• [+18 ans] Chapitre 11

    Chapitre 11

     

    Le lendemain, elle présente donc le programme à son père. Elle lui dit qu’il allait faire des courses dans la grande ville voisine. Ils s’installèrent dans la voiture, le voyage durait deux heures, mais ce n’est pas grave. Elle les passa à dormir, les jambes nues posaient sur celles de son père, à dormir. La jeune femme ne portait qu’une petite robe noire, et des talons qu’elle avait laissé sur le sol de la voiture. Les jambes de la jeune femme ne le gênaient pas pour passer les vitesses, vu qu’il avait un levier de vitesse assez haut sur son poste de pilotage. Il n’avait pas le droit de toucher ses jambes, alors il avait les mains sur son volant, en se concentrant sur la route. De temps en temps, elle posait son pied sur son sexe.

    • Je vérifie que tu ne bandes pas… Ce n’est pas le moment, mon papounet.
    • Oui, princesse.
    • Imagine si un policier nous arrête, et découvre ton érection dans la voiture, mes jambes nues… et nos deux noms sur notre carte d’identité. Ce serait bien embêtant !
    • Oui, princesse.

    La jeune femme referma les yeux, il la réveilla quand il entra dans la banlieue de la ville, Anora se redressa et elle reprit son rôle de co-pilote pour trouver la route. Ils trouvèrent une place où se garait. La jeune femme et lui marchèrent dans la rue, côte à côte, il se sentait étrange … orgueil de marcher au côté de cette jeune femme, magnifique. Elle s’arrêta devant la boutique, et lui donna ses consignes.

    • Tu suis mes ordres à la lettre. Tu vas m’aider à me vêtir, me donner ton avis sur mes tenues. M’aider à mettre mes chaussures, autant que possible en public bien sûr. Et … interdiction d’aller aux toilettes.
    • Oui, princesse.

     

    Ils entrèrent dans la boutique, et ils commencèrent à faire le tour, il la suivait docilement sans rien dire, et elle mettait de nombreux vêtements dans ses bras, et il servait de caddie. Elle ne lui adressa ni un mot, ni un regard. Elle attendait de lui qu’il soit là, qu’il soit son esclave. Et il la suivrait … comme une Reine. Ils arrivèrent devant une cabine d’essayage. Elle en choisit une assez grande, heureusement ils prévoyaient de la place dans ce magasin. Donc elle accrocha les différentes tenues, et se tourna vers lui, et lui présenta la fermeture éclair de sa robe. Il la fit descendre, puis lui ôta sa robe. Elle était en soutien-gorge et en culotte. Il prit la première tenue et lui enfila. Elle lui fit un geste de la main pour qu’il sorte de la cabine. La jeune femme termina de se vêtir, puis elle sortit de la cabine d’essayage.

    • Magnifique ! Tu es magnifique, princesse.

    La jeune femme défila rapidement en montrant sa tenue à son père. Il se leva et entra avec elle dans la cabine d’essayage. Encore une fois, il la déshabilla et l’habilla. Il quitta les lieux, et elle termina d’ajuster sa tenue avant de sortir. Elle tournoya sur elle-même. Sa fille était toujours aussi belle. Il vit que certains hommes étaient en train de mater sa fille avec le regard pervers, et le sourire vicieux. Il se sentait de moins en moins à l’aise, à voir sa fille s’exhiber ainsi.

    • Ils … te regardent tous…
    • C’est le but, papa ! Tu n’es pas au-dessus des autres. Eux aussi ont le droit de me regarder.
    • Humilité, c’est ça la troisième leçon.
    • Oui, mon papa.

     

    Ils passèrent ainsi en revue toutes les tenues, et la masse d’hommes autour de la cabine d’essayage semblait être de plus en plus grande. Ils faisaient croire qu’ils regardaient les tenues, Anora avait choisi … exprès la cabine du côté des hommes. Mais William voyait bien qu’il reluquait sa fille allégrement. Elle ressortit avec sa robe. Et il fut soulagé de quitter enfin ce magasin, bien sûr il paya la note. Il était … jaloux. Il portait les nombreux sacs de la jeune fille. Puis ils rentrèrent dans le magasin de chaussures. La jeune femme passa dans les rayons, et posa une dizaine de paires dans ses bras. Il avait un peu de mal à tout porter. Ils s’installèrent dans un coin, et il lui présenta une première paire de chaussure. Il se mit à genoux devant elle, et glissa son pied dans la chaussure, telle une Cendrillon. Puis elle fit quelques pas. Il donna aussi son avis. Et au moins… il n’y avait pas des dizaines d’hommes à la regarder. Cette femme était sublime, et il était effectivement très humble face sa fille. Il lui acheta six paires de chaussures, et il portait à nouveau tous ses nombreux sacs.

