• [+18 ans] Chapitre 16

    Quand le réveil sonna, William ouvrit les yeux, il était allongé contre sa fille, elle avait posé une couverture sur lui. Ce petit geste d’attention, était agréable. Il sourit, se leva et se rendit dans sa chambre. Il prit une douche rapidement, s’habilla, et prit un petit déjeuner, il croisa Sonia, qui le salua. Il prit le temps de lui dire deux ou trois mots pour marquer son attention envers elle. Puis il fila à son travail. Il passa sa matinée à travailler sur les projets, il fit le tour de ses employés rapidement. Il parla avec Catherine, il avait hâte de faire l’amour au téléphone avec sa fille, elle lui avait dit de faire en sorte que sa secrétaire entende. Il savait comme s’y prendre. Il y avait une ligne téléphonique entre eux, il n’avait qu’à décrocher le téléphone pour être mis en relation avec elle. Il déjeuna rapidement sur un coin de son bureau.

     

    Sa fille lui envoya un message. « Es-tu seul, mon amour ». « Oui, Princesse ». « Est-ce que je peux t’appeler ? » « Vas-y, Princesse ». « Evite de me nommer princesse au téléphone, sinon ça va être compliqué. Aujourd’hui, je suis Charlotte, tu dois me faire l’amour comme tu le rêves ». William était en train d’écrire sa réponse, quand son portable se mit à sonner. Il décrocha en voyant que c’était sa fille qui l’appeler.

    -          - Bonjour, ma Charlotte, mon amour, fit-il.

    -          - Bonjour, mon chéri. Est-ce que tu es seul ?

    -          - Oui, ma chérie.

    William décrocha le téléphone. Il indiqua à sa secrétaire de ne pas le déranger pendant les prochaines minutes, puis, il posa le téléphone sans raccrocher.

    -         - Alors mon cœur. Je suis tout à toi. Ferme les yeux, et imagine sentir mon souffle sur ta peau.

     

    Catherine entendit ses mots au téléphone, elle leva le nez vers la porte de son patron, il avait dû oublier de raccrocher le téléphone. Devait-elle écouter la suite. Il avait l’air de vouloir faire l’amour au téléphone avec sa maîtresse. Elle en ressenti une vive jalousie, et en même temps, elle se sentait excité. La jeune femme se leva et ferma à clé la porte d’entrée de son bureau. Puis elle s’installa sur son fauteuil, elle prit le téléphone contre son oreille, et imagina que c’était à elle que les mots de William étaient adressés. Catherine ne pouvait pas entendre la réponse de la femme à l’autre bout de la ligne, mais les paroles de son patron étaient si claires.

    -          - Es-tu nue sur ton lit ?

    -          - ….

    -         - Imagine que ma main vint se poser sur ton ventre, et remonte doucement vers ta poitrine.

    -         -  ….

    Catherine posa une main sur ses seins, et ferma les yeux, en poussant des petits Mmmh… de contentement. Elle sentit ses tétons se tendre sous ses doigts, elle ressentait déjà le plaisir montait dans son corps.

    -         - Tu as des seins magnifiques, ma belle. Je les caresse du bout de ma langue, mes doigts glissent le long de tes cuisses, pour remonter doucement….

    -          - ….

    -          - Tu le sens que je te caresse, mon amour.

    -          - Oui ! murmura Catherine.

    Elle glissa sa main dans sa culotte, et commença se caresser le clitoris, elle frottait son sexe pour se donner de plus en plus de plaisir. Elle voulait jouir sous les mots de son patron, au milieu de son bureau, c’était tellement … excitant.

     

    Anora n’avait pas feint les choses, elle était bien allongée sur son lit, en train de se caresser, elle aussi. Ses doigts se promenaient sur son corps, ses seins dont elle titilla les pointes, son sexe qu’elle frottait avec le plat de sa main. Elle allait, elle aussi jouir sous les mots de son père, au milieu de sa chambre, en sachant qu’une autre femme les écouter, c’était tellement… excitant. Elle espérait que son père ressentait la même chose.

    -       - Est-ce que tu veux que je te touche aussi, mon amour. Imagine ma main se posait sur ton sexe, l’entoura de ma main, et le caressant sensuellement.

    -          - Mmmh ! Oh oui, continue ma belle, c’est si bon.

    Catherine assise à son bureau, la main dans sa culotte, le pantalon grand ouvert était en train de se caresser, elle glissa un doigt dans son vagin, et frottait aussi son clitoris. Anora était allongée sur son lit, et se frottait son sexe avec le plat de sa main, elle se caressait en écoutant la voix de son père lui susurrait des mots d’amour. Et William tenait en main sa verge, et se branler dans son bureau, en pensant à sa fille, et à sa secrétaire dans le bureau d’à côté.

