• [+18 ans] Chapitre 6

    Chapitre 6

    Le lendemain, il trouva sa fille assise dans la cuisine, en buvant une boisson chaude, elle avait le sourire sur les lèvres.

    • Bonjour, papa ! As-tu bien dormi ?
    • Oui, ma chérie !

    William s’avança et déposa un baiser sur le sommet de sa tête. Il se servit un café, et s’assit en face d’elle.

    • Il faut quand même qu’on parle de ce qui s’est passé hier.
    • Oui, j’imagine. Quand tu éjacules trop, cela peut baisser son énergie, et sa confiance en soi.
    • Tu crois que je masturbe souvent ou quoi ?
    • Et bien dis-moi… combien de fois par jour ? Deux ? Trois ? Quatre ?
    • Et bien…
    • Si tu n’es pas capable de me le dire, c’est que ça doit en faire pas mal, non ?

    William regarda sa fille bouche bée, c’était quand étrange d’avoir ce genre de conversation avec sa fille, le matin au petit déjeuner, en buvant un café.

    • Le manuel est très clair à ce sujet….
    • Parce qu’il y a un manuel, coupa-t-il.

    Sa fille lui jeta un regard noir, et étrangement, il baissa le regard sur son café. Pourquoi avait-il baissé le regard, il releva la tête, et croisa un sourire de sa fille.

    • Oui, le manuel dit que l’abstinence augmente la confiance en soi, le taux de testostérone, le bien être, l’énergie du quotidien, de motivations. Sans parler du gain de temps. Tu passes combien de temps dans les toilettes pour te masturber ?
    • Anora… commença-t-il

    Il se dit que ce n’était pas une question qu’une fille pose à son père. Pourtant, elle continuait de le regarder avec insistante, exigeant en silence une réponse.

    • Je ne sais pas… cinq, dix minutes, peut-être quinze minutes.
    • Je vois, si on multiple ça par … on ne sait pas combien. Tu perds une heure par jour, voir plus.
    • Et toi tu te masturbes ? demanda-t-il avec audace.
    • Pas en pleine journée. Le soir, dans mon lit.

    William regarda à nouveau sa fille, avec surprise et une certaine fascination. Elle parlait de tout ça, avec une telle aisance, alors qu’elle n’avait jamais dit … ou même laissé entrevoir la moindre … petite trace qu’elle pouvait être intéressée par ce genre de chose. Et là, il découvre que non seulement, elle est particulièrement intéressée et ouverte, mais qu’en plus elle savait plus que lui sur le sujet.

    • Il y a autre chose dont on doit parler. Le contrat.
    • Le contrat. ?
    • Le contrat de soumission ! Il définit les règles. Apparemment c’est très courant de faire ce genre de choses. Pour établir des bases saines d’une relation de dominant, soumis. Du coup, j’en ai élaboré un …

    Anora se leva et s’élança dans le couloir avec la légèreté d’une gazelle, alors que lui se sentait plutôt lourd face à tout ça. Non mais dans quel jeu, s’était engagé malgré lui… avec sa fille. Et le pire… c’est qu’il en ressentait une forme d’excitation. Il posa ses deux mains sur son sexe pour l’empêcher d’entrer en … érection. Il avait une folle envie de se masturber. Il se rendit alors compte qu’il passait effectivement beaucoup trop de temps dans les toilettes à se branler au-dessus de la cuvette.

     

    Sa fille redescendit de sa chambre, elle tenait en main quelques pages, tapées à l’ordinateur. La jeune femme lui dit de la rejoindre dans le salon. Elle s’assit sur un fauteuil, et croisa les jambes. Puis attendit qu’il soit assis en face d’elle.

    • Bien… on va commencer. Tu me dis s’il y a quelque chose sur lequel, tu n’es pas d’accord.
    • Euh… Oui ! répondit William.

    Il était un peu déconnecté de la réalité, il ne savait même plus ce qu’il devait faire ou ne pas faire. En tout cas, elle avait réussi à l’empêcher d’aller éjaculer, alors qu’il faisait quotidiennement. La jeune femme commença à lire le contrat. Elle commença par les définitions des termes, expliquant à son père ce qu’était une dominatrice ou une maîtresse, ainsi qu’un soumis.