    • Retournons vers la voiture !

    Ils retrouvèrent la voiture, et ils prirent le chemin du retour. Elle lui demanda de passer par la campagne, et non par l’autoroute comme à l’aller. Elle se mit dans un coin, et sembla bouder en regardant le paysage défilé. Anora trouvait que la journée n’avait pas été aussi excitante qu’elle le pensait. Elle était un peu déçue, le seul moment intéressant était celui où tous ces hommes avaient commencé à la regarder. Mais aucun d’eux n’avait tenté de l’aborder… dommage.

    • Papa, tu veux bien trouver un coin pour t’arrêter !
    • Oui, princesse.

     

    Il s’arrêta dans un petit chemin sur le côté. Il s’enfonça un peu dans la forêt. Il allait un peu trop loin de la route, mais qu’importe. Elle lui ordonna de sortir la voiture.

    • Tu vas aller pisser, dans ce coin… Non pas debout, hein, mais accroupi.
    • Tu vas me regarder ?
    • Oui !

    William se recula un peu, il fit face à sa fille, baissa son pantalon, il le souleva pour que son sexe soit pendant entre ses jambes, et se mit à uriner, en essayant d’éviter de le faire sur ses chaussures. Il leva le regard vers Anora, qui le regardait avec un sourire dédain, d’un air si hautain. Il se sentait … humilié. C’est vrai, mais d’un autre côté. Il n’était pas grand-chose face à elle, face à sa grandeur, face à sa puissance. Une fois qu’il eut fini, il se releva, et elle s’avança vers lui, et avec une lingette, et lui essaya sa verge. Anora lui dit de remonter dans la voiture. Il remit son pantalon, et s’installa derrière le volant. Ils terminèrent le voyage, Anora sembla avoir retrouver sa bonne humeur. Elle observait les tenues qu’elle avait acheté, ainsi que les chaussures.

    • Je te ferais un petit défilé, rien que pour toi, ce soir. Ce sera ta récompense pour m’avoir accompagné.
    • Oh… merci, princesse ! dit-il avec reconnaissance, le regard de ses hommes avait gâché son plaisir de voir sa fille lui présentait ses tenues.

     

    Ils rentrèrent enfin chez eux, ils partagèrent un bon repas tous les deux, puis elle invita son père à s’installer dans le salon. Elle prit tous ses sacs et se mit dans la salle à manger, pour se vêtir. Anora se présenta dans sa première tenue, elle portait une robe noire avec des points blancs, elle avait une petite ceinture autour de la taille, et elle avait une veste de cuir sur le dessus, une petite veste. William ouvrit de grands yeux, en la voyant arriver, tout ce qu’elle lui montrait depuis quelques jours le subjugué.

    • Princesse, tu es magnifique. Tu es … même plus que ça.
    • Merci ! Que penses-tu du cuir ? Il me va bien ?
    • Oui… Tu es parfaite.

    La jeune femme fit encore quelques tours sur elle-même, elle posa ses mains sur les genoux de son père, et posa ses lèvres sur celles de son père, pour un baiser furtif. Puis elle quitta la pièce pour la tenue suivante. Au moins, maintenant elle savait qu’il aimait le cuir, ça pourrait être intéressant.

     

    William la vit revenir portant une robe rouge, ceinturée à la taille, qui serraient ses jambes, et s’ouvrait entre ses genoux. Elle était magnifique, elle avait fait un chignon rapide dans ses cheveux avec un crayon, également rouge. Il ouvrit la bouche, il était ébahi par la beauté de sa fille. Elle tourna sur elle-même, avec un air ravi, et lui se pencha vers elle avec un sourire, elle le repoussa avec un sourire. Puis quitta la pièce, il observa sa chute de reins et ses fesses, parfaitement moulées dans sa robe. Il ne manquait pas de compliments, et cela semblait lui faire plaisir, mais il le pensait sincèrement. La jeune femme revint avec la troisième tenue, c’était une petite robe d’été, légère, avec des motifs de fleurs, et elle lui arrivait à mi-cuisses, et quand elle tournait comme une petite toupie, il put entrevoir sa petite culotte verte.

