• [+18 ans] Chapitre 17

    Le lendemain matin, il se réveilla avec sa fille dans ses bras, elle s’était retournée dans son sommeil, il se leva sur un coude, et commença à lui caresser le dos. Elle portait une petite nuisette vraiment sexy, sur son corps de nymphe. Il était nu, dans le lit de sa fille, si n’importe qui le voyait, il le prendrait pour un pervers, un s*l*p sans nom, alors que justement grâce aux leçons de sa fille, il devenait un être meilleur.

    -         -  Mmmh ! fit Anora en se tournant vers lui.

    Elle ouvrit les yeux, et posa son regard sur lui, il lui sourit et elle lui répondit par un sourire. La jeune femme posa sa main sur son sexe, il n’était pas en érection, juste en repos à l’observer, et la caresser.

    -         - Tu n’es pas en érection, je ne te donne pas envie, fit-elle d’un petit ton si triste.

    -         - Si, bien sûr que si … c’est toi qui m’as dit de ne pas … avoir d’érection, dit-il en se grattant la tête d’un air perdu.

    -      - Tu es vraiment mignon, papa ! Tu le sais, ça. Je dirais que le matin, je veux me réveiller en sachant que tu as envie de moi… mais durant la journée, rien du tout.

    -          - Oui, princesse. Là tu peux me croire, j’ai très envie de toi.

    -         -  Pose ta tête, là ! fit-elle.

    Anora montra son ventre, il posa sa tête sur sa fille, elle l’invita à entourer ses bras autour de sa taille. Elle leva le pied vers le sexe de William, et lui caressa le dessous de ses bourses, il se mit à bander.

    -          - Voilà, là je suis aux anges, et comblée, mon petit papa.

    -          - Moi aussi ma Princesse.

    Ils restèrent comme ça, un petit moment, puis ils se levèrent, prirent un petit déjeuner en paix. William se rendit aux toilettes, il s’assit pour uriner, comme il en avait pris l’habitude, puis il vint s’asseoir sur son fauteuil. Il commença à travailler, il était plus de onze heures, quand Anora frappa à la porte, il l’invita à entrer. La jeune femme se présenta, elle tenait en main un sac, et la cage de chasteté, il l’avait déjà portée une heure, mais il n’avait pas compris ce que sa fille voulait lui montrer. Maintenant il avait hâte de la mettre sur lui.

     

    La jeune femme lui dit d’enlever son pantalon, et son boxer. Elle s’avança vers lui, et œuvra à lui mettre la cage, elle la referma à clé, la glissa à une chaine autour de son cou. Elle posa une clé sur son bureau.

    -         - Garde-la, toujours sur toi, c’est très important. Mais tu ne dois t’en servir qu’en cas de grandes …. Nécessités. Par exemple, si tu as un rendez-vous médical ! Ou que tu as une trop forte douleur.

    -        -  Et les rendez-vous d’affaire ? Elle va se voir sous le pantalon.

    -         -  Il y a des astuces. Je t’ai pris ce sous-vêtement, essaye pour voir.

    William se glissa dans le caleçon que sa fille lui avait acheté. Il ne cachait pas la cage, mais il était assez large pour ne pas le gêner.

    -         - Est-ce que tu peux t’asseoir, de lever, faire des mouvements, marchait quelques pas. Dis-moi ce que tu ressens.

    -         -  Ce n’est pas si désagréable que ça va. J’aime bien.

    -         - Tu aimes bien, être mis en cage ?

    -       - Figure-toi que oui. Etrangement je me sens libéré d’un poids. Je sais c’est paradoxal, mais c’est comme ça.

    -          - Vas-y explique toi, je suis toute ouïe !

    -         - Et bien, tu vois quand je voyais une femme, une belle femme, j’avais envie d’elle, c’était plus fort que moi, c’était comme si j’étais « obligé » de la désirer, que sans ça, je n’étais pas … vraiment un homme. C’est con ce que je viens de dire.

    -        - Non, non, au contraire, c’est parfaitement sensé. Et avec cette cage, tu ne ressens pas cette obligation, et du coup, tu as l’impression d’être libéré d’un poids.

    -         -  C’est exactement ça ! Comment tu fais pour si bien me comprendre, ma Princesse.

    -          - Je fais au mieux pour toi, mon petit papa.

    -          - Merci !

    -       - Bon tu vas la garder deux heures, je l’enlèverais pour ton petit rendez-vous avec Jack.

    -          - Très bien.

    -       - Demain, tu la remettras plus longtemps, et on essayera de voir les vêtements qui peuvent aller sans que ça se voit, et qui te permettre d’être à l’aise, quand même. Puis on parlera de notre petit jeu pour dimanche.

    -         -  Au bowling, tu veux jouer devant Sonia et sa famille.

    -        - Rien de compliqué, je te promets, fit la jeune fille. Je reviens tout à l’heure pour le repas.

