• [+18 ans] Chapitre 10

    Chapitre 10

     

    Le vendredi, elle ajouta un autre contraire supplémentaire. Il était de retour assis sur son fauteuil, et il devait encore demander l’autorisation pour uriner, maintenant il y avait l’addition de toutes les contraintes. Il devait lui demander l’autorisation, le faire sans bruit, et pendant seulement deux minutes, et il n’aurait le droit que d’y aller trois fois. Elle rajouta qu’il allait devoir nettoyer sa verge avec une lingette, assis à la chaise de son bureau. La matinée se passa relativement bien, il travaillait, et commençait à prendre sa petite habitude pour aller aux toilettes. Il envoyait son message, et elle arrivait, la première fois, elle était déjà derrière la porte, comme si elle avait deviné qu’il avait envie. Dommage, se dit-il, il aurait bien aimé attendre avec … son envie. La seconde fois, il avait attendu plus de trente minutes à se dandiner sur son siège, avec cette envie pressante. C’était étrange, mais il avait à la fois, envie d’aller uriner, et en même temps, il espérait qu’elle viendrait le plus tard possible. Quand elle poussa la porte, elle arriva avec le plateau du repas. Elle posa sur le bureau qu’il lui avait gentiment débarrasser, puis elle retourna dans la cuisine. La jeune femme fit exprès de ramener les assiettes dans un voyage, les couverts dans un autre, puis les verres.

     

    Ensuite, elle s’installa et leva son regard vers lui. Il put enfin lui demander l’autorisation d’aller uriner. Elle le lui accorda, et courut vers les toilettes. Il baissa son pantalon, s’assit en écarta les jambes, prit sa verge entre ses mains, et se mit à uriner en faisant des gestes de va-et-vient sur son sexe. Il avait presque envie de crier, tellement c’était bon, tellement c’était jouissif de se libérer de cette envie… Il revint dans la pièce, le pantalon à mi-hauteur de ses jambes. Son sexe à l’air, il s’assit sur son fauteuil, et nettoya sa verge avec des lingettes pendant que sa fille l’observait, en mangeant. Il se lava les mains aux lingettes, et la mit dans la poubelle comme l’autre. Et se retrouva comme un idiot avec son pantalon en bas des jambes. Il ne pouvait pas se relever pour le remonter, et se retrouver le sexe à l’air. Il regarda sa fille, avec espoir qu’elle l’autorise au moins à remonter son pantalon. Mais elle secoua la tête en continuant de manger son pain.

     

    Le père de la jeune femme se retrouva à manger son repas, avec son pantalon et son boxer à ses chevilles. Une fois le repas fini, elle débarrassa le tout, puis vint vers lui, et tourna le fauteuil dans sa direction.

    • Elle est pleine de miettes ! Fit-elle. Je vais te nettoyer ça, mais la prochaine fois, il faudra manger proprement, sinon tu seras puni.

    La jeune femme s’accroupit devant lui, et glissa son sexe dans sa bouche, comme répondant à l’appel de sa sirène, son sexe se dressa au garde-à-vous à une vitesse astronomique. Enfin normalement pour un homme, mais lui passait tellement de temps à se masturber qu’il lui fallait parfois de longues minutes à bander, et là, il avait fallu quoi… trente seconde. Elle lui procura une fellation, et il eut du mal à résister à l’envie de glisser sa main dans ses cheveux. Mais il tint bon.

    • Je vais … fit-il.

    La jeune femme se releva, elle prit une lingette et termina de le faire jouir, et il éjacula… C’était incroyablement bon, jamais une éjaculation, et une fellation lui avait fait autant de bien… quand bien même il avait senti ses dents sur son sexe. C’était la première éjaculation depuis … dimanche. La jeune femme lui tendit quelques lingettes pour qu’il se nettoie mieux. Elle se releva, prit le plateau, et ouvrit la porte pour partir.

    • Tu n’oublies pas que Catherine est là aujourd’hui, fit-elle d’un air innocent.

    Alors que lui était là avec le pantalon sur ses chevilles. Il savait qu’il pouvait se relever pour remonter son pantalon. Mais sa fille le saurait, et il serait puni… vraiment puni. Mais que pouvait-il faire d’autres, laisser sa secrétaire le voir dans cet état. Étrangement cela ne l’excitait pas du tout. Il ne voulait montrer son corps qu’à sa Maîtresse, qu’à sa fille.