    • Est-ce que deux ans te paraient bien ? demanda la jeune femme. Ça te parait assez long ?
    • Deux ans… oui, c’est même trop long.
    • Crois-moi… tu vas trouver ça trop court. Mais on pourra le prolonger le moment venu.

    La jeune femme continua de lire le contrat et passa aux obligations et aux droits de la Maîtresse, à ses droits. Elle dispose de tous les pouvoirs sur lui, en respectant les limites physiques de son corps, et respectait aussi son travail.  Elle avait le droit d’avoir d’autres soumis, et elle pouvait filmer ou le prendre en photo.

     

     

    Ensuite, elle fit la liste de ses droits et obligations. Il devait devenir la Propriété exclusive de sa fille. Il n’avait le droit de la toucher que si elle lui donnait son accord, sinon il serait puni. Il devait prendre soin de lui, et accepté les désirs et les plaisirs de sa Maîtresse. Il devait accepter aussi ne pas toujours y trouver son … plaisir, qu’elle ne réponde pas à ses fantasmes ou attentes sexuelles mais lui à ceux de La Maîtresse. Il avait quand même le droit de … parler, de donner son avis. Ensuite il devait « renoncer » à son corps pour le remettre entre les mains de sa fille. Et il devait considérer son plaisir et sa jouissance comme un luxe et remercier sa fille avec respect et dévouement.

    • Je devrais t’appeler, Princesse, maintenant ?
    • Oui !

    La jeune femme retourna la page et passant au reste du contrat, il devait s’engager à accepter toutes les pratiques sexuelles et … humiliations en privé ou en public. Il devait aussi s’engager à porter tout accessoire sexuel en tout lieu et à tout moment. Il devait aussi laisser l’accès et le contrôle total à sa fille, et n’avoir aucun secret pour elle, et l’obligation de lui dire la vérité.

     

    Elle lui fit aussi part de Safe code, qui lui permettait de mettre fin à tout action, à tout moment. Mais s’il n’avait pas une bonne raison, il serait … puni en conséquence. Elle lui parla ensuite des activités particulières, pour commencer la cage de chasteté, elle mettait certaines règles au point. Il ouvrit de grands yeux, quand elle lui annonça qu’elle voulait le voir faire l’amour avec d’autres personnes. Mais que pouvait-elle bien avoir en tête ? Sa fille était folle, il n’y avait pas d’autres explications.

    • Est-ce que j’ai le droit de dire un mot ? demanda-t-il.
    • Oui, bien sûr !
    • Est-ce que le … partage est obligatoire ?
    • Un par trimestre te parait trop… Effectivement, je pense qu’un tous les six mois… tous les ans ?
    • Un par an !

    Est-ce qu’il était devenu fou lui aussi, est-ce qu’il ne venait pas de revenir sur un terme du contrat comme s’il allait accepter le reste. Il était … fou. Il posa son regard sur le corps sublime de sa fille, et … une partie de lui, voulait lui appartenir, qu’elle voulait faire… tout ce qu’elle voulait de lui. Et une autre… lui disait que tout ça, c’était du n’importe quoi.

     

    La jeune femme termina de lire le contrat, en passant sur l’aspect Dissolution du contrat. Il serait dissolu au moment où elle le voudrait, ou bien si elle ne le respectait, il aurait alors le droit d’y mettre fin. Ou s’il devait impossible de continuer les séances.

    • Il existe des centaines pratiques SM différentes, je te laisse faire des recherches pour les découvrir. Tu as le droit d’en choisir deux, que tu ne veux absolument pas faire. Choisis-les bien…

    Anora griffonna le « trimestre » et « an » concernant le partage de son père avec un autre partenaire, puis elle lui tendit le contrat, pour qu’il puisse le lire.

    • Tu me le rendras demain, avec tes deux activités sexuelles que tu ne veux pas et ta signature. Tu peux encore refuser, mais dans ce cas… On ne parlera plus d’activités sexuelles entre nous. Je ferais comme si ces … deux jours n’avaient jamais existé. Tu seras mon père… et juste ça.
    • Je croyais que tu voulais que je sois le premier…
    • Oui, c’est bien ce que j’ai dit.

