sur son corps, il pinça à nouveau ses seins, et laissa sa langue sur son ventre, puis… puis ses lèvres vinrent se poser sur ses cuisses. Il prit une jambe dans sa main, et la souleva pour les écarter, et vint poser sa bouche sur son sexe.

     

    Il commença par chercher son clitoris avec sa langue, il était déjà bien gros, et le prit entre ses dents, et le titilla pour faire monter le plaisir dans le corps de sa petite sœur. Cette dernière gémissait, en plongeant ses doigts dans sa chevelure.

    • Oh oui… Daniel. Continue ! Encore ! Plus fort ! Plus encore plus.

    Daniel fit glisser sa langue dans le vagin de sa petite sœur, et aspira le plus de jus possible. Sa cyprine avec un gout … merveilleux. Pourquoi est-ce qu’il fallait que ça soit la fin du monde ? S’il avait su, il se serait « jeter » sur sa petite sœur bien plus tôt. Il lui aurait fait l’amour des centaines, des milliers de fois.

    • Oh… c’est bon… Daniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiel ! cria à nouveau la jeune femme.

    Le monde était sur sa fin, mais il devait savoir à quel point, Daniel était le meilleur amant de tous les hommes sur la Terre.

     

    Il se releva et vint embrasser sa petite sœur, avec passion, amour et désespoir. Il glissa sa main entre leurs deux corps pour venir prendre sa verge en main. La jeune femme écarta les cuisses, et il s’enfonça vers force dans le vagin de sa petite sœur.

    • Oh… Daniel. Nous ne faisons qu’un. Vas-y… Vas-y fort, je veux te sentir fort en moi.

    Daniel pénétra avec envie la jeune femme et commença à faire des va-et-vient de plus en plus profonds en elle. Il leva le regard vers elle, et croisa ses yeux brillants de désir, de plaisirs.

    • Tu es … si belle, Doriane.
    • Et… toi… aussiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cria-t-elle sous les coups de son frère.

     

    Daniel se retira, et elle gémit de frustration, en levant les bras pour le retenir, il se coucha sur elle, et lui murmura simplement de changer de position. Elle hocha la tête. La jeune femme se mit à quatre pattes, et il posa ses mains sur les hanches, la tira vers lui. Il se redressa à genoux derrière elle, et vint la pénétrer. Il s’enfonça en elle, en poussant un gémissement de bien-être. Que c’était bon d’être en elle, de faire l’amour avec elle. Il se mit à faire des mouvements de plus en plus vite et de plus en plus profonds dans son vagin. C’était si bon, si chaud, si humide, si doux, si serré. Le vagin de sa petite sœur était parfait. Le sexe de son frère en elle, était gros, puissant. Elle pouvait le sentir en elle, si fort, si … magnifique. Elle voulait plus, encore plus. Pourquoi c’était déjà la fin du monde ? Pourquoi avait-elle attendu si longtemps avant de se « jeter » sur lui ?

     

    Elle jouit à nouveau, et il éjacula en elle, il n’avait même pas mis de préservatif. De toute façon, un bébé ne pourra pas venir au monde, ils seront morts tous depuis longtemps, et le SIDA, était bien le cadet de leurs soucis aujourd’hui. Il resta en elle, comme s’il voulait se vider complétement en elle. Puis il se retira et s’allongea sur le lit, en respirant difficilement. Il y avait beaucoup d’énergie dans ses profonds mouvements de bassin. La jeune femme se tourna, et vint se mettre à califourchon sur lui. Elle prit la verge de son frère en main, et chercha à le faire durcir à nouveau.

    • Laisse-le se reposer un instant… On pourra continuer dans un moment.
    • Je veux encore….
    • Doriane, … tu m’as vidé et épuisé. Laisse-moi un peu de temps. On a encore … quelques heures avant la fin.

     

    Doriane s’allongea à ses côtés, il passa son bras autour de ses épaules et la serra contre lui.

    • Je regrette une chose, fit-il.
    • Quoi ?
    • Ne pas avoir faire ça plus tôt. Tu es trop bonne, ma petite sœur d’amour.
    • Tu es très bon aussi, je t’aime.

    Quelques dizaines de minutes plus tard, elle se remit sur lui, et vint s’empaler sur son sexe à nouveau dur, et commença à danser sur lui. Cette fois-ci, c’était elle qui avait toutes les commandes en mains. Elle fit des mouvements de bassin d’avant en arrière, puis de droite à gauche, et enfin d’en haut et en bas. La jeune femme se mit à jouir, il éjacula à nouveau en elle. Son vagin était si bon.

    • Non reste… je veux me sentir en toi.

    Doriane s’allongea alors sur son frère. Elle ferma les yeux quelques instants, puis la Terre se mit à trembler. Elle vit le ciel prendre une teinte orangée. Il semblait avoir pris feu. Elle posa sa tête sur le torse de son frère. Il referma les bras autour de son corps, et la serra fort contre lui. Ils allaient mourir, emboité l’un dans l’autre, avec la force de leur amour, leur corps souhaitant de désir. Ils se mirent à gémir de plaisir, en se caressant, et murmurant des mots d’amours. La comète s’écrasa sur la Terre, et toutes vies sur la planète prit fin.

     

    FIN.





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