• [+18 ans] Chapitre 12

    Le lendemain, Anora se réveilla, son père était assis au pied de son lit, et la regardait dormir, elle lui sourit et s’étira comme un petit chat. Elle se leva et détacha son père de sa menotte, et enleva le reste de la chaine.

    -          - Bonjour, papa ! As-tu bien dormi ?

    -          - Etonnamment bien.

    -         -  Viens-là ! dit-elle en tapotant sur son lit.

    William s’assit et sa fille lui fit un massage dans son dos, elle commença par poser ses mains sur ses épaules, et lui fit un massage dur, mais efficace. Elle l’allongea sur son lit, et elle se mit debout sur le lit. Elle prit appui sur la tête de son lit, et lui fit un massage avec ses pieds, appuya un peu plus fort ici ou là, pour décoincer ses nerfs. Il pensa à ces masseuses asiatiques qui grimpaient sur le dos des gens pour les masser, en se tenant à un fil au-dessus d’elle pour ne pas les écraser. Il savoura … de se faire marcher dessus par sa fille. C’était tellement bon ce qu’elle faisait.

    -         -  Princesse ?

    -          - Oui !

    -          - Que dirais-tu que toi et moi, nous partions en vacances ? proposa-t-il.

    -       - C’est une très bonne idée. Mais il fallait … attendre le mois prochain, voir celui d’après. Tu n’es pas encore prêt.

    -          - Prêt ?

    -          - Oui ! Dans tes nombreuses leçons.

    -          - D’accord.

     

    La jeune femme descendit du dos de son père, et il se rassit, il était décoincé de partout. C’était agréable. Ils descendirent tous les deux pour prendre le petit déjeuner. William était en très grande forme aujourd’hui, il avait envie de faire un tas de choses avec sa fille. Anora sourit, la jeune femme accepta de jouer avec son père, à la condition que c’est elle qui choisit les activités. Elle commença par lui proposer d’aller faire une balade dans le parc, sauf qu’au moment de sortir, elle lui mit un collier de chien autour de son cou. Il se laissa faire, la jeune femme mit la laisse dans sa poche.

    -        - Si tu t’éloignes de trop ! fit-elle avec le sourire.

    William ne savait pas ce qu’était la bonne distance, alors il suivit de près la jeune femme, pour éviter de se retrouver en laisse, mais malgré ça, ils passèrent un bon moment. Ils trouvèrent même des murs et des champignons dans le petit bois derrière chez eux.

    -        -  Jack, cria Anora en faisant de grands gestes pour le saluer.

    Le père de la jeune fille se mit à espérer qu’il n’allait pas s’approcher, il ne voudrait pas qu’il le voit avec un collier de chien. Heureusement il fit un geste de la main pour les saluer et retourna à son travail.

     

    Après cet évènement, ils rentrèrent à la maison. La jeune femme lui enleva son collier, qu’elle posa sur un meuble dans l’entrée de la maison, ainsi que la laisse. Anora proposa une partie d’échec avant de se mettre à table. William lui demanda s’il pouvait aller aux toilettes. Elle lui sourit, agréablement surpris, il avait appris la leçon. Mais elle secoua la tête, et l’invita à s’asseoir pour commencer la partie. Ils jouèrent pendant quelques minutes, avant que l’envie pressante de William se fasse à nouveau sentir. La coquine sembla remarquer son inconfort, et tendit la main pour lui caresser le sexe. Elle posa sa main sur son bas ventre, et appuya… il crut qu’il allait pisser dans son pantalon. Mais il parvint à se contrôler à temps.

    -          - As-tu quelque chose à demander ?

    -          - Puis-je aller aux toilettes, princesse, s’il te plait ?

    -          - Oui, tu as trois minutes.

    William se mit à courir, en tenant son pénis dans les mains, il était plus près des toilettes de son bureau. Il fit sa petite affaire, la délivrance était tellement agréable. Puis il prit des lingettes et revint pour nettoyer son sexe devant sa fille. Il jeta les lingettes à la poubelle, et revint à la partie d’échec. Anora était impressionnée par son père, il semblait avoir très bien compris cette leçon. Pouvait-elle considérer la première leçon totalement acquise ? Non, il restait encore un dernier test.  Ce serait pour la semaine prochaine.

     

    Ils finirent la partie en « pat », ce qui veut dire qu’ils étaient sur une forme d’égalité. Elle rangea le jeu, et ils prirent le repas tous les deux, en parlant de tout de rien, de pluie du beau temps. Des endroits où ils pourraient aller en vacances. Des lieux qu’ils pourraient visiter. Puis ils débarrassèrent et s’installèrent dans le salon pour faire un nouveau jeu. La jeune femme a une idée. Elle a sorti un vieux jeu du docteur maboul… Mais qu’a-t-elle en tête exactement.