     

    Soudain, elle le fixa du regard, et pointa du doigt son sexe, qui bandait à moitié. Elle lui ordonna de faire quelque chose contre ça. Il devait faire redescendre sa libido, mais en regardant sa fille se trémoussait sous ses yeux, ce n’était pas du tout facile. Il se pencha et tâcha de visualiser des fruits pourris, et tout un tas de trucs aussi moches que possible. Son sexe redescendit, et Anora revint dans une nouvelle tenue, de plus en plus sexy. Elle portait une longue robe noire qui moulait son corps, elle était fendue jusqu’à mi-cuisses. Dévoilant des jambes fines blanches, pendant qu’elle marchait de manière hautaine. Elle s’avança vers lui et elle posa sa main sur le haut du fauteuil, et le fixa d’un regard hautain, il se sentit tout petit. Il s’enfonça dans le fauteuil, Anora posa sa main sur son sexe, qui était tout mou.

    • Bien, fit-elle d’un ton admiratif.

     

    William soupira de soulagement, et attendait le retour de sa fille avec impatience, il n’avait pas du tout l’impression que c’était les mêmes tenues quand dans le magasin. Mais il avait passé plus de temps à fusiller du regard les hommes qu’à observer sa fille. Elle revint avec

    Un petit haut, qui moulait sa poitrine, mais laissait son ventre visible. Et un pantalon blanc avec des taches grises, qui paraissait trop grand, mais lui moulait les fesses, tenu par une grosse ceinture noire. Elle était d’une beauté stupéfiante. La tenue suivante fut un jean et un tee-shirt simple, qui l’enveloppait comme une seconde peau. Il repensa aux pommes pourries parce qu’il était en train de bander à nouveau. La jeune femme revint en petite tenue, elle s’avança vers lui, avec le sourire.

    • On va faire un dernier jeu pour ce soir, si tu réussis, on montera et tu pourras me faire l’amour comme tu aimes. Mais si tu échoues, tu dormiras au pied de mon lit, comme un…. Fit-elle avec le sourire.

    William saisit très bien le mot qu’elle voulait dire, mais l’idée de pouvoir faire l’amour, avec amour et tendresse, lui donnait bien envie.

    • Oui, princesse. Quels sont les règles de ce jeu ?
    • Tu n’as pas le droit d’avoir une érection dans les trente prochaines minutes, quoiqu’il se passe, et quoique je fasse.
    • Oui, princesse.

    Il se recula dans son siège, bon il fallait tenir, s’il y arrivait, il pourrait connaître le paradis. Sauf que déjà pensé à ça, lui donner des envies. Il prit une profonde inspiration, et ferma les yeux, reste stoïque… entièrement stoïque. Soudain, il sentit une main chaude se posait sur sa joue, et des lèvres se posèrent sur les siennes. Un baiser intense fut échangé, et il était profond, et la jeune femme se mit à jouer avec sa langue.

     

    Anora s’assit sur son père, elle cala ses fesses contre son pénis, et se mit à se frotter contre lui, Elle lui prit une de ses mains, et la posa sur son ventre. La jeune femme continua de frotter son corps celui de son père, puis elle se leva, et observa qu’il ne bandait qu’à moitié. Il avait tenu bon, pendant les dix premières minutes. Elle se mit derrière lui, et commença à lui caresser la nuque, et les épaules, en descendant vers sa poitrine. Elle saisit ses tétons, et commença à les tourner, et les pincer entre ses doigts. Son père essayait de rester d’un calme olympien, et d’avoir le contrôle de lui-même. William avait choisi de faire les yeux, pour se priver au moins d’un sens, mais cela ne faisait qu’accentuait les autres. Il lui avait fallu toute la force de sa volonté pour ne pas bander quand elle s’était frottée à lui. Maintenant elle lui caressait la poitrine, et jouait avec ses tétons. Ce n’était pas son point faible, mais si par malheur, elle le trouvait, il ne pourrait pas se retenir. La jeune femme posa sa bouche sur sa nuque, et glissait sa langue tout le long de sa nuque, avant de venir se poser sur ses oreilles pour les lécher et les mordiller d’une manière si sensuelle. Il savait qu’il avait pris sa virginité, mais comment pouvait-elle réussir à lui procurait autant de bien-être sans … expérience ?