    William fronça les sourcils, est-ce qu’elle venait de suggérer que s’il refusait de « jouer » avec elle, elle resterait vierge… combien de temps ? Jusqu’à ce qu’il cède ? Jusqu’à sa mort ? Toujours ? Elle était encore plus folle qu’il ne le pensait. William était impressionné par la volonté de sa fille.

    • Depuis quand prépares-tu tout ça ? demanda-t-il.
    • Mmmh…. J’ai su que tu serais le premier quand j’avais seize ans, mais je prépare… ce scénario depuis trois ans maintenant.

     

    Contrat entre Anora et William.

    0 - Définition des termes
    Encagé / Soumis : le soumis a cédé le contrôle de ses organes sexuels à la dominatrice.
    Dominatrice / Maîtresse : La femme qui détient le contrôle du sexe masculin. Par définition, la Maîtresse est la personne à qui l'on a confié le pouvoir absolu d'utiliser les organes sexuels comme bon lui semble.

     

    1 - Clauses communes :

    1.1 Cet accord prend effet à compter de la date de la signature par les deux parties.

    1.2. Il lie le soumis à sa Maîtresse pour une période de 2 ans. Sous réserves des conditions d’annulation énoncées à la section Dissolution du présent protocole.

    1.3. Le contrat BDSM ne peut être modifié qu’en accord des deux parties.

     

    2 - Droits et Obligations de la Maîtresse :

    2.1 Elle s’engage à tenir compte des exigences professionnelles et financières de son esclave.

    2.2 Elle dispose de tous pouvoirs sur le soumis tant sur son physique, son sexe et son intellect. Il peut se jouer de toutes pratiques sexuelles ou non, chasteté obligée, punitions et humiliations.

    2.3 Elle respecte les limites physiques de son soumis.

    2.4 Elle doit se tenir informé de l’état physique et psychologique de son soumis et en tenir compte lors des jeux BDSM.

    2.5 La Maîtresse a le droit d’avoir autant de soumises, soumis ou d’esclaves qu’Elle le souhaite. Sa vie est ses pratiques en dehors de Sa relation avec son soumis appartiennent à sa vie privée et prive son soumis de toutes observations.

    2.6 Elle peut filmer ou photographier son soumis en accord avec la check-List.

    2.7 Elle peut rompre le pacte sans préavis

     

    3 - Droits et Obligations du soumis dans le contrat BDSM:

    3.1 le soumis comprend et accepte la Domination de Sa Maîtresse et devient Sa propriété exclusive.

    3.2 le soumis sait que Le corps de La Maîtresse est sacré et qu’il ne peut le toucher sans son autorisation. Toute infraction serait punie et le soumis pourrait même être répudié(e) assortie d’une rupture du protocole de soumission. Le soumis devra prendre soin de lui, et de son corps.

    3.3 le soumis comprend et accepte les désirs et plaisirs de La Maîtresse. Elle seule a le droit au plaisir, au confort, au bien-être, au repos, à l’amusement, à la distraction, au luxe, aux vacances et à la paresse. Le soumis se mettra à son service pour qu’il puisse jouir des plaisirs de la vie. Le soumis obéira à tous les ordres de sa Maitresse.

    3.4 le soumis accepte que son dévouement ne réponde pas à ses fantasmes ou attentes sexuelles mais à celles seules de La Maîtresse.

    3.5 le soumis s’exprimera avec respect sous peine de punition. La Maîtresse peut éventuellement lui demander d’émettre un avis, qui doit être le plus sincère possible.

    3.6 En qualité de soumis, il renonce à sa liberté et à ses droits en remettant son corps et son âme entre les mains de son protecteur.

    3.7 Le soumis devra montrer sa soumission, en utilisant le terme « princesse » en parlant de sa maîtresse, aussi bien en public, qu’en privé.

    3.8 Le soumis doit considérer son plaisir, et sa jouissance comme un luxe, et remercier sa Maitresse avec respect et gratitude.

     

    4 - Le contrat BDSM impose :

    4.1 le soumis s’engage à accepter toutes les pratiques sexuelles ou non et humiliations que ce soit en public ou en privé.