    -          - Mets-toi tout nu !

    -          - Oui, princesse.

    William se retrouva nu, assis au milieu de son salon à jouer à une variante bien étrange du docteur maboul. Elle posa un tas de pinces à linge sur la table. Et invita son père à prendre une carte. Il tira celle de la tranche de brioche dans le ventre. Il essaya de la récupérer, mais le nez du clown s’alluma. Anora se leva prit une pince à linge, et la pinça sur le ventre de son père. Il observa la pince, ce n’était pas très agréable, mais ça allait encore. Elle joua à son tour, et gagna la tartine. Il tira la carte suivante, et tomba sur l’os du genou. Une pince à cet endroit-là ça peut faire mal quand même, il fit de son mieux, et parvint à s’en saisir. Ce fut à elle de jouer, elle tomba sur la pomme d’Adam, qu’elle parvint à enlever. Ce fut son tour sur l’os de vœux… sur la poitrine. Il rata son coup, et comprit où elle allait lui poser la pince. Elle pinça un de ses téton.

     

    A la fin de la partie, William se retrouva avec une pince sur son ventre, sur son téton, sur ses côtes, sur son bras, et le dernier sur sa cheville.

    -       - J’ai gagné ! fit-elle avec le sourire comme une petite fille. On va faire un autre jeu. Garde les pinces.  

    Elle posa un jeu de memory sur la table, elle retourna les petites cartes du jeu. Quand elle commença à jouer et retourna une carte oreille et une carte pied. Elle les remit dans l’autre et laissa son père jouer. Il fut le premier à trouver une combinaison, les oreilles. Elle posa alors une autre pince sur son oreille. Elle trouva les genoux, et il trouva les mains, elle posa deux pinces sur ses doigts. Cela ne faisait pas « vraiment » mal en soit, mais au bout d’un moment, ce n’était pas très agréable. Quelques tours plus tard, il se retrouva avec une autre pince sur sa cuisse. Anora ne disait rien, et souriait en s’amusant à lui mettre une pince sur son corps, dés qu’il trouvait une paire.

     

    -          - C’est encore moi qui ai gagné, fit-elle en levant les bras en l’air.

    -          - Félicitation, princesse.

    -          - Avoue que tu m’as laissé gagner, tu es un si gentil papa.

    La jeune femme se leva, et enleva une première pince, celle qu’elle avait mis en premier, il y a bientôt une heure maintenant. Elle passa sa langue sur la marque rouge qu’elle avait laissé. Elle fit un « bisous-magique » pour guérir. Elle fit la même chose avec la seconde pince et ainsi de suite. Quand il ne fut plus couvert de pinces, elle lui sourit et l’embrassa sur la bouche.

    -          - Merci pour cet après-midi de jeux. On rejouera, hein ?

    -          - Quand tu voudras, princesse.

    Elle sourit rangea les jeux, et quitta la pièce avec les boites en main. Elle alla les ranger, laissant son père dans le salon, tout nu, seul. Elle ouvrit son portable, activa la caméra du salon. Et l’observa pour voir ce qu’il allait faire. Se rhabiller ? Se lever pour la rejoindre ? Rester sagement assis sur le canapé ?

     

    William était là aussi tout seul au milieu de son salon, nu, sans savoir ce qu’il devait faire. Elle lui avait dit de ne pas aller trop loin, mais ça c’était quand il était dehors. Elle ne lui avait donné l’ordre de se rhabiller, ni de rester sans bouger. Il était un peu perdu sans un ordre clair de sa princesse. Mais il choisit d’attendre, sans ordre, il n’y avait pas le droit d’agir, donc autant ne pas bouger, c’était ce qu’il y a de plus simple. Il s’installa dans le fauteuil et attendit seul … dans son salon. Il reste comme ça, pendant plus de trois heures. Anora avait profité de ce temps pour ranger un peu sa chambre, et regardait de temps en temps son père assis dans le salon. Il était si … mignon comme ça. Finalement il lui envoya un message pour lui demander s’il pouvait aller aux toilettes. Elle lui répondit qu’elle l’attendait devant les toilettes à l’étage.

     

    Il arriva et trouva sa princesse devant les toilettes, elle lui demanda de laisser la porte ouverte pendant qu’il œuvrait. Il s’assit sur la cuvette, laissa son sexe pendant, et fit le moins de bruit possible, en faisant le plus rapidement possible. Pendant tout le temps, sa fille l’observait, avec le sourire, en croisant les bras. Elle regardait sa montre, en tapant le pied sur le sol, d’un air impatient. Quand il eut fini, elle lui tendit une lingette à son père pour nettoyer son pénis, puis lui ordonna de retourner s’asseoir dans le salon. Où il resta une heure de plus. Avant qu’elle ne descende, elle lui donna l’ordre de préparer le repas, ce qu’il fit nu dans sa cuisine. Elle s’installa avec un livre pendant ce temps.