     

    Anora posa son plateau sur la table de la cuisine, elle se rendit dans le couloir, et ferma la porte qui condamnait le couloir. Elle laisserait le bureau de son père ouvert, mais elle ne lui dirait pas que sa secrétaire ne pourrait pas venir. Elle avait préparé un petit jeu pour cet après-midi. Catherine arriva en voiture, son père ne l’entendait avec son bureau au fond de la maison. Anora se présenta à la jeune femme, et lui dit que son père ne sentait pas très bien aujourd’hui, mais qu’il avait laissé des instructions sur son bureau. Catherine lui souhaita bon rétablissement, et rejoignit son bureau. C’était Anora qui avait laissé des instructions, mais elle l’avait fait par rapport à ce qu’ils s’étaient dit la veille au cours du dîner. Puis elle commença son petit jeu. Tout d’abord, elle mit son portable en route, et observa son père toujours assis sur sa chaise, le pantalon aux chevilles. Il n’allait pas été très productif aujourd’hui, mais ce n’est pas grave, pour une fois. Elle mit le haut-parleur de son portable à fond, et diffusant le bruit de talon qui tape sur le sol, Catherine portait toujours des talons hauts, qui résonnait sur le sol, puis elle s’avança dans le couloir de son père. Elle lui faisait ainsi croire qu’elle s’avançait vers lui. Puis à mi-chemin, elle arrêta l’enregistrement, comme si elle s’était arrêtée au milieu du couloir, et observa son père.

     

    Le pauvre avait l’air … si minable sur son fauteuil. Elle remit en route, mais repartie dans l’autre sens, comme si elle avait oublié un dossier, ou un papier. Elle regarda l’écran de son téléphone pour voir son père qui soupirait de soulagement. La jeune femme se rassit, et attendit quelques instants. Elle attrapa son chat … Mistigri, un de ses nombreux caprices d’enfants. Elle le mit au milieu du couloir, et lui fit peur. Le seul endroit où se réfugier, était le bureau de son père. Il fonça vers la porte, l’ouvrit en poussant, puis qu’elle avait fait exprès de ne pas crocheter la porte. Mistigri ouvrit en grand la porte du bureau de son père. Anora observa son père. Allait-il se lever ?

    • Oust ! stupide chat !

    Le petit animal se sauva, c’était un chat, il ne ferma donc pas la porte derrière lui. Qui resta grand ouvert. Anora s’assit dans la cuisine après avoir refermé la porte du couloir et observa son père. Il resta sur le qui-vive pendant quelques minutes, mais la maison était silencieuse. Puis peu à peu, il se détendit, et commença même à travailler dans cette situation. Quelle raison donnerait-il à sa secrétaire, si elle la trouvait comme ça. Elle était bien curieuse de savoir. Il aurait bien envie d’envoyer un message à sa fille pour lui dire qu’il avait envie d’aller aux toilettes. Il pourrait remonter son pantalon… sauf que s’il faisait trop tôt, quand il aurait vraiment envie… il ne pourrait pas y aller, puisqu’il aurait utilisé sa troisième fois pour aller aux toilettes.

     

    Il attendit un moment, puis envoya un message à sa fille. La jeune femme vint le voir avec le sourire. Elle l’autorisa à uriner, il garda son pantalon autour de ses fesses, il rouvrit son pantalon pour nettoyer son sexe et ses mains. Il parvint à le remettre droit. Il soupira de soulagement. Anora le quitta et ferma la porte derrière elle. Puis réouvrit la porte du couloir, et fit un sourire à Catherine. Elle lui dit que son père allait un peu mieux, mais qu’il serait en pleine forme pour lundi.

    • Tant mieux ! fit Catherine.

    Deux heures plus tard, la jeune femme était partie, et Anora soupira, elle aussi de soulagement. Elle aurait été autant embêtée que son père, si la secrétaire l’avait trouvé le sexe à l’air, le pantalon sur les chevilles au milieu de son bureau. Elle observa son père, pendant les dernières heures de son travail, il était vraiment très beau. La jeune femme vint le rejoindre dans son bureau, et vint s’installer en amazone sur ses genoux, avec le sourire.

    • Voilà, tu as été bien sage pendant cette semaine. Tu as presque acquis la leçon N°1.
    • La patiente !
    • Nous avons travaillé sur son envie d’uriner, et même celle d’éjaculation. Dis-moi comment tu te sens ?
    • J’ai fait de nombreuses découvertes sur moi-même, et même autour de moi.
    • Des découvertes … agréables ?
    • Très agréables ! murmura-t-il en posant son front contre l’épaule de sa fille.
    • Tant mieux, c’est le plus important.
    • Ce week-end, tu seras tranquille, mais pense à tout ce que tu as appris.
    • Tu ne veux pas jouer avec moi ? demanda-t-il d’un air triste.
    • Tu veux continuer ?
    • Oui…
    • Très bien, alors on va faire un petit aperçu de la leçon N°3.
    • J’ai tellement hâte, princesse.