    4.2 le soumis s’engage à porter tout accessoire sexuel ou tenue imposée en tout lieu et à tout moment.

    4.3 le soumis laisse l’accès et le contrôle total de sa sexualité et de son intimité à sa Maîtresse.

    4.4 le soumis n’a aucun secret pour sa Maîtresse et a obligation de vérité dans ses réponses.

    4.5 le soumis a droit à un Safe Code. Tout manquement implique une punition ou la résiliation du présent traité.

     

    5 – Safe Code :

    5.1 Un Safe Code est prévu pour être utilisé lors des séances. Si le soumis ne peut parler, un Safe Code alternatif est choisi.

    5.2 S’il est employé, La Maîtresse interrompt la séance et écoute le soumis.

    5.3 Si le soumis l’utilise, il doit être en mesure d’expliquer pourquoi.

    5.4 Il ne sera utilisé que dans les cas extrêmes. Utilisé sans motif valable, il oblige une punition exemplaire.

    5.5 Safe Code choisit est « Orange » pour se calmer un peu. « Rouge » pour tout arrêter, et discuter sans motif valable, le soumis recevra une punition exemplaire.

     

    6 – Activités Particulières.

    6.1 Chasteté :  La détentrice de la clé convient que l'homme en cage aura droit à au moins 2 libérations par semaine.  Le soumis s'engage à satisfaire la dominante par tout moyen qu'elle juge nécessaire pour la satisfaction de ses besoins sexuels. Lorsqu’il est dans la cage, le soumis doit demander l’autorisation pour aller uriner. Le retrait non autorisé de la cage ou la ceinture de chasteté, ou la masturbation entraînera une période de verrouillage sans libération durant 10 jours pour l’encager. La Maîtresse donnera volontairement une clé à l'encagé en cas d'urgence. (Rendez-vous chez le médecin, forte douleur, etc) mais il ne devra pas se libérer sans une « bonne » raison, sinon le soumis sera puni.  La Maitresse reconnait qu'une libération du pénis peut être autorisée pour des raisons médicales ou d'inconfort extrême. Toutefois, pendant cette libération, aucune masturbation et aucune éjaculation n'est autorisé et le soumis accepte qu'une fois le problème réglé, le verrouillage de la cage sera immédiat.

    6.2 Partage La Maîtresse pourra partager le corps de son soumis, avec des partenaires choisis par ce dernier. Le soumis accepte que la Maîtresse partage la séance. Le soumis s’engage aussi à un partage par an.

    6.3 Nettoyage Le soumis sera responsable de l’entretien et du nettoyage de tous les jouets sexuels utilisées lors des séances. Toutefois la Maîtresse est responsable du nettoyage régulier de la cage de chasteté.

    6.4 Limites strictes Le soumis indique deux activités sexuelles qu’il veut exclure du contrat.

    Limites strictes de l’encagé : Scatophilie - Emétophilie

     

    7 - Dissolution :

    6.1 La Maîtresse peut dissoudre le contrat de soumission en libérant le soumis sans aucune justification.

    6.2 le soumis peut en demander l’annulation en cas de non-respect de la présente convention ou s’il n’y a plus d’entente entre les participants.

    6.3 Ce contrat peut aussi être rompu s’il devient impossible de continuer les séances et pratiquer la relation BDSM.

     

     

    J’ai pris connaissances du présent contrat BDSM et c’est librement que je m’engage à le respecter dans son intégralité.

     

    Date :                                                                         à :

     

     

     

    Signature de la Maîtresse                                                                  Signature du Soumis.

     

     

     

     

     

    (ajout de la mention « lu et approuvé »)                   (ajout de la mention « lu et approuvé »)

     

     

    La jeune femme se leva et posa une main sur la joue de son père, et lui fit un sourire, avant de l’embrasser, il posa ses mains sur son corps pour la caresser, il gémit contre sa bouche. Elle avait tellement bien joué son jeu… qu’il était déjà … esclave de sa fille, et ce depuis le moment où il avait posé les yeux sur elle. Sur cette … princesse. Il était esclave de ses désirs.