     

    -      -  Je trouve que tu as fait beaucoup de progrès, en une semaine. Tu te montres plus patiente, plus attentif, tu as les idées plus claires. Et tu es très poli ! L’es-tu avec les autres ?

    -         -  Non… pas vraiment.

    -        -  Il va falloir faire un effort, je ne pense pas avoir besoin de te faire une leçon sur la politesse, si ?

    -          - Non, princesse. Je serais poli.

    -         -  Bien ! Donc, je disais que cette semaine en générale, mérite bien une récompense. Il y a eu des couac certains jours, mais rien n’est parfait.

    -          - Sauf toi, princesse. Tu es parfaite.

    -          - Merci, mon petit papa, tu es gentil.

    -          - Bref, ce soir, tu auras une récompense.

    -          - Merci, princesse.

    -          - Il faut bien récompenser tes efforts.

    Ils partagèrent le repas qu’il avait préparé, puis elle l’invita à la suivre dans sa chambre. William était déjà nu. Elle le fit allongé sur son lit, et lui noua les bras à la tête du lit. Elle observa son corps, un moment, puis posa sa main sur son sexe, et commença à faire quelque va-et-vient pour qu’il se dresse doucement. Elle noua une petite ficelle autour de ses testicules et de la base de son sexe. Puis elle se déshabilla, et vint s’enfourcher sur lui. Et se servit du sexe de son père comme d’un god, sans se soucier de lui. Elle faisait des mouvements de va-et-vient, ses seins sautaient sur sa poitrine. William aurait bien voulu les prendre en main, mais il était attaché. Enfin, elle se mit à jouir, et lui se sentait … comme serré. Son sexe semblait être plus gros, il semblait bander plus fort. Elle se releva, et son pénis était saucissonné avec une ficelle, qui l’empêchait de jouir, mais … empêchait aussi de faire redescendre le sang dans sa verge.

     

    La jeune femme enleva la ficelle autour de son pénis, puis elle détacha une main de son père, et la posa sur sa verge.

    -      - Je t’autorise à jouir, et à éjaculer, mais tu dois t’en occuper, et le faire en … trois minutes. C’est parti.

    William s’activa de son mieux sur son sexe, il fit des va-et-vient à grande vitesse, comme jamais cela lui était arrivé, puis il tenta de moins vite. Il n’avait pas joui depuis vendredi, et il … se demandait quand elle lui permettrait à nouveau. Alors il devait réussir, il avait envie de réussir. Puis le bip de la montre de sa fille sonna, le temps était écoulé. Elle reprit sa main et l’attacha avec l’autre. Et lui regardait son pénis droit comme un « i », il ne restait pas grand-chose pour le faire monter. Il regarda sa fille, presque suppliant, de lui permettre de jouir, d’éjaculer, ça fait mal… de sentir son sperme si prés de la sortie, mais … ne pouvait pas y arriver. La jeune femme se leva et alla dans la salle de bain, pour se faire son brin de toilettes quotidien, elle revint avec une boite de lingette, et commença à la passer le long du corps de son père, pour le nettoyer à son tour. Il se passa de longues minutes, avant qu’elle ne pose sa main, entourée de sa lingette, sur le sexe de son père.

    -       - Je t’accorde quinze va-et-vient… c’est ta dernière chance de jouir de la journée. Un, fit-elle avec une lenteur délibérée.

    Elle fit des mouvements lents et profonds, qui le faisait vibrer, elle était si gentille de lui accorder une autre occasion, mais au bout de dix va-et-vient, la « sauce » montait à peine. Onze… Douze …. Treize… Quatorze… Quinze… et enfin il éjacula son sperme avec bonheur, avec soulagement, avec reconnaissance. Jamais une éjaculation lui avait procuré autant de plaisir que celle-ci. Il avait tellement eu peur de ne pas l’avoir, qu’elle faisait un bien fou. La jeune femme essaya le plus gros du sperme avec la lingette, puis elle en prie une autre pour terminer le travail. Elle jeta le tout, et s’allongea sa tête sur la poitrine de son père, elle remonta les couvertures sur eux. Anora leva une jambe pour toucher le dessous de ses testicules avec son genou.

    -         -  Bonne nuit, mon papounet, fit-elle en éteignant la lumière.  

    William, soulagé, et heureux s’endormit avec le corps de sa fille contre le sien, même s’il lui était impossible de le toucher, il était bien.