     

    Anora ôta son soutien-gorge, et se mit face à son père, elle souleva son tee-shirt, et caressa son bas-ventre, il sentit la main de la jeune femme passait dessus avec délicatesse, et lui procura le plus doux massage. Soudain dans un geste un peu brusque, elle lui écarta les jambes pour venir se mettre à genoux devant lui, et elle se mit à frotter ses seins contre le ventre de son père. Il ouvrit les yeux, et l’observa faire. Son corps était un objet pour lui, elle se faisait du bien toute seule, avec son corps, il la voyait fermer les yeux, et savourer cette étrange caresse, et lui… n’avait pas le droit de bander. Il observa son sexe, malheureusement il ne pouvait pas rester de marbre, devant cette nymphe qui lui caressait le corps avec … volupté, et une sensualité débordant de tous les côtés. La jeune femme se redressa et enleva sa culotte, elle avait vraiment le corps le plus sensuel qu’il n’est jamais vu. Elle se mit à califourchon sur l’une de ses jambes et commença à se frotter sur lui. Elle lui faisait face, en observant son sexe.

     

    La jeune femme se mit à gémir de plus en plus fort, et il sentait qu’elle était en train de mouiller, comment rester de marbre, en voyant ses seins tressauter à ses mouvements, en sentant sa cyprine se répandre sur son pantalon, en sentant le plaisir qu’elle était en train de se donner sur sa jambe. Il bandait au fur et à mesure de ses mouvements, et quand elle se mit à jouir, il était en pleine érection.

    • Pardon… murmura-t-il. Je suis désolé, je n’ai pas réussi.
    • Ce n’est pas grave.

    Certes, ce n’est pas grave pour elle, elle avait joui comme une bienheureuse. Elle pouvait dormir tranquille, mais lui il allait se retrouver seul. Elle se releva et essuya le reste de sa cyprine sur le bout de son genou. Puis elle lui prit la main pour le conduire dans sa chambre. Elle lui proposa d’aller aux toilettes, ce qu’il fit. Elle sortit une paire de menotte et une chaine qui lui permet de se mettre debout et de faire quelques pas dans la pièce, elle attacha le pied de son père à celui du lit. Il se retrouva allongé à même le sol. Soucieuse quand même de son bien-être, elle lui donna un coussin, et l’autorisa à dormir sur le tapis, s’il le souhaitait. Elle se rendit dans la salle de bain, fit un brin de toilettes, avant de se glisser dans son lit. La jeune femme lut quelques chapitres de son roman, puis elle éteignit la lumière et s’endormit pelotonner dans son lit.

     

    William s’était assis par terre, et avait observé sa fille de longues minutes. Elle avait raison de le punir de cette façon. Il n’avait pas été très correcte avec elle. Elle lui donnait des ordres, il devait obéir, c’est tout. Il s’allongea sur le sol, croisa les bras derrière sa tête et fixa le plafond. Il se demanda ce qui lui ferait plaisir à sa princesse. Que pourrait-il faire pour lui faciliter la vie ? Pour rendre la vie de sa fille encore meilleure qu’elle ne l’était ? Financièrement, elle n’avait aucun souci à se faire, elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait ou presque. Sexuellement, elle devait trouver son plaisir dans cette relation. Amoureusement, est-ce qu’elle était amoureuse de lui ? Ils s’aimaient, ça s’était certain. En tout cas, lui l’aimait comme un dingue, comme un fou. Et l’idée de la savoir dans les bras d’une autre le rendait furieux… Il n’était pas si mal installé dans le fond, William finit par s’endormir sur le sol, au pied du lit de sa fille, de sa princesse, de sa maîtresse.

     

    Anora se leva et alluma la petite lampe de chevet, elle allait lever la punition, et lui dire d’aller dans son lit pour le reste de la nuit. Sauf que son père s’était endormi sur le tapis, certain un peu molletonné, mais quand même, tête posée sur le coussin. Elle l’observa quelques secondes avec amour. Elle se recoucha et éteignit la lumière.