    -          - Oh, ma chérie, je vais jouir.

    -          - Moi aussi…

    -          - Moi aussi, dit Catherine.

    Et tous les trois se mirent à jouir en même temps, chacun de leurs côtés, mais dans un concert de gémissements. Catherine fut la première à revenir à la réalité. Il ne fallait pas qu’on la trouve comme ça. Elle remit sa culotte en place, referma son pantalon. Et elle fila dans les toilettes pour se laver les mains. La jeune femme croisa son regard dans le miroir, elle en était à se caresser, et à jouir sous les paroles de son patron, alors qu’elles ne lui étaient même pas adressées, espionnant une conversation. Est-ce qu’elle était normale ?

     

    William se lava aussi le sexe avec des lingettes, et il alla dans le bureau de sa secrétaire. Il lui sourit, en se demandant si elle avait écouté sa conversation, ou si elle avait raccroché.

    -          - Est-ce que vous avez vu le dossier Mr Quentin, je ne le trouve pas.

    -          - Il … est là ! fit-elle, en lui tendant le dossier.

    Il s’en saisit, et leurs deux mains se touchèrent, elle se recula vivement, et le dossier tomba au sol, et les feuilles se mirent à voleter dans la pièce avec joie.

    -          - Pardon ! s’excusa la jeune femme.

    -          - Ce n’est pas grave, voyons.

    Ils se baissèrent tous les deux pour ramasser les feuilles, puis leurs regards se croisèrent. William réalisa que s’il n’y avait pas eu sa fille, il aurait sauté sa secrétaire dans son bureau, et ensuite … il lui aurait dit que ce n’était que du sexe. Elle aurait dimensionné comme toutes les autres. Mais Anora était là, et elle veillé au grain. Il n’avait même pas envie d’imaginer la punition qu’il subirait, s’il lui disait qu’il avait couché avec sa secrétaire en rentrant.

    Ils rangèrent le tout, et il alla dans son bureau. Il se dit que vu son regard confus, elle avait entendu sa conversation au téléphone. En avait-elle profité pour se toucher ? ou est-ce juste de l’embarras, mais dans ce cas pourquoi ne pas avoir simplement raccroché ? Curiosité ? Excitation ? Il faudra qu’il parle de tout ça avec sa fille, elle saurait, elle comprenait mieux les femmes. La journée se termina, il rentra chez lui, et retrouva sa belle Anora. Sa fille était assise devant son ordinateur.

    -         - Tu as passé une belle journée, ma Princesse.

    -         - Oui. Et toi ?

    -         - Très bien. Merci.

    -       -  Tu prépares le dîner ce soir, je suis sur un projet, je ne voudrais pas m’arrêter maintenant.

    -         - Oui, princesse.

    William se mit donc à préparer le repas, heureusement Sonia avait déjà plus ou moins prévu. Il n’avait plus qu’à réchauffer le tout. Il mit aussi le couvert, puis il s’avança vers sa fille.

    -          - Est-ce qu’il y a autre chose à faire pour vous servir, ma Princesse ?

    -         -  Assieds-toi ! Je dois te parler d’un truc.

    -         - Oui !

    -         - Dimanche, nous allons au bowling avec Sonia, son mari et sa fille.

    -          - Ah bon ? Très bien, comme il plaira à ma Princesse.

     

    Le duo passa à table, ils mangèrent tranquillement, et il l’écouta lui raconter sa journée, puis elle lui demanda de lui parler de sa journée.

    -          - Alors avec Catherine ?

    -        - Je crois, non je suis pratiquement sûr qu’elle a entendu notre conversation. Qui était très excitante, fit-il avec un sourire à sa fille.

    -       - Oui, je te l’accorde. Tu as été parfait ! Tu auras une récompense. Crois-tu qu’elle ait pu être excitée ? ou scandalisée ?

    -         -  Plus excitée, je pense. Après, elle était toute … chose.

    -         - Et toi qu’as-tu ressenti, ta voix … a réussi à faire jouir deux femmes… qu’en penses-tu ?

    -         - J’ai effectivement pensé à coucher avec elle, dans le bureau comme ça. Et puis j’ai pensé à toi, et à ce que tu penserais de ma conduite.

    -      - Effectivement pas bien du tout… Mais ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas… pas aujourd’hui. Tu es encore l’ancien toi, celui qui se montre … irrespectueux avec les femmes. Donc … à partir de demain, nous allons commencer la leçon de la chasteté, avec le temps, tu verras les femmes comme des personnes, et plus comme des « objets » pour satisfaire tes besoins !