    • Prends le temps de bien réfléchir, et de choisir … tes deux activités. Tiens, je te donne la liste, mais si tu veux savoir ce que c’est, tu dois … faire des recherches sur internet.
    • Tu pars du principe que je vais signer…
    • Parce qu’il va en être autrement, mon petit papa !

    Elle posa son doigt sur le sommet de son sexe, qui était en train de se dresser. Elle fit un petit rire, et donna un coup sur son sexe. Il leva son regard vers elle, surpris. Elle lui fit un sourire et s’éloigna de lui. Le laissa seul avec ses pensées, son corps et son …. Contrat. Il devait confier tout ça à sa fille avec une simple signature.

     

    William tenait la liste et le contrat en main, il se leva et se rendit dans son bureau, assis devant l’ordinateur, il se mit à chercher tous les termes qu’il ne comprenait pas. Et entoura ce qu’il savait et acceptait de faire avec elle. Ensuite, il souligna ce qu’il était prés à accepter, mais avec appréhension. Il se demanda comment … elle pouvait lui faire tout ça, alors qu’elle était vierge, où avait-elle pu apprendre tout ça… et surtout avec qui. Il avait fini de faire le tri, et relu la liste de la jeune femme.

     

    Voilà les activités qu’il acceptait de faire avec sa fille :  L’asphyxie érotique, l’idée d’être privé d’oxygène pendant quelques secondes, pourquoi pas. Ce n’était pas le pire de ce qu’il avait vu. L’idée de subir des sévices sur ses organes génitaux, ne lui plaisait pas du tout… mais vraiment pas du tout, mais il l’avait quand même mis dans la liste des trucs envisageables. Il avait aussi accepté la sodomisation, il n’aimait pas ça, mais … il accepterait parce que c’est sa fille. Le feeding, l’idée de se faire nourrir, il n’avait rien contre, évidement il ne voulait pas être gavé, ou grossir trop. Il allait devoir quand mettre des limites à la folie de sa fille. La fessée et la flagellation, bon ça il acceptait ce genre de trucs. Le bondage, il avait déjà été attaché, ça ne devait pas être pire. Ensuite, il y avait l’émétophilie, ça il avait tout de suite rayé, l’idée de vomir… ou encore de se faire vomir dessus. Le face-sitting, il imagina Anora assoit sur son visage pour lui imposer un cunnilingus ou anulingus, ne lui déplairait pas entièrement. Se faire piétiner le corps, qu’elle était intéressante, il avait accepté cette demande. Le déni d’orgasme avec la cage, c’était déjà un peu l’idée. Et l’utilisation de tous les sex-toys imaginables, dont l’électrostimulation. L’exhibition, bon … c’était quand même interdit par la loi… mais bon de tout le reste, ce n’était pas à mettre dans la liste de pratiques interdites.

     

    Il y avait encore d’autres trucs écrits sur la page, comme l’enfermement, elle voulait aussi le raser, des jeux avec les bougies. Elle avait aussi noté l’urophilie, l’idée de faire uriner dessus, c’était bof-bof… Mais s’il voulait éviter le vomi, le pipi et les … selles. Il fallait en accepter un des trois, puis qu’il n’avait le droit d’éliminé que deux … activés. Il garda l’urophile, et enleva la Scatophilie. Non mais qu’est-ce qu’il était en train de faire ? Il se leva de son bureau, et quitta la pièce en passant par la porte-fenêtre pour aller faire une ballade dans le parc. Il aimait sa fille, vraiment, il l’adorait, et voulait bien se soumettre à elle, mais plus il découvrait ce monde de soumission, et plus tout cela lui semblait être impossible à faire avec elle. Où était … l’idée de lui apprendre à faire l’amour dans la douceur et la tendresse.

     

    Il prit sa décision, et lui en ferait part, elle ne pourrait pas lui dire non, ce serait bien la seule chose qui lui demanderait depuis … 21 ans, maintenant. Donc elle ne pouvait pas lui refuser. Il reprit place dans son salon, et termina la lecture de la liste de sa fille. Il acceptait d’être son esclave, de jouer le bébé, ou même le chien, ou tout ce qu’elle voudra, du moment qu’elle restait prés de lui, avec lui.