     

    Anora quitta la pièce avec le sourire, William regarda sa clé, et se demanda où il pourrait bien la mettre pour l’avoir toujours sur lui à porter de main. Il avait toujours sa vieille chaine, qu’il ne portait jamais. Il se leva et fouilla dans son placard pour remettre la main dessus, comme sa fille, il la glissa autour de son cou. Il mit la chaine sous son col. Il sentait bien la cage quand il marchait, il était rassuré de la sentir sur lui. Même assis, il pouvait sentir sa présence sur lui. Il passa un bon moment à observer sa cage. Elle avait une telle présence, ça lui plaisait beaucoup de la sentir sur lui. Cette libération, s’était … vraiment magique. Sa fille arriva une heure plus tard, avec le plateau repas, et ils mangèrent tous les deux dans le bureau.

    -         - A partir de la semaine prochaine, nous pourrons manger dans la cuisine, annonça-t-elle avec le sourire.

    -        -  Ici ou là, on fait comme tu veux.

    Ils partagèrent donc leur repas, quand Jack se présenta derrière la fenêtre, Anora sourit, elle tourna le fauteuil de son père vers la fenêtre, et lui baissa un peu son caleçon. Le jardinier pouvait voir la cage sur le sexe de son patron, il pencha la tête perplexe, et s’assit. Il sortit le sien, et commença à s’asticoter le manche.

    -          - Regarde-le. N’était-il pas beau dans son plaisir ?

    -          - D’une certaine façon.

    Jack éjacula dans son petit pot, et Anora attendit son départ pour aller le récupérer, elle posa devant son père. Elle lui ordonna de mettre un doigt dans le liquide visqueux.

    -          - Mets-en beaucoup sur ton doigt !

    William trempa son doigt devant, il le tourna dans tous les sens, pour qu’il soit le plus recouvert possible.

    -          - Suce-le, maintenant ! ordonna-t-elle.

    Anora fixa son père, elle savait que c’était un moment décisif, son père allait-il gouter le sperme d’un autre homme. Il avait toujours été très hétéro, au point même de faire des commentaires très homophobes. D’ailleurs Jack n’aurait pas eu le poste si son père avait vu son homosexualité. Donc s’il glissait sa bouche, c’était un grand tournent dans la vie de son père. William n’osa même pas lever le regard vers sa fille, il savait qu’elle le regardait avec intérêt, et il ne voulait pas la décevoir, surtout elle. Mais c’était quand même le sperme d’un autre homme, qui allait rentrer dans sa bouche. Il leva son doigt et le regarda, puis il le mit dans sa bouche, sans se poser plus de questions, il se mit à le sucer, et à lécher le sperme. Cela n’avait pas de gout trop particulier, c’était juste un peu visqueux sur sa langue.

    -         -  Prends-en plus… insista Anora.

    William remit son doigt dedans, puis le lécha à nouveau, il fit le geste plusieurs fois, maintenant cela ne lui faisait plus grand-chose. Il finit par prendre le pot, en se disant qu’Anora serait forcément impressionnée, s’il parvenait à tout boire, ce qu’il fit en vidant le pot dans sa bouche.

    -          - Et bien, tu aimes ça, mon petit papa. C’était bon ?

    -          - Un peu gluant, mais appétissant !

    Anora le regarda un moment surpris, puis elle se mit à éclater de rire. Il aimait l’entendre rire, quel son mélodieux ! La jeune femme avait reconnu un des répliques du roi lion, et c’était tellement incongru comme citation, pour parler de sperme, que ça en était très drôle. Elle se doutait même qu’il ait pu le faire exprès, ce qui était dans le fond encore plus drôle. Elle se leva pour venir entourer son père dans ses bras, en lui disant qu’il était vraiment trop mignon. La jeune femme mit le pot de Jack vide dans la poubelle, puis vint prés de son père pour lui enlever sa cage.

    -          - Sois-sage, fit-elle en quittant la pièce.

     

    Le soir venu, ils partagèrent le repas ensemble, et donc Anora lui dit qu’il allait avoir une récompense pour s’être montré aussi… incroyable. Bon ce n’était pas exactement le mot qu’elle avait utilisé, mais c’est ce qu’il avait entendu. Cela le rendait si euphorique de savoir que sa fille le trouvait bien. Ils regardèrent un film, tous les deux, cette fois-ci, Anora s’allongea sur ses genoux, et il put tout à loisir observait les courbes de sa fille, sa silhouette fine mais arrondie là où il faut, et comme il faut. Une vraie… princesse. Après le film, ils montèrent dans les chambres, prirent une douche, et il trouva sa fille dans son lit à la sortie de sa douche.

    -         - Ta récompense pour ce soir, c’est moi. Tu peux me prendre comme la première fois, si tu veux.

    William en lâchant la serviette qu’il tenait contre lui. Il ne pensait pas avoir une telle récompense.

    -        - D’ailleurs, c’est ton lit, donc c’est tes règles. Quand je serais dans ton lit, ça voudra dire que tu pourras me faire l’amour comme tu aimes.

    -          - Oui, princesse.

    -        -  Ce soir, c’est ta récompense, mais … cela va monter crescendo pour avoir la même récompense, il va falloir faire plus et encore plus. Mais pas de questions, maintenant, profites-en.

    Le père d’Anora, souleva les draps et découvrit le corps nue de sa fille, elle avait toujours la peau aussi douce, et aussi chaude. Il vint glisser ses mains sur ses seins, et les caressa, avant de les prendre en bouche. L’idée de faire l’amour à sa fille, le mettait dans un tel état euphorique, c’était magique, un cadeau précieux. Il ne l’avait jamais pris comme ça pour les autres femmes. C’était « normal » qu’elle lui ouvre leurs cuisses. Il avait même eu le fantasme que toutes les femmes dans la rue, le regarde avec envie, tendent leurs mains vers lui, en criant prends-moi… Fais l’amour avec moi… Mais il se rendait compte que c’était un rêve complétement stupide, le plus important était de trouver LA femme avec qui partageait sa vie.

     

    Il caressa le ventre de sa vie, si doux, et si plat, puis sa main se glissa entre ses cuisses pour partir à la recherche du plaisir pour sa belle nymphe. Il fit glisser sa langue le long de son ventre, pour venir se perdre dans ses replis intimes. Il leva les jambes de sa fille, pour qu’elle les repose sur ses épaules et passa de longues, très longues minutes à lécher sa fille. Il voulait qu’elle connaisse le plaisir le plus intense possible. Elle lui offrait son corps, alors il devait s’assurer qu’elle y prenne le plus de plaisir. D’ordinaire, il n’est pas comme ça avec les femmes, au contraire, il cherche avant tout son propre plaisir. Il se souvenait même avoir « forcé » une de ces femmes à lui faire une fellation. Quelle honte, quand il y repense. Mais sa fille le remettait sur le droit chemin, il devait se montrer plus chaste, plus respectueux envers elle.

     

    Il sentait sa belle nymphe jouir sous sa langue et ses doigts, il lapa sa cyprine si douce, si sucrée, rien avoir avec le sperme de Jack. Là le sexe de sa fille était cent fois meilleur, mille fois meilleur, c’était le nectar des dieux. Il se releva et vint se glisser entre ses jambes. Il s’enfonça en elle, et lui fit de profonds va-et-vient de plus en plus loin, de plus en plus forts, de plus en plus rapides. Anora jouit une nouvelle fois, et il ne mit pas longtemps à la suivre dans la jouissance. Il poussa un profond soupir, avant de retomber sur le corps de sa fille.

     

    -       - Tu as fini, il faut en profiter, tu as jusqu’à minuit, ensuite … on sera demain, et la récompense d’aujourd’hui, n’est plus valable demain.

    -          - Minuit, c’est …

    -         -  Dans vingt minutes.

    William fit tourner, Anora sur le côté, il passa ses mains sur le corps de la jeune femme, et souleva une jambe pour la passer par-dessus les siennes, il aida son pénis à pénétrer la jeune femme dans cette position de la cuillère, puis il la serra contre lui, comme jamais il n’avait serré une femme dans ses bras, et commença ses va-et-vient dans le corps de sa fille, si douce, si merveilleuse, si forte aussi. Il se mit à gémir contre son oreille, en lui léchant le cou.

     

    Anora ne pouvait pas nier que ce que son père lui faisait était bon, vraiment bon. Elle avait déjà joui beaucoup. Mais elle ne devait pas se laisser attendrie, demain, elle devait reprendre ses leçons, et elle ne lui laisserait pas avoir une récompense comme celle-ci, avant longtemps, sinon c’est elle, qui allait … plus vouloir quitter ses bras, et tout son bon scénario ne marcherait plus … Non pas question de jouir trop dans ses bras de cette façon du moins.

    -          - Oooooooooooohhhh ! cria-t-elle en jouissant.

    Elle observa l’horloge, le réveil de son père, qui affichait 23:58, elle ne dit rien, laissant son père savourait son corps, en espérant qu’il n’ait pas le temps de jouir, et d’éjaculer en elle. Minuit arriva, elle se retira et se releva, malgré elle à regret, mais elle devait s’y tenir, sinon elle n’aurait plus de crédibilité.

    -         -  Il est minuit, bonne nuit, mon petit papa !

    La jeune fille traversa la chambre en dandinant, complétement nue. Et William se retrouva avec le sexe en érection sur le point de jouir, recouvert de cyprine, sans savoir quoi faire. Anora revint dans la chambre, il se redressa, euphorique, mais elle se contenta de lui jeter une culotte au visage avec le sourire.

    -          - Je viens de m’essuyer avec, je pensais qu’elle pourrait te servir.

    Puis elle ressortit comme elle était venue, William prit une grande bouffée d’odeur dans la culotte, puis enroula son sexe dedans pour se faire jouir, et éjaculer tout seul dans son lit.