    -         - J’ai vraiment été comme ça ?

    -         - Papa, tu veux que je te fasse la liste des secrétaires qui … sont passées dans ton bureau ?

    -          - Non, je crois que j’ai compris … le plus important.

    -          - Bien, tu vas débarrasser et tout ranger, et rejoints-moi dans ma chambre.

     

    William entra dans la chambre de sa fille, et se présenta à elle, en restant debout devant elle, avec le sourire. Il avait hâte d’avoir sa récompense, il savait qu’Anora lui avait préparé un moment unique et merveilleux tous les deux. Elle se leva de son lit, et lui prit sa main, ils entrèrent tous les deux dans la douche de la jeune fille. Anora lui donna des chaussures pour ne pas glisser sous la douche.

    -         - Nous allons prendre une douche tous les deux … Tu vas me laver, si tu arrives à me faire jouir, sans avoir d’érection… Il se pourrait qu’on aille plus loin.

    -         - Plus loin ?

    -        -   Ne pose pas de question, et prenons notre douche, maintenant.

    Anora déposa ses affaires, et se mit nue, elle commença à faire couler l’eau sur sa peau, William ne perdit pas de temps à se mettre nu à son tour. Il caressa sa fille avec le gel douche, s’attardant sur ses seins, sur son ventre, ses bras, ses aisselles si douces. Puis il s’accroupit pour lui laver ses jambes, ses cuisses, et enfin son sexe, il s’attarda sur son clitoris, sur son vagin, sur sa vulve, ses lèvres grandes et petites, il lava aussi ses fesses.

    -         - Tu as oublié un petit trou… fit Anora.

    Elle se tourna, et se pencha en avant pour présenter son anus à son père. Il glissa son doigt plein de gel dans le trou de sa fille. Qu’est-ce qu’elle était belle ? Il prit le pommeau de la douche, et avec un jet d’eau, il rinça sa fille, tout en frottant son sexe, il la sentit prendre son bras, et serrait son muscle avec ses petits doigts. Elle se mit à crier, et à jouir contre lui.

     

    Anora posa sa main sur le sexe de son père, qui était à moitié-dur, il avait bien tenu le coup, il pouvait tenir une femme dans ses bras, sans avoir une érection, c’était un très bon début. Elle le prit en main, et se mit à le branler avec vigueur. Il grossit et durcit sous sa main. La jeune femme fit un petit sourire. Son père avait les yeux fermés, il appréciait cette caresse.

    -          - Prends-moi contre la paroi de la douche.

    -          - Sur, princesse ?

    -          - Puisque je te le dis.

    William souleva la jeune femme et la plaqua contre la paroi de la douche, le mur, elle leva ses jambes autour de sa taille, et son pénis s’enfonça dans le vagin de sa fille. C’était toujours aussi serré, humide, doux et bouillant. Vraiment bon. Il comprit l’intérêt des chaussures pour ne pas glisser sur l’eau. Il pilonna sa fille avec bonheur, c’était si bon de faire l’amour avec elle. Il devait apprécier… il appréciait ce moment doux avec elle. La jeune femme s’accrochait à son cou, la tête dans le creux de son cou, elle gémissait, elle était en train de jouir, il pouvait le sentir, son vagin se serrait autour de son pénis. Lui, il avait les mains sous les fesses d’Anora pour la tenir, puis il remonta le long de son dos, et une main se glissa dans ses cheveux…

    -         -  Je vais …

    -          - Vas-y tu peux !

    -          - Merci, princesse.

    Il se mit à jouir et à éjaculer dans le vagin de sa fille. Elle resta quelques instants dans les bras de son père. Elle avait beau s’amusait et adorait… « torturer » son père, cela ne voulait pas dire qu’elle détestait les moments aussi doux avec lui. Elle les aimait beaucoup. Elle descendit des bras de son père, elle termina de se rincer, puis elle se glissa dans une grande serviette.

    -         -  Finis de prendre ta douche et vient me rejoindre dans le lit.

    -          - Oui, princesse.

     

    La jeune femme laissa son père, elle s’essuya et se glissa dans une nuisette, puis rejoignit son lit. Elle vit son père sortir de la salle de bain, tout nu, en tenant ses vêtements. Elle lui désignant une chaise pour les poser. Ce qu’il fit. Il vint la rejoindre dans le lit. Elle s’allongea, dans ses bras. Elle se glissa contre lui, face à lui, et lui dit qu’il avait le droit de caresser son dos, et ses cheveux. William s’endormit en serrant sa fille dans ses bras, il l’aimait tant.