     

    La jeune femme se leva et autorisa son père à faire de même. Elle lui dit que le jeu s’arrêtait pour ce soir, et que chacun se reposait dans son lit ce soir. Il accepta car il savait qu’elle lui promettait quelque chose de bien pour le lendemain. Ils partagèrent un repas agréable, puis la douche et elle s’enferma seule dans sa chambre. Et lui observa de longues minutes la porte de la chambre de sa fille, avant d’aller se coucher à son tour dans son lit. Il y a une quinzaine de jours, il se serait masturbé entre ses draps, mais aujourd’hui, il n’en avait pas envie. Il ferma les yeux, et s’endormit en passant une bonne nuit. Anora dans son lit, vérifia qu’elle pouvait accéder aux caméras qu’elle avait placé dans la maison. Il y avait celle du bureau, elle en avait mis aussi dans les toilettes, et dans la chambre de son père, sa salle de bain, le salon et la salle à manger. Tout semblait bien fonctionné. Ce n’est pas trop qu’elle ne faisait pas confiance à son père, il a été très soumis et docile ces derniers temps. Mais elle aimait voir toutes ces émotions et sentiments sur son visage. Son bonheur quand elle lui avait fait sa fellation, et son … malaise quand il avait eu peur de voir sa secrétaire débarquait dans son bureau. Puis son soulagement quand il revenait des toilettes après avoir uriné. Tout ça, elle ne voulait rien en loupé. Et puis s’il faisait des bêtises, elle voulait le voir, pour lui faire comprendre qu’elle savait Tout !

     

    Elle avait déjà commencé à lui apprendre la leçon N°3, l’humilité, se montrait humble face au monde, et d’être petit par rapport au monde. De ne pas se passer au-dessus des choses et des autres. Elle voulait le faire avec l’humiliation érotique. Comme nettoyer une salle de bain avec une brosse à dent. Maintenant il fallait augmenter le niveau, mais ce serait juste un aperçu. Elle augmenterait le niveau de la leçon N°1, pour être certain qu’elle soit acquise. Et Vendredi ou Samedi, il aurait un devoir à faire sur le sujet. Et il passerait à la leçon N°2, la chasteté. Anora prit la petite cage dans ses mains, et joua avec dans ses mains. Elle avait hâte de commencer à jouer avec. La jeune femme ouvrit son navigateur internet pour trouver une « humiliation » adaptée à la situation.

     

    Étrangement, W*k*p*d*a fourni de nombreuses idées en tout genre. Il avait le rabaissement de la personne en se comportant comme un animal, mais ça serait quand il serait vraiment dans la leçon, elle devait lui en donner un aperçu plus … soft, mais très révélateur sur la leçon. Le rabaisser verbal en critiquant son corps, ça malheureusement, elle aurait un peu de mal, elle trouvait le corps de son père… parfait. Mais comme elle avait l’intention de le faire grossir avec le feeding, pour lui apprendre la modération. Elle pourrait … s’en servir à ce moment-là. La flatterie forcée, ça ne pouvait pas non plus marcher, son corps était déjà un temple pour son père. Donc les flatteries qu’il pourrait lui dire… ne serait pas forcé. Sauf, si elles sont faites en public. Pourquoi pas ? Après il y avait le crachat sur le visage, il y avait même l’idée de lui uriner dessus. Pourquoi pas ? Mais pas en exemple, trop tôt encore. Se prosterner devant elle… pourquoi pas. Oui… voilà, elle avait son idée.

     

    Demain, ils iraient dans une ville éloignée, où personne ne les connait, en public, certes mais avec des inconnus, pour rassurer son père. Ils feraient tous les deux, les courses, et il devrait l’habiller dans les cabines d’essayage, se mettre à genoux devant elle, pour lui chausser ses chausseurs. Obéir à tous ses ordres dans la rue. Et elle lui dirait de trouver un autre pour se mettre à pisser quelque part, accroupit, avec la queue pendant entre ses jambes. Pas comme un homme, debout contre un mur. Elle passa à la travestir en femme pour cette sortie, mais c’était encore un peu tôt. Par contre… il portait sa bague d’obéissance que le vendeur du sex-shop lui avait gentiment offert. Parfait, elle avait son programme de la journée. La jeune femme ferma son ordinateur, elle s’excitait toute seule, à réfléchir à leur petit jeu. Et depuis une semaine, il n’avait pas une seule fois fait l’amour… Ce serait sa récompense, s’il se comporte bien, demain. Elle éteignit la lumière et s’endormit avec le sourire aux lèvres, impatiente d’